Ce hameau situé en plein milieu des bois entre Nassogne et Saint-Hubert ne comprend que 7 habitations, des résidences secondaires. Il n’est pas alimenté en eau ni électricité.
Cet arbre a été planté en hommage au baron F. Speth par le conseil de gestion des chasses de la Couronne.
Le Roi Baudouin Ier confie l’exercice du droit de chasse à un Conseil de Gestion afin de développer sur les territoires de Saint-Michel (Saint-Hubert) et de l’Hertogenwald, une gestion exemplaire sur les plans cynégétique (chasse) et scientifique.
Le Roi Albert II confirme pour 5 ans le mandat du Conseil de Gestion en confiant à la Direction générale de l’administration wallonne compétente pour les Ressources naturelles, une responsabilité accrue dans la mise en œuvre de cette gestion exemplaire.
Le mandat du Conseil de Gestion est reconduit. La Région wallonne s’engage à poursuivre la mise en œuvre et le développement de la gestion de ces deux territoires en suivant les directives des souverains belges.
Nouvelle reconduction.
Il s’agit en fait de deux croix de soldats issus d’un camp de prisonniers russes mis en place par les Allemands durant les deux guerres mondiales. Cette sépulture est entretenue par la Division Nature et Forêts du cantonnement de Nassogne.
On parle généralement de deux soldats russes mais il s’agirait vraisemblablement d’un soldat russe et d’un soldat italien abattus par des gardiens allemands en 1917 et 1918, alors qu’il tentaient de s’évader.
Une croix en bois dont le Christ en bronze est surmonté d’un morceau de bois cintré (courbé par humidification du bois).
Inauguré le 27 février 2019, ce parc rassemble sur un même site les plus belles grumes (bois encore couvert de son écorce) de Wallonie, sur une superficie de 5500 ha. Certaines grumes proviennent de chênes âgés de 250 ans.
Il s’agit d’une plateforme couverte et discrète qui offre une vue discrète sur l’Etang de Bilaude. Elle peut accueillir jusqu’à 30 personnes toute l’année selon quelques recommandations. Carnet d’observation à disposition.
Cette réserve naturelle de l’Etat est gérée par l’administration des Eaux et Forêts.
Sa superficie 37 ha contient une flore très diversifiée.
Fagnes, marais, bois de hêtres, bouleaux pubescents quelquefois centenaires, bistone, fougère aigle, succise des prés, linaigrette vaginée, noisetiers, etc, parsèment ce terrain en libre accès via les sentiers de promenade.
Ce mirador d’une hauteur de 5 m offre une vue panoramique sur les tourbières du plateau de Mochamps, afin d’observer le gibier et les oiseaux. Il peut accueillir jusqu’à 15 personnes toute l’année hormis la période du brâme.
La restauration d’habitats dans le cadre d’un projet Natura 2000 a permis le retour d’espèces telles que des batraciens, des libellules, des papillons et des oiseaux qui sont caractéristiques des zones humides comme dans les tourbières de Mochamps. Ces dernières ont été restaurées dans le cadre du projet LIFE et ont été placées sous le statut de réserve naturelle domaniale ou de zone humide d’intérêt biologique.
Elles sont gérées par le département Nature et Forêts.
54 ha de forêts alluviales (qui contiennent des dépôts ; cailloux, sable, boue, provenant d’un transport par les eaux courantes) ont été restaurées, ainsi que 600 ha de fagnes au total, notamment en éliminant les épicéas, en bouchant des drains, en créant des digues, en plantant des semis de plantes typiques des milieux humides telles que des sphaignes et des linaigrettes, ainsi que des essences feuillues indigènes comme des bouleaux, des saules et des sorbiers.
Un réseau de pâturage de vaches et de moutons a été mis en place pour maintenir les milieux ouverts de manière durable.
Les zones humides sont draînées afin de permettre la plantation de monocultures d’épicéas.
Des épicéas sont plantés dans les zones les plus réfractaires à la culture, avec un draînage plus poussé encore.
Le programme LIFE (qui signifie L’Instrument Financier en Environnement) est mis en œuvre pour restaurer les tourbières et les landes, grâce à l’Unité de gestion cynégétique du massif forestier de Saint-Hubert (UGCSH).
La restauration des tourbières et des landes est achevée.
Un prix est décerné par la Commission européenne au projet LIFE de Saint-Hubert pour son classement parmi les meilleurs réalisés dans les 27 pays européens.