Une ville touristique dynamique d’un peu plus de 5000 habitants, entourée de vastes forêts, dont certaines sont encore des possessions royales. Le tourisme cohabite avec l’exploitation forestière et les études agronomiques.
L’aéro-club des Ardennes organise ici des cours de pilotage et des vols de vulgarisation.
Par ailleurs, le Centre National de Vol à Voile y propose des stages d’animation et de perfectionnement au vol en planeur.
Une aire de barbecue avec pique-nique aux abords du Parc Dussart.
Cette basilique de style gothique flamboyant (16è) a été bâtie sur la place d’une crypte datant de 1064.
Le plan est en forme de croix latine.
Elle a une longueur de 81,50, une largeur de 30,50 m et mesure 65 m de hauteur.
Elle comporte 5 nefs, un déambulatoire et 13 chapelles rayonnantes.
A l’intérieur, les coûtes sont en brique.
Le cénotaphe est en marbre de Saint-Hubert.
Il y a également des stalles de 62 places décorées de 18
panneaux sculptés.
Le Maître autel est de style baroque.
Le trésor comprend des pièces très anciennes.
Une crypte est construite à la place de la basilique.
La basilique est construite.
La façade est reconstruite selon l’aspect actuel.
Les stalles sont construites.
Une statue du sculpteur Louis Noël qui représente le symbole de la ville : le cerf crucifère qui selon la légende, a converti Saint-Hubert au christianisme lors d’une partie de chasse.
Il s’agit d’un petit sanctuaire ouvert en pierres et en bois qui contient une statue de la Vierge, au croisement des deux rues.
La plus vieille église de la Province de Luxembourg après celle de Waha.
Sa tour massive est d’origine (1064).
Le plafond et le chœur datent de 1657, le tambour d’entrée du porche de 1739, la cloche de 1589 et les tombes du 18è et 19è siècles
A l’intérieur se trouve un maître-autel de style Louis XIII.
Le presbytère se trouve au n°56 de la Rue Saint-Gilles.
L’église est construite.
Le tambour d’entrée est ajouté.
L’église n’est plus l’église paroissiale du bourg.
Le cimetière paroissial est ôté.
L’église est entièrement restaurée.
Cet étang est à cheval sur l’enceinte du parc à gibier et sur la forêt avoisinante. Il est formé par le Ruisseau de Chirmont, un sous-affluent de la Lhomme, via le Ruisseau de Naredai et le Ruisseau de Poix.
Cette statue est à l’effigie de Joseph Redouté.
Pierre Redouté (1759-1840), surnommé "Le Raphaël des Fleurs", a donné des leçons de peinture aux dames les plus connues de Paris.
Sa statue se dresse devant l’hôtel de ville.
Son frère Henri-Joseph a pris part à l’expédition de Napoléon en Egypte en 1798)
Il a travaillé avec 150 érudits à la "Description d’Egypte".
Ce monastère construit en 1938 sur le site d’une ancienne ferme abrite une communauté de moniales bénédictines qui suivent la règle de Saint-Benoît. Il accueille hôtes, pèlerins et personnes en quête de retraite au calme.
Cette stèle en pierre naturelle est dédiée au Roi Albert.
On peut y lire : "Sur le sommet où il s’attarda souvent, le Roi Albert Ier s’arrêta longuement dans l’automne 1933. A son dernier voyage solitaire au cœur de nos forêts".
Il a été fondé le 7 juin 1984 dans le but de promouvoir le peintre-botaniste, né à Saint-Hubert le 10 juillet 1759, de sa famille et des artistes de son époque qui ont enrichi le patrimoine culturel de Saint-Hubert.
Pierre Redouté (1759-1840), surnommé "Le Raphaël des Fleurs", a donné des leçons de peinture aux dames les plus connues de Paris.
Sa statue se dresse deavnt l’hôtel de ville.
Son frère Henri-Joseph a pris part à l’expédition de Napoléon en Egypte en 1798)
Il a travaillé avec 150 érudits à la "Description d’Egypte".
Ce palais abbatial est originaire du 7è siècle. De style classique français en pierres calcaires, les briques sont peintes. L’ensemble forme un U fermé par une grille.
Les colonnes ioniques en marbre reçoivent les arcades des trois avant-corps.
Les fenêtres de l’étages sont coiffées de frontons alternativement courbes et triangulaires.
Les façades latérales sont dotées de frontons triangulaires et chronogrammes mentionnant le nom de l’abbé bâtisseur : Célestin de Jong et date de construction (1729).
La façade supérieure est surmontée d’un fronton courbe qui porte la devise de l’abbé : "Amore non timore" : "Par l’amour et non par la crainte" et le millésime 1729, année de reconstruction de l’abbaye.
Propriété de l’Etat : siège des Archives du Royaume et des Services culturels de la Province de Luxembourg.
Du gibier d’Ardenne en semi-liberté : cerfs, daims, chevreuils, sangliers et mouflons.
En janvier et février, le parc est ouvert les week-ends et jours de congé scolaires de 10:00 à 17:30.
En mars, avril, octobre, novembre et décembre, il est ouvert tous les jours de 10:00 à 17:30.
En mai, en juin et en septembre, il est ouvert en semaine de 10:00 à 18:00. Le week-end, il est prolongé jusqu’à 18:30.
En juillet et en août, il est ouvert de 10:00 à 19:00.
Ce parc public, autrefois arboretum, doit son nom au maître-tanneur Léon Dussart (1867-1916). Il était l’ami de Nestor Martin, fabricant d’appareils ménagers bien connus.
Une table de pique-nique près du rond-point central de la petite ville ardennaise.
Il s’agit d’un vestige en briques et en pierres d’une tour d’enceinte de la ville.
Une enceinte de 1 km de périmètre entourait l’ensemble des bâtiments monastiques.
L’abbé Benoît de Lessive entreprend la restauration du mur est de cette tour.
L’état belge acquiert les bâtiments monastiques et les transforme en un centre pénitencier pour jeunes délinquants jusque 1954.
Un mirador d’observation avec une vue sur la Fagne de la Borne et l’Aérodrome de Saint-Hubert.