Ce château, de style Louis XIV, a été construit selon la volonté du châtelain de Logne, Godefroid de Rahier et son épouse Anne-Marie Philippe d’Argenteau à l'occasion de leur mariage, entre 1682 et 16
Ce château, de style Louis XIV, a été construit selon la volonté du châtelain de Logne, Godefroid de Rahier et son épouse Anne-Marie Philippe d’Argenteau à l'occasion de leur mariage, entre 1682 et 1687, à l'emplacement d'une demeure féodale, qui avait été incendiée en 1675.
Nous devons la construction du château à Godefroid de Rahier (châtelain de Logne) et à son épouse Anne-Marie Philippe d’Argenteau, dès l’année de leur mariage en 1682, sur emplacement d’une demeure féodale incendiée en 1675.
Elle faisait partie d'une des 7 seigneuries de Limbourg.
http ://archives.lesoir.be/vies-de-chateau-5-6-bienvenue-chez-la-baronne-dans-le-s_t-20030808-Z0NECN.html
http ://www.avouerie-anthisnes.be/patrimoine-villers.php
Partie supérieure des piédroits ornés de motifs floraux sculptés en taille d’épargne. De part et d’autre de l’escalier. Oculi (Petite baie de mur de forme ronde ou ovale, lucarne) à encadrement calcaire rectangulaire également orné. Bel étage accessible par un portail rectangulaire appareillé à refends sous entablement. Porte cintrée flanquée de pilastres toscans et surmontée d’un panneau aux armes d’alliance Rahier-Argenteau.
Lions en tenants et inscription Rahier à gauche, Argenteau à droite. Date de 1687. Aux deux étages, baies à croisée (croisées ôtées au premier). Linteaux (Pierre massive, poutre bois ou acier ou béton, partie de baie support horizontal supérieur du mur) traverses et appuis prolongés en bandeaux continus. Entre ces niveaux, ancres formant la date de 1682.
Pignons et façade arrière en maçonnerie de moellons de grès et de calcaire. Baies à traverse (certaines bouchées) éclairant les arrières datée par ancrages 1682 sous la toiture.
Rez de chaussée percé d’ouvertures du 18è à linteau échancré à clé et d’une porte à linteau droit du début du 19è. Etages éclairés par des baies du milieu du 17è, à croisée, aux piédroits harpés. Bandeaux plats dans le prolongement des appuis, traverses et linteaux. Corniche à blochets (Pièce de charpente horizontale solidarisant le pied d’un arbalétrier avec une jambe de force (charpente à faux-entrait).
Mansard (Charpente de toit avec ferme triangulaire posée sur structure bois en trapèze presque rectangulaire) d’ardoises à coyaux percé de lucarnes à croupes. Souches de cheminée en briques, harpées de calcaire aux angles.
A l’angle nord, tour de section carrée, en calcaire, limitée par des chaînages d’angle.
Deux niveaux et demi sur caves hautes.
Une seule travée (Baie ou volume ou groupe éléments de construction, élément en ensemble ordonné entre supports principaux répétitifs). Baies du milieu du 17è à traverse (certaines bouchées) et jours rectangulaires chaînés sous corniche à blochets. Ouvertures de tir à l’ouest. Elégante toiture d’ardoises à coyaux (Chevron rapporté à la base d’un versant pour adoucir la pente de l’égout) : pavillon brisé surmonté d’un parallélépipède ajouré à l’Est, puis d’une courte flèche à huit pans surmontée d’une girouette.
Source : Patrimoine Monumental de Belgique
Ce château date de la fin du 19è siècle dans sa forme actuelle.
C’est l’ancienne propriété de l’Abbaye de Saint-Laurent du 17è.
Les dépendances et certaines parties communes datent également du 17è.
Cet arboretum forestier et ornemental, qui s’étend sur plus de 3 ha, a été créé en 1918.
On peut le visiter à travers un sentier balisé.
On y trouve de nombreux arbustes exotiques et ornementaux.
Ces arbres gigantesques sont disséminés dans le parc du Domaine du Rond-Chêne, dont un à rue le long des barrières.
Ce château date de la fin du 19è siècle dans sa forme actuelle.
C’est l’ancienne propriété de l’Abbaye de Saint-Laurent du 17è.
Les dépendances et certaines parties communes datent également du 17è.
Cette exploitation agricole possède une forme en U et ses bâtiments sont groupés autour d'une cour carrée en moellons calcaires. Elle date du 17è.
Cette ancienne ferme en moellons de grès et calcaire a été construite au 18è siècle.
Une table de pique-nique à l’ouest du parc du Mary.
Une table de pique-nique au cœur du parc du Mary.
Cette stèle apposée sur un rocher a été placée en 1990 à l’occasion du 85è anniversaire de la fête de l’arbre le 20 mai 1990.
Ce verger aux plantations récentes s’étend sur un terrain en pente de 1,3 ha.