Ce lieu-dit est situé près du village du même nom, à une altitude de 475 m. Il fait partie de la commune de Tenneville. Il est situé à un croisement routier important entre la N89 (La Roche - Bouillon
Ce lieu-dit est situé près du village du même nom, à une altitude de 475 m. Il fait partie de la commune de Tenneville. Il est situé à un croisement routier important entre la N89 (La Roche - Bouillon) et la N4 (Marche - Bastogne). La signification de barrière dans les toponymes évoque la présence passée d'un poste de douane.
Cette chapelle de style néo-roman a été construite sur les plans de l’architecte Pierre Langerock à la place d’une autre chapelle datant du 12è siècle.
Une chapelle dédiée à Sainte-Catherine est présente à cet endroit, voisine d’une ferme et converserie que les moines occupent déjà.
Le comte Henri de la Roche, propriétaire de la forêt de Freyr (section de la Forêt d’Ardenne), fait don du domaine aux moines de St-Hubert. Les religieux s’engagent à assurer les services pastoraux et à établir un hospice pour les pèlerins et voyageurs.
Le curé de Champlon occupe le domaine.
Le prince-évêque de Liège, Joseph-Clément de Bavière fait transférer les ornements, vases sacrés et autres biens précieux à l’autel de Sainte-Catherine dans l’église de Saint-Hubert.
On découvre un pavement, vestige de l’ancienne chapelle.
La nouvelle chapelle dédiée à Saint-Hubert est consacrée et ouverte au culte, par Monseigneur Heylen.
Cet imposante et longue batisse en moellons gris est à présent destinée pour des séminaires résidentiels. Il s’agit à l’origine d’un don aux moines de Saint-Hubert par le comte Henri de la Roche, propriétaire de la forêt de Freyr en 1153.
Cette croix datant de 1720 se situe au lieu de rencontre légendaire entre Saint-Hubert et le cerf au crucifix.
Capacité de 74 lits.