La tour est placée comme un étroit avant-corps devant la nef.
La sacristie se trouve le long du chœur comportant un chevet brisé.
On peut y voir également un vitrail datant de 1939 représentant la légende de Saint-Hubert. Deux autres vitraux contemporains dans le chœur ont été réalisés par le peintre-verrier Louis-Marie Londot de Namur en 1954.
Dans le porche, on peut y trouver le hêtre Ollivier. Il s’agit d’un morceau de bois sur lequel ont été gravés nom, prénom, date et numéro de régiment du soldat Henri Ollivier lors de la bataille de Maissin d’aout 1914.
L’orgue placé en 1953 a été réalisé au début des années 1950 par le facteur d’orgue allemand Alfred Führer. Sa construction a été dirigée par le maître-d ’œuvre belge Jean Van de Cauter. Il fut l’un des premiers orgues positifs à commande mécanique installés en Belgique après la guerre.
La chaire de vérité a été démontée dans la seconde partie du 20è siècle mais on en a conservé les 4 panneaux en bois qui reprennent les 4 évangélistes. Ils ont été accrochés à un des murs de la nef.
Situé entre Maissin et Villance, il a été construit au 18è siècle. Il a été élargi au 19è siècle afin de permettre de canaliser les animaux avant de franchir la rivière. On peut toujours apercevoir un cordon saillant au niveau de la base du parapet servant de guide.
De style romain, il comporte 4 arches de hauteur inégale.
Il a été construit sous le règne de l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche.
Sa véritable vocation permettait de faciliter la traversée de la Lesse, sachant qu’il se trouvait sur le passage d’une importante voie de communication à l’époque, entre la principauté de Liège et le duché de Bouillon.