Ce village situé entre la zone calcaire de la Calestienne et le premier contrefort ardennais, au sud-est de la confluence Ourthe-Amblève, est perché à environ 300 m d’altitude à la source du Ruisseau de l’Heid d’Ourthe.
Cette chapelle, isolée à un carrefour de chemins et ombragé par des tilleuls , comporte une façade-pignon en briques. Elle a été édifiée en 1761.
Cette chapelle date de 1878. Sous un plafond plat centré d’un ombilic en stuc, deux pilastres de maçonnerie supportent une table d’autel en pierre.
Des statues de Saint-Hubert de Saint-Donat encadrent celle de Saint-Roch. Un Jésus-Enfant sur le côté droit et quelques images murales complètent l’ensemble. Les murs latéraux contiennent deux niches à plein cintre, mais elles sont vides.
Cette chapelle reste un lieu de pèlerinage fréquenté par les gens atteints de maladies des yeux. L’édifice est moderne, il date de 1832, et fort simple un petit bâtiment en moellons calcaire avec parements en pierres de taille.
Cette chapelle en briques
est couverte de chaux avec un toit d’ardoises.
La façade est ornée de 2 fausses meurtrières à larges encadrements de pierres.
A l’intérieur, on y trouve des peintures murales modernes représentant des cerfs en train de s’abreuver et une chasse de St-Hubert (source de confusion quant à la dédicace de cette chapelle).
Elle a été érigée en 1886 lors de l’épidémie de choléra qui ravaga la Province de Liège. La tradition raconte que les pierres ont été amenées par les Saints-Roki, les pélerins qui se rendent à St-Roch.
Cette chapelle néo-romane en briques et en calcaire jouxte le Tilleul des Lognards. Elle date de 1862.
Le chronogramme indique : "Salnte Barbe I a La Mort aCCorDez-noUs / Votre proteCtion".
Certaines adjonctions plus récentes de ce château du 16è siècle datent de 1763.
Il est doté d’un vaste parc remarquable.
L’entité de Xhoris possède ce château depuis la révolution française.
Un Christ en croix au pied d’un hêtre.
Cette croix d’occis en calcaire, érigée en mémoire de Jean-Joseph Chevron décédé à l’âge de 23 ans, date de 1850.
Elle porte l’inscription suivante :
"ici morut 1er/ ianv 1850/ Jean Joseph Chevron age de 23 ans / honnete & vertueux jeune homme/ de Harze que son âme repose dans la paix de Dieu Pat Ave RIP"
Cette église de style roman a été reconstruite en 1971.
Elle est caractérisée par des murs très épais.
Ses fenêtres et ses voûtes sont en arc de plein cintre.
A l’intérieur, les piliers sont particulièrement massifs.
Le cimetière qui l’entourait a disparu en 1959.
Cette ferme en moellons de grès et de calcaire possède une pierre aux armes millésimée 1750 de François de Faymonville, prieur de Bernardfagne (Saint-Roch).
Elle a été cédée le 28 avril 1670 par Léonard Piromboeuf, dit de Godinry, curé de Chemaudin, en France-Comté, au monastère de Bernardfagne.
Fontaine (19è) composée de trois auges et d’un massif quadrangulaire de calcaire, orné d’une moulure et terminé en pyramide.
Cette bâtisse a été construite en 1868. Elle servit jusqu’au 1 janvier 1977 d’ administration communale et d’école primaire. Actuellement transformée en musée de la Vie Rurale.
Cette maison en moellons de calcaire date de 1782.
Maison de maître en pierre calcaire avec tour.
Monument à la mémoire des combattants de Xhoris tués au combat durant la 1è guerre mondiale.
Constitué grâce à la générosité des habitants de Xhoris, ce musée a été inauguré le 21 décembre 1975 dans la maison qui était autrefois la maison communale de Xhoris, avant la fusion des commune.
Il est dû à l’initiative du dernier conseil communal de Xhoris, fusionnée à présent avec Ferrières.
Tout ce que contient ce musée est dû au zèle et à la générosité des habitants de Xhoris (ils récoltèrent l’argent nécessaire au musée durant les mariages civils à la maison communale) et à l’apport personnel du conservateur Monsieur Gaston Kools.
On y trouve la reconstitution d’une ancienne cuisine, des outils relevant de l’artisanat local et de l’agriculture, des objets divers et des souvenirs qui ont appartenu aux habitants de Xhoris.
Le tout est présenté dans cinq pièces.
Xhoris est fusionné avec Cleurie.
Le jumelage a eu lieu le 27 juillet 1964.
Cette potale date de 1756.
Cette stèle fut édifiée lors du 30è anniversaire de la libération des camps en 1975.
Cet arbre séculaire a été classé par arrêté royal le 5/11/1965.
Ce tilleul fait partie des arbres ayant une croyance certaine : un arbre à clous.
Un arbre à clous (ou encore arbre à chiffons, arbre à loques) est un type d’arbre à prières ou arbre votif qui se rencontre particulièrement en Belgique, mais aussi dans d’autres régions. Sa réputation se base sur l’ancienne croyance populaire qui estimait qu’un mal physique (son mauvais esprit), principalement les maux de dents et les maladies de la peau, pouvait, par un processus rituel, être extirpé du corps et cloué à un arbre. L’élimination du mauvais esprit entraînait ainsi la guérison1.
La présence des arbres à clous rappelle aujourd’hui une des dernières survivances de rites antiques issus de diverses formes de paganisme progressivement substitués par d’autres symboles de la religion catholique. Ils sont aussi remarquables par les missions et rôles curieux que leur ont assignés les hommes.
Source : Wikipedia
Quatre gîtes dans une ferme d'élevage bovin et de culture.
Promenade de gare en gare
Aywaille vu d’en haut
Une vallée de l’Ourthe très abrupte
Plein les yeux de l’Amblève au Wayai, en passant par le Ninglinspo !
L’Ardenne forestière dans toute sa splendeur
Sur le sentier des panoramas sur Comblain et sur la confluence Ourthe-Amblève
Le tour des rochers du nord de Comblain-au-Pont
A la confluence de l’Amblève avec l’Ourthe, panoramas assurés !
Au cœur du Mahoûsseux
Une vue sur près de 20 km vers Liège !
Le feutré de Ferrières
Le tour du Bois de Bernardfagne
Ambiance bucolique au sud du Mahousseux
A la découverte de Vieuxville et de sa dimension historique