Château du 18è à la tour bulbeuse disposé en "L", en briques et en pierres de taille.
Déjà maison-forte au 16è, la Cense du Sart. futur château d’Awan, est aux mains des La Vaulx-Froidcourt au début du 12è. incendie général du temps des Linden vers 1650. Paul de Fisenne rachète le Sart en 1660 et le relève de ses ruines (dalle armoriée 1661): il est le premier
seigneur à y habiter. En 1745, le corps de logis est ravagé par le feu. Les Fisenne vendent Awan en 1765 à la douairière d’Andriessens. Le bien passe aux Simonis, de Verviers, après la rèvolution, puis à Mme Richard, née Lamarche, en .1833. Dans cette famille et sa descendance jusqu’à nos jours.
Précédé d’une drève de tilleuls, le château dispose ses bâtiments en briques et calcaire autour d’une cour carrée agrémentée d’un bassin et piquée à ses angles sud-est, sud-ouest et nord-est de trois tours carrées. Entrées à I’ouest. et à l’est par un portail calcaire à arc en anse de panier, à claveaux passants un-sur-deux. Bâtières d’ardoises à longues croupes. Au sud, corps de logis en briques et calcaire composé d’un pavillon carré prolongé à l’Est- par une annexe de trois travées terminée par une tour carrée partiellement masquée, côté cour, par une construction basse. Façade nord élevée dans la 2è moitié du 18è.
Source : Patrimoine Monumental de Belgique
Ce château se situe au fond d’une allée de hêtres pourpres.
Sa façade qui date de la fin du 17è est en grès et en calcaire.
Certaines adjonctions plus récentes de ce château du 16è siècle datent de 1763.
Il est doté d’un vaste parc remarquable.
L’entité de Xhoris possède ce château depuis la révolution française.
Ce château date du 19è siècle.
La façade arrière donne sur la cour d’une ferme de la fin du 16è.
Elle est visible depuis le portail d’entrée situé Rue du Comte.
Cet ensemble est doté au niveau de la route de deux tourelles circulaires datant du 17è siècle, construites majoritairement en calcaire.
Ruines d’une forteresse médiévale du 10è.
Elle fut détruite à la fin du 16è.
Il a été occupé par les Quatre fils Aymon.
Il subsiste encore quelques murs, des escaliers et une partie du donjon.
Ce château a été construit en 1776 à l’emplacement de l’ancienne verrerie qui fabriquait les bouteilles pour les eaux de Chevron.
Inauguré le 14 septembre 1952.
Vue sur Aywaille.
Cette chapelle est dédiée à Notre-Dame de Banneux, Vierge des Pauvres a été construite en 1950 à l’initiative des habitants et du curé. Elle n’est plus utilisée pour des services religieux depuis la fin des années 1980.
Cette chapelle dédiée au Cœur Immaculé de Marie fut érigée en 1908 à l’initiative de Max Lohest et sa femme Marie Lambert, propriétaires de l’ancien moulin de Martinrive.
Certaines adjonctions plus récentes de ce château du 16è siècle datent de 1763.
Il est doté d’un vaste parc remarquable.
L’entité de Xhoris possède ce château depuis la révolution française.
Centre de séminaires résidentiels.
Ce château a été construit en 1776 à l’emplacement de l’ancienne verrerie qui fabriquait les bouteilles pour les eaux de Chevron.
Un cimetière dédié aux meilleurs amis de l’homme.
Quelques pierres funéraires disposées dans une pelouse sur le côté du château.
Au 18eme siècle, le comte d'Eynatten fit construire les bâtiments qui se trouvent dans la grande cour et dont l'un est d
Aux abords de l’entrée de la ferme, tilleul vénérable ombrageant un christ en fonte sur socle calcaire de 1852
Cette croix a été placée le 18 juin 1937 par des ouvriers de la Société Electricité Seraing et Extensions. Elle est illuminée durant les fêtes de Noel.
Cette croix commémorative a été érigée à l'endroit précis où Edmond Martin, maquisard, a trouvé la mort le 9 septembre 1944.
Cette église a été construite à la place d’une chapelle datant du 16è siècle.
La nouvelle église a été consacrée en 1841. Elle a été agrandie en 1926.
Cette église, avec ses façades en moellons calcaires a été restaurée en 1958.
Cette ancienne gentilhommière en moellons de calcaire et de grès était déjà citée en 1325.
Cette ferme en briques et calcaire a été bâtie en 1880.
Cette ferme en moellons calcaires sise près de l'église d'Aywaille est un ancien prieuré.
Jusqu’au 18è, le château était bordé d’une douve emplie d’eau.
Cette eau provient du ruisseau de l’Hermiterie et est canalisée jusqu’à la fontaine.
L’un des 31 fortins qui assuraient la défense de l’Amblève.
Cette petite grotte qui s’ouvre dans le calcaire givétien comptait avant nos explorations environ 100 m de développement.
Au niveau inférieur de la galerie d’entrée on note la présence d’une rivière
Cette gare est devenue un simple point d’arrêt sur la ligne 42 Rivage - Gouvy. Elle a été mise en service en 1885 par l’État belge.
Ce kiosque à musique rustique a été construit en 1892.
Les colonnes et le garde-corps sont en béton imitation branchages et troncs d’arbre.
Cette habitation en moellons blanchis en calcaire faisait autrefois partie du prieuré d'Aywaille.
Elle a été reconstruite après un grave incendie qui a eu lieu en 1691.
Cette petite maison mitoyenne en moellons de grès et calcaire date du 18è siècle.
Mémorial dédié à Mr Grégoire, motocycliste, inauguré le 4 juillet 1935.
Ce monument commémore la chute d'un avion, un Breguet 19B2 1717 sur le Gibet de Harzé, près de Niaster, en 1930.
L'inauguration eut lieu le 6 octobre 1969.
Ce monument est dédié aux américains et à la résistance.
Monument dédié aux morts de la seconde guerre mondiale.
Ce monument est dédié aux victimes des deux guerres mondiales.
Il a été dessiné par l’architecte A. Henfling et inauguré le 11 octobre 1931.
Cet ancien moulin à grains en pierre date de 1483. A l’origine, il s’agissait d’un moulin à écorces.
Dans le cadre exceptionnel des anciennes dépendances du Château de Harzé (16è), le musée vous invite à suivre toute l’aventure du pain.
Un mémorial dressé dans ce parc en mémoire du Docteur Thiry, ardent défenseur des sites et des monuments de la région. Le parc où se situe l’administration communale porte son nom.
Une table de pique-nique au centre du hameau.
Une table de pique-nique au cœur du hameau.
Dans le porche d’entrée du château. Cette plaque est dédiée aux libérateurs du Château de Harzé en 1944, alors qu’il avait été réquisitionné le 29 octobre 1944 pour y installer un état-major de l’armé
Un point de vue sur des villages des communes d’Aywaille et de Ferrières. Par temps clair, on peut même apercevoir les hauteurs de Herve et Micheroux.
Un beau point de vue du dessus de la colline située sur le versant oriental du Ruisseau du Fond de Harzé.
Une très belle vue sur Aywaille, la vallée de l’Amblève et sur de nombreux villages des communes d’Aywaille et Sprimont.
Ce pont construit en 1952 a été inauguré le 10 octobre et remplace celui datant du 17 avril 1935 et qui fut bombardé le 10 mai 1940.
Il s’agit de deux monolithes de calcaire hauts de 2 à 5 m dont l’un d’entre eux a véritablement la forme d’une cour. D’après la légende, une méchante sorcière immolait les enfants sur ce rocher, d’ou la sinistre dénomination.
Le plus important rocher de la vallée de l’Amblève. Une grande partie de sa base baigne dans la rivière.
Il atteint une hauteur de 65 m.
Cette stèle est dédiée aux 23 anciens élèves décédés durant la seconde guerre mondiale.
Cette stèle est apposée en face de l’entrée du Château de Harzé.
Elle est dédiée aux aviateurs tombés sur le territoire durant la seconde guerre mondiale ainsi qu’à Adolphe Manset, fusillé à cet endr
Il s’agit d’anciennes carrières de grès, dont les parois rocheuses en forme de tartines, comme à Comblain-au-Pont, dévoilent un grand intérêt géologique mais aussi du point de vue de la faune (couleuvres, lézards des murailles...).