Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Elle a remplacé, en 1878, celle qui, de son clocher semi-bulbeux, a vu vraisemblablement des siècles de l’histoire ancienne de la paroisse.
Dans la nouvelle, il n’est rien resté de l’ancienne, sinon la pierre tombale d’Henri Adam, vicaire de la paroisse, décédé le 2 juin 1748. Et aussi les deux cloches, fondues en 1849 par Causard frères, à Tellin.
L’une d’elles est partie en Allemagne le 31 mars 1944 pour une bien périlleuse randonnée. Elle en est revenue, le 6 novembre 1945 sans avoir subi trop de dommage.
Ses colonnes monolithiques sont remarquables. Le chœur a un chevet à trois pans et est tourné vers l’Est, symbole de résurrection. Les orgues datent de 1914.
Le mobilier, dont trois autels à retable, la chaire de vérité, les confessionnaux, les bancs de communion et la balustrade du jubé, sont en chêne sculpté avec soin par Mr Olivier Merveille.
Les vitraux datent de 1898 (I. Grosse-De Herde, de Bruges).
La restauration intérieure de 1947 a accentué son cachet de simplicité religieuse. Malgré cette restauration, l’église a conservé, au-dessus de la nef centrale, tout près de la tour, quelques traces du passage à travers la voûte d’un Allemand qui, le 15-2-1944, voulait se rendre compte par lui-même qu’on ne cachait ni armes, ni réfractaires, dans les combles de l’édifice.
Source : ferrieres.be
Devenu menaçant, le clocher a été remplacé en 2017 par une étonnante structure en tôles d’acier inoxydable dessinée par les architectes Canevas-Greisch. Il s’agit ici de la première commune dont l’église est dotée d’un clocher métallique constitué d’une seule pièce.
Alors qu’il avait été envisagé de rendre la toiture entièrement plane, cette solution a permis au bâtiment de conserver sa vocation de repère et sa silhouette.
Relativement légère avec ses 24,5 tonnes puisque l’ancien clocher a draîné 270 tonnes lors de son démontage. De plus bien moins onéreux que s’il avait fallu conserver l’ancienne structure.
C’est par la croix intégrée que l’ensemble a été hissé sur la tour par une grue puis fixé solidement dans une dalle en béton.
Ce bâtiment de style néo-gothique en briques et en calcaire date de 1868.
Elle a été construite sur les plans de l’architecte Bouvy de Marche.
Elle remplace un bâtiment de style roman plus ancien.
Cette église néo-gothique construite en 1854 remplace un bâtiment plus ancien datant vraisemblablement du 17è siècle.
La salle des fêtes du village.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette ferme pédagogique en moellons de calcaire produit du beurre, du lait, de la glace et du fromage.
L’architecture est de type semi-clôturé.
La cour intérieure pavée est accessible par un porche-colombier datant du 18è siècle.
Ce jardin clos restauré à l’initiative de l’association locale Qualité-Village-Ferrières situé à côté de l’église Saint-Martin contient plusieurs croix et monuments funéraires en fonte et en calcaire remarquables.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Ce monument où s’élève une grande statue de Jésus a été élevé en 1922 par la paroisse de Ferrières, en reconnaissance de ce qui a été épargné durant la première guerre mondiale.
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
La Place s’appelait, jadis « Li Pieri ». En 1823, elle porte le nom de « Li Bâti », pour être actuellement Place de Chablis.