Cette église néo-gothique construite en 1854 remplace un bâtiment plus ancien datant vraisemblablement du 17è siècle.
Ce bâtiment de style néo-gothique en briques et en calcaire date de 1868.
Elle a été construite sur les plans de l’architecte Bouvy de Marche.
Elle remplace un bâtiment de style roman plus ancien.
Cette église de style néo-gothique a été édifiée en 1860 sur les plans de l’architecte Bouvrie.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Cette église de style éclectique en moellons calcaires a été édifiée en 1878, à la place d’une chapelle qui datait de 1520.
Cette église de style néo-roman a été construite au 19è siècle. Elle remplace un bâtiment plus ancien tombé en ruines et menaçait de s’effondrer.
La salle des fêtes du village.
Une petite chapelle en moellons de calcaire, située au carrefour entre Lognoul et le Houpet. Elle est millésimée 1897 et a été bâtie par le forgeron Michel Chabot qui habitait à côté.
Cette chapelle date de 1954. Elle porte plusieurs dénominations suivant qu’on désigne le propriétaire ou les localisations.
Cette chapelle en moellons de calcaire avec un chevet à pans coupés, entourée de 2 marronniers, a été construite en 1920 par Jules Dallemagne. La porte d’entrée est dotée d’un arc en plein cintre très légèrement brisé.
Cette chapelle est en fait ce qu’il reste de l’ancienne église paroissiale Saints-Pierre et Paul (1100). Cette dernière a été détruite en même temps que le château de Logne en 1521. Seuls le choeur et la nef furent épargnés.
Dénommée aussi "Tchapèle dè Rave", cette chapelle fut édifiée en 1923 par Joseph Mossay et Amélie Gillard en remerciement à Saint-Roch après une épidémie épizootique (frappant les animaux).
Cette petite chapelle arrondie en moellons de grès date de 1935. Elle comporte un portail garni de roses et possède des vitraux façonnés par un maître-verrier liégeois.
Cette exploitation élève des chèvres alpines chamoisées. On y fabrique toute une gamme de fromages fermiers.
Visitable librement ou accompagné, elle propose un parcours balisé avec des panneaux didactiques.
Cimetière qui recèle le monument funéraire du compositeur Pierre-Auguste Dupont, auteur d’une cinquantaine de numéros d’opus publiés en partie de son vivant.
Cette croix porte un Christ torsadé, sur une croix de bois avec un pied peint en brun, forgé par René Maquoi d’après un modèle fourni par la famille Billy.
Le tout est fixé sur une croix de bois avec un pied peint en brun.
Un Christ en croix posée sur un piédestal en pierre calcaire.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette église de style néo-gothique a été édifiée en 1860 sur les plans de l’architecte Bouvrie.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Cette église de style néo-roman a été construite au 19è siècle. Elle remplace un bâtiment plus ancien tombé en ruines et menaçait de s’effondrer.
Cette ferme date du 16è siècle. Elle appartient actuellement à la Fédération du Tourisme de la province de Liège.
Cette ferme pédagogique en moellons de calcaire produit du beurre, du lait, de la glace et du fromage.
L’architecture est de type semi-clôturé.
La cour intérieure pavée est accessible par un porche-colombier datant du 18è siècle.
Cette ferme vend des produits fermiers dont du beurre, du fromage, de la glace et du yaourt.
Deux anciens bacs-abreuvoirs en briques située le long du Chemin de la Fontaine.
Ce jardin clos restauré à l’initiative de l’association locale Qualité-Village-Ferrières situé à côté de l’église Saint-Martin contient plusieurs croix et monuments funéraires en fonte et en calcaire remarquables.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Le poids de cette pierre est d’environ 6,5 tonnes.
Ce menhir a été mis à jour lors de fouilles effectuées en 1999.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Monument dédié aux morts de la seconde guerre mondiale.
Une plaque commémorative a été ajoutée en mémoire d'un parachutiste qui a été gravement blessé en janvier 1945.
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Ce monument où s’élève une grande statue de Jésus a été élevé en 1922 par la paroisse de Ferrières, en reconnaissance de ce qui a été épargné durant la première guerre mondiale.
Ce musée présente les découvertes faites lors des fouilles du Château fort de Logne. Il est ouvert du 1/7 au 31/8, tous les jours de 13:00 à 18:30.
D’avril à octobre : les Week-ends et jours fériés de 14:30 à 18:30.
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.
La Place s’appelait, jadis « Li Pieri ». En 1823, elle porte le nom de « Li Bâti », pour être actuellement Place de Chablis.
Un panorama sur le village de Ferrières, la ferme de la Housse et l’église Saint-Martin.
La Lembrée est un ruisseau qui prend sa source sur les plateaux fagnards de Harzé et Werbomont. Elle se jette dans l’Ourthe au niveau du Domaine de Palogne.
Ce site de grand intérêt biologique s'étend sur près de 10 ha.
La tombe d’un avocat controversé, capitaine d’artillerie pour la France.
Il est né français en 1758 puis fut naturalisé liégeois. Il est décédé en 1849.
Il fut aussi nommé procureur général impérial pour le département de l’Ourthe par