Ce village érigé en commune est situé au pied du massif ardennais, à une altitude de 409 mètres. Il est arrosé par la Lhomme. Il est entouré de vastes forêts giboyeuses qui s’étendent jusqu’à Saint-Hubert au sein d’un relief accidenté.
Cette construction en bois (douglas local) servant de poste d’observation a été achevée début 2017 dans le cadre d’une collaboration entre LIFE (réaménagement d’espaces naturels) et Elia (lignes à haute tension).
Le gestionnaire du transport d’électricité Elia gère la végétation qui se développe dans les couloirs des lignes à haute tension traversant la forêt.
Il serait en effet dangereux que les arbres poussent trop près des câbles électriques. Mais afin de préserver la biodiversité, des couloirs écologiques dotés de végétation plus basse ont été créés en collaboration avec 2 ASBL wallonnes : Solon et CARAH.
La vie y reprend alors ses droits et l’on y découvre à nouveau des orchidées, des papillons, des libellules, des vipères péliade et des tritons.
L’équipe tente de sensibiliser les gestionnaires transporteurs d’électricité de 17 pays européens, sachant que 300 000 km de lignes à haute tension passent à travers l’Europe.
Cette passerelle fondue dans la forêt permet l’observation d’animaux dans un cadre paysager remarquable.
Ce petit oratoire pittoresque au sommet d’un chemin de croix comporte un pignon droit millésimé 1877. Derrière la chapelle se trouvent 2 caves qui sont des vestiges probables de l’ermitage reconstruit après un incendie survenu en 1712.
Chapelle datant de 1834. Elle a été construite à la place d’une chapelle plus ancienne qui avait été ravagée par le feu en 1781.
Elle contient un cénotaphe (tombeau élevé à la mémoire d’un mort et qu
Chapelle datant de 1834. Elle a été construite à la place d’une chapelle plus ancienne qui avait été ravagée par le feu en 1781.
Elle contient un cénotaphe (tombeau élevé à la mémoire d’un mort et qui ne contient pas son corps) ainsi qu’une dalle sculptée en bas-relief qui représente le diacre et ses ornements (panneau didactique FR/NL).
Tous les ans, le dimanche qui suit l’Ascension, a lieu la procession des Remuages. La châsse est transportée de la collégiale à la chapelle Saint-Monon, là où le saint fut assassiné vers 636. Au cours de la procession, les pèlerins, en majorité des agriculteurs, frottent la châsse avec des poignées d’herbe ou des branches d’arbustes qu’ils donneront ensuite à manger à leurs animaux, espérant ainsi les protéger pour toute l’année.
Ce petit édifice en moellons de grès et pierre calcaire, à la toiture en ardoises surmontée d’un clocheton de plan carré et d’une croix, date de la première moitié du 18è siècle.
Cette imposante bâtisse en briques peintes en blanc, sur un soubassement en grès, de style néo-gothique, a été bâtie pour le baron Van der Straten. Elle se situe dans un parc.
Ce château d’eau a été construit en 1928. Il a été repeint en juillet 1999 par l’artiste peintre Serge Nanson. La fresque représente des animaux aquatiques et migrateurs qui vivent autour l’étang Les Goffes s’étendant devant la tour.
Cette collégiale fut construite en 1661. Le clocher bulbeux date de 1782 et l’allée de tilleuls de 1804. Le site est classé par la Commission des Monuments et Sites.
Le vieux cimetière et l’allée de tilleuls sont classés avec l’ensemble.
Un panneau didactique à l’entrée de la collégiale raconte l’histoire de Saint-Monon qui est venu évangéliser les habitants de la paroisse au 7è siècle.
La châsse contient les reliques de Saint-Monon, patron invoqué par les agriculteurs qui voient en lui un protecteur du bétail et des cultures.
Cette croix située en face de la chapelle Saint-Léonard a été placée par la jeunesse ouvrière catholique (JOC) et inaugurée en 1930.
Ce sentier était autrefois jalonné de croix en bois. Elles ont été remplacées par des croix en pierre par Monsieur Leblanc, propriétaire d’une seconde résidence à Nassogne en remerciement d’avoir été sauvé durant la seconde guerre mondiale.
Cet étang qui s’étend devant le château d’eau accueille des animaux aquatiques et migrateurs. La pêche y est possible les mercredi, samedi, dimanche et jours fériés du 1er week-end d’avril à fin février. Tous les jours en juillet et août.
Une tombe surmontée d’une croix en plein cœur de la forêt.
Il s’agit d’un pavillon forestier qui a comme commodités, l’électricité, l’eau courante, cuisinière et frigo. Une toilette extérieure et du matériel d’entretien. Redevance d’occupation obligatoire !
Deux tables de pique-nique proches de l’étang Les Goffes, dans un parc calme, arboré et ombragé.
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Ce restaurant est dirigé en cuisine de façon dynamique et ambitieuse par Cédric Orban et Julien Doucet avec un menu carte que les hôtes composent en fonction de leurs envies. Inspiration ménagère tout en gardant le raffinement du produit.