Il s’agit d’une ancienne collégiale de style ottoman édifiée, en grès houiller, entre la fin du 11ème et la fin du 12ème siècle.
Son intérieur est décoré en style baroque français.
La cuve, décor
Il s’agit d’une ancienne collégiale de style ottoman édifiée, en grès houiller, entre la fin du 11ème et la fin du 12ème siècle.
Son intérieur est décoré en style baroque français.
La cuve, décorée de 4 scènes relatives au baptême, dont le baptême du Christ, repose sur 4 pierres et paraît soutenue par 10 boeufs (12 à l’origine).
fin 11è à fin 12è L’église est bâtie.
1747 L’église est agrandie. 2 nefs latérales lui sont adjointes. L’on perce le massif occidental d’un portail néo-classique.
1876 Les tours jumelles sont reconstruites.
Cette ancienne collégiale d’origine romane datant du 10è siècle. Il a été ravagé par un incendie en 1312.
La collégiale est dûe à Notger.
Elle faisait partie du système défensif de Liége, comme en témoigne la tour massive qui était une tour de guet.
A la fois romane, gothique et rococo, elle a gardé d
Cette Collégiale est connue pour être la préférée de Notger.
On dit que Notger y a été inhumé mais mais on n’a jamais retrouvé son tombeau.
Au 10ème siècle, la Collégiale est fondée sur le modèle
La Collégiale fondée par l’évêque Notger (en 979) est, aujourd’hui, considérée comme un chef-d’oeuvre en péril.
Cette église est caractérisée par son dôme vert et son caractère imposant.
Elle a été bâtie en 1936.
Eglise de style gothique flamboyant avec massif occidental en roman mosan.
Cette église de style néo-classique en briques à cinq travées est harpée de calcaire aux angles.
Ce bâtiment restauré englobe la cour historique d’un l’ancien couvent. Sa capacité est de plus de 200 lits.
Cette ancienne collégiale d’origine romane datant du 10è siècle. Il a été ravagé par un incendie en 1312.
Devant le Grand Curtius, deux canons rappellent que Liège a eu sa fonderie de canons. On y fondait aussi des boulets.
Cathédrale datant du 10è siècle fondée par l’évêque Eracle.
L’église gothique date du 13è.
A l’intérieur, une triple nef est bordée de chapelles, sur lesquelles est aligné le transept.
Les voûtes
La collégiale est dûe à Notger.
Elle faisait partie du système défensif de Liége, comme en témoigne la tour massive qui était une tour de guet.
A la fois romane, gothique et rococo, elle a gardé d
Cette Collégiale est connue pour être la préférée de Notger.
On dit que Notger y a été inhumé mais mais on n’a jamais retrouvé son tombeau.
Au 10ème siècle, la Collégiale est fondée sur le modèle
La Collégiale fondée par l’évêque Notger (en 979) est, aujourd’hui, considérée comme un chef-d’oeuvre en péril.
Ce site champêtre situé partiellement dans le centre historique de Liège compte plus de 60 monuments classés au patrimoine matériel de la Région wallonne. Il comporte 13 km de promenades balisées.
Cette église est caractérisée par son dôme vert et son caractère imposant.
Elle a été bâtie en 1936.
Eglise de style gothique flamboyant avec massif occidental en roman mosan.
Le verger de hautes tiges et le terrain boisé faisant partie du quartier de Pierreuse sont classés au Patrimoine de la Région wallonne depuis le 12 avril 1999.
Cette ferme a été construite dans la seconde moitié du 16è siècle. Il appartient actuellement au CPAS de Liège.
Cette gare située près de la bifurcation entre la ligne 37 (Liège-Hergenrath) et la ligne 43 (Angleur-Marloie) a été mise en service le 1er juillet 1843.
Depuis le 28 juin 2013, elle est devenue un simple point d’arrêt.
Cet édifice baroque teinté de classicisme est de plan rigoureusement symétrique. Les décorations de façade sont de type traditionnelles. A l’intérieur, le style est à tendance rococo.
Cette célèbre rue aménagée en escalier de 373 marches est la plus longue du genre en Europe.
Cette haute obélisque qui domine le sommet de la Montagne de Bueren a été érigée en l’honneur du 14è Régiment de ligne de l’armée belge qui a combattu lors de la première guerre mondiale.
Cette stèle, avec un bas-relief de la Vierge Marie, dédiée aux victimes liégeoises de la première guerre mondiale, comporte 11 noms auxquels sont venus s’ajouter de part et d’autre 8 noms de militaires et de résistants de la seconde.
Ce musée créé en 1913 possède une des plus riches collections concernant les wallons, du 19è siècle à nos jours. Un théâtre de marionnettes avec des personnages du répertoire traditionnel liégeois : Tchantchès, Nanèsse, Roland, etc.
Ce musée ouvert en 2012 présente des appareils d’éclairage utilisés dans le monde depuis la préhistoire jusqu’à nos jours. Porté par Philippe Deitz en faveur de la Ville, il collectionne les luminaires anciens depuis l’âge de 15 ans.
Ce palais prestigieux comporte 2 cours intérieures, dont une, accessible aux visiteurs, est entourée de galeries reposant sur des colonnes décorées de manière particulière.
Il s’agit d’un bâtiment de style néogothique qui témoigne de l’histoire liégeoise.
Construit de 1849 à 1853, cette aile est le siège du gouvernement provincial.
Ce pont pédestre sur la Meuse, appelé aussi Passerelle de la Régence, relie Outremeuse et la Rue de la Régence au niveau de l’Université.
Il est constitué de 2 travées de 52 m de long et de 5,80 m de large.
Une table de pique-nique au bas de la Rue Pierreuse.
Cette place est dédiée à Saint-Lambert, l’évêque martyre.
Très connue à Liège, il s’y trouve le Palais de Justice.
Ce pont relie actuellement les deux rives de la Meuse à hauteur de la cité de Droixhe.
Les piles de ce pont très connu à Liège sont décorées de quatre statues symbolisant la naissance de la Cité liégeoise par une mère et son enfant, un chevalier évoque le moyen-âge.
Ce pont permet de relier le Centre de Liège au Quartier de Longdoz.
Il est fréquenté par plus de 15000 véhicules par jour.
Deuxième port fluvial européen pour le tonnage (en 2004 : plus de 22 millions de tonnes manutentionnées), derrière le port rhénan de Duisbourg (Allemagne) et devant le Port autonome de Paris.
Cette statue équestre de Charlemagne a été sculptée par Luc Jehotte et inaugurée en 1868. Le grand empereur tend le bras et les Liégeois lui font dire "Ploû-t-i?" (Pleut-il ?). Dans le piédestal, on peut voir la représentation de ses ancêtres.
Statue montrant un homme pensif : Charles Rogier, artisan de la Révolution de 1830, réconforté par une muse fort bien en chair et heureusement dédaignée par un lion tout pensif lui aussi.
Cet espace vert situé derrière le palais des pinces-évêques font partie de l’ensemble des Coteaux de la Citadelle. "Minimes" provient du nom du couvent en ruines présent à cet endroit.
Cet édifice de style néo-classique est classé patrimoine protégé de Wallonie.
La grande salle à l’italienne dont l’hémicycle est entièrement recouverte de velours et de bois pour la qualité acoustique.