Cet ancien quartier ouvrier des hauteurs nord de Liège est entouré de plusieurs terrils d’anciens charbonnages. Il est actuellement très prisé par les architectes innovants.
Certaines parties du quartier sont profondément modifiées par l’exploitation des veines de charbons.
Thier-à-Liège est une vaste cité jardin destinée aux ouvriers des charbonnages proches.
Lors de l’exposition internationale, certaines constructions font partie d’un concours de logements.
Cette église néo-gothique fut inaugurée en 1905.
On y trouve la statue de Sainte-Dorothée, la patronne des maraîchers et des jardiniers, ce qui est très rare, à Liège. Elle fut décapitée au 3è siècle.
Avant la construction de l’église, en hiver, il était difficile pour les habitants de Thier-à-Liège, perchés sur les coteaux et un peu isolés, de descendre dans la vallée pour se rendre à l’église. C’était la seule voie d’accès et elle était souvent impraticable.
Victor-Joseph Doutreloux devient évêque de Liège. Il achète un terrain doté d’une grange, sur le haut du thier, dans le but d’y faire construire une chapelle.
La grange de Monseigneur Victor-Joseph Doutreloux est transformée en une chapelle dédiée à Saint-Léonard.
L’évêque pose la première pierre de l’église dédiée à Saint-Léonard et au saint patron de Monseigneur Victor Doutreloux.
L’église est inaugurée.
Le centenaire est fêté, avec procession et célébration de l’Eucharistie par Monseigneur Jousten.
Cet ancien terril charbonnier de 13,99 ha et dont le sommet culmine à 185 m d’altitude, est un témoin du passé minier de Liège. La nature y a repris le dessus. On y observe de nombreuses carlines vulgaires.
Cet ancien terril charbonnier de 14,90 ha est un témoin du passé minier de Liège. La nature a repris le dessus, la végétation étant composée surtout de bouleaux verruqueux et de saules marsault. Il offre un panorama exceptionnel sur la vallée.