Ce village s’étend perpendiculairement au Glain, sur sa rive gauche. Sa place située en retrait de la route principale qui le traverse, la N892, est remarquablement aménagée.
Décentrée par rapport au village de Gouvy proprement dit, l’administration communale se situe à Bovigny, à 5 km de Gouvy.
Ce bac-abreuvoir en pierre de taille est actuellement toujours alimenté par une fontaine.
Cette chapelle en moellons, au pignon blanchi, est construite sur le site du Mont Saint-Martin dans un cimetière de plan circulaire entouré d’une muraille de moellons non liés, récemment restaurée.
Elle a été construite par l’Abbé Debra en 1850 sur les ruines d’une ancienne église romane datant de 1130. Certaines fouilles ont encore lieu actuellement.
Un chemin de croix en schiste est planté le long du chemin vers la chapelle à l’initiative de l’abbé Bernard.
14 pierres tombales représentent les stations. Celles-ci proviennent de tombes désaffectées du cimetière de Bovigny.
Une villa royale est étable dans la région du Glain. Charles Martel y rend une sentence en faveur de l’Abbaye de Stavelot au niveau de ses possessions.
Une chapelle rectangulaire sans tour est construite sur le site de Saint-Martin. Ses murs ont un mètre de large et sont constitués de plaquettes de schiste et de moellons de grès.
Cette villa royale est à nouveau citée dans un diplôme de Louis le Pieux confirmant les droits de l’Abbaye de Stavelot dans ses possessions.
La chapelle du Glain est mentionnée une dernière fois dans un diplôme.
’édifice devient une église romane. Le choeur est prolongé de 1 m et passe à 5 m. Il est renforcé par 2 petits contreforts. Un nouvel autel est érigé à 70 cm du mur du fond.
Des calamités de toutes sortes frappent la région. Plusieurs hameaux sont abandonnés. La vieille église commence à tomber en ruine malgré un entretien d’apparat.
La chapelle de Bovigny remplace officiellement et définitivement en tant qu’église paroissiale celle du Mont Saint-Martin. L’autorisation est donnée d’utiliser les restes de l’ancienne église.
Il subsiste de la tour une partie encore imposante.
L’abbé Debra, aidé par des paroissiens, récupère les derniers restes pour construire la chapelle : quelques messes y sont encore célébrées. S’y trouvent encore d’anciens fonts baptismaux romans datant du 12è siècle qui servent de bénitiers.
Un chemin de croix en schiste est planté le long du chemin vers la chapelle à l’initiative de l’abbé Bernard. 14 pierres tombales représentent les stations. Celles-ci proviennent de tombes désaffectées du cimetière de Bovigny.
Le site est classé.
Des fouilles mettent à jour les fondations d’une annexe.
Un Christ en bronze sur une croix de bois avec une toiture à deux pans.
Cette église fut construite en 1891 sur l’emplacement d’une ancienne chapelle à flèche octogonale saillante sur soubassement prismatique à coyaux.
Les dalles sont très anciennes : Curé Lemoine (1797) et Vicaire Blaise (1802).
Une chapelle est renseignée à Bovigny.
Cette chapelle est reconstruite.
Un clocher est ajouté à la chapelle.
Le presbytère est construit près de la chapelle.
L’église actuelle est construite à l’emplacement de la chapelle.
Le clocher de l’église est restauré.
Ce monument conçu par l’architecte Joseph Loutschen est situé au cœur du village, devant l’église. Il est dédié aux victimes des deux guerres mondiales. Il a été inauguré le 11 septembre 1921.
Ce mortier allemand pour des obus de 170 mm se trouve juste à côté du mémorial aux victimes des deux guerres.
Un parc remarquable au cœur du village, doté d’une plaine de jeux et d’une vaste aire de repos.
Une table de pique-nique au cœur du village, près du monument aux morts et de l’église.
Une plateforme d’observation dans le prolongement des caillebotis.
Cette lande a été réhabilitée dans le cadre du projet LIFE en la nettoyant des plantations de résineux. Ceci a permis de reconstituer une flore typique à la végétation basse.
On peut ainsi trouver des sphaignes, des orchidées, des narthécies, de la bruyère quaternée, de la canneberge du genêt des Anglais et même une plante très rare : le lycopode sélagine. Comme arbres, une boulaie tourbeuse a pris possession des lieux.
La faune n’est pas en reste avec le retour du nacré de la canneberge, un papillon très rare.
De nombreux oiseaux sont observables tels que le cassenoix moucheté, le pic noir, la bécasse des bois, la pie grièche grise ou encore la pie-grièche écorcheur.
Les mares qui ont été creusées ont permis le retour de batraciens ainsi que différentes espèces d’odonates.
Ce gîte vous accueille dans une ambiance vacances dès le départ. Intérieur de style moderne et fonctionnel, confort actuel, un jardin très agréable et bien orienté. Point de départ idéal pour des promenades, des découvertes et de l’aventure.