Ce château date du 15è siècle. Les Jeunesses Musicales y organisent chaque année au mois d’août le Gaume Jazz Festival, de renommée internationale.
Une partie du château abrite également un Centre de Formation socioculturelle dépendant de la Communauté française (Direction Générale de la Culture) destiné à l’accueil de stages et de formations culturelles (avec possibilité d’hébergement et de restauration).
Arnoul II, Comte de Chiny, bâtit à Rossignol un château-forteresse, un moulin et un four. Une agglomération se forme.
Rossignol devient une seigneurie.
Le château est rasé par le duc de Nevers.
Seconde destruction par les Français.
Gilles de Waha et Claude de Laittres le rebâtissent. La famille de Laittres, originaire de Saint Mard occupe le château.
Théodore de Laittres. Sa sœur Gabrielle décède. La comtesse van der Straeten-Ponthoz devient propriétaire et ses descendantes sont les dernières occupantes.
Les comtesses van der Straeten mettent le château à la disposition de la croix-rouge qui aménage une ambulance.
Près de 800 soldats affluent.
Le premier étage du bâtiment héberge le Centre d’Animation Globale du Luxembourg et ses partenaires Projets Luxembourg et Histoire Collective.
Le château (et le parc de 12 hectares) est racheté par la commune et devient un centre culturel.
Cette ancienne maison de maître fut pendant près de douze siècle, la demeure de la famille Prouvy.
Château, ancienne propriété de la Seigneurie de Villemont fondée en 1270, à l’emplacement d’une ancienne villa gallo-romaine.
Ce château construit au coeur d’un grand domaine de 1800 ha est situé en lisière de la Forêt de Chiny et appelé "la croisette de Suxy".
La reconstitution d’un bâtiment (16è) a eu lieu au 19 è.
Le château est aujourd’hui reconverti en Hôtel de Ville, maison de repos et de vacances.
Caveau des 120 victimes assassinées par les Allemands le mercredi 26 août 1914.
126 habitants de Rossignols sont arrêtés par les Allemands. Ils sont amenés à la gare d’Arlon dans un train à bestiaux.
Ce sanctuaire de guerre (1914-1948) est classé au patrimoine civil public de Wallonie. Les arbres séculaires y figurent une cathédrale en pleine forêt.
L’église a été fondée en 1708 au milieu d’un ancien cimetière.
Elle fut reconstruite en 1846.
Elle fut bombardée par les Allemands en 1914. 3 obus sont encore visibles actuellement dans la façade.
Ce monument en grès bleu, œuvre de Jeanmart de Sainte-Marie sur Semois, a été érigé en souvenir du massacre de la 3è division d’infanterie coloniale de l’armée française par le 6è corps d’armée silésien.