Cette église est composée d’une tour occidentale, harpée de calcaire aux angles, datée de 1714. La nef à 3 travées a été reconstruite entre 1829 et 1830 sur des plans attribués à J.N. Chevron de Liège.
A l’intérieur, les autels, la chaire de vérité et les confessionnaux datent du 19è siècle.
On peut y découvrir des peintures murales dont Dieu le père créateur, les évangélistes, qui sont attribuées à Charles Meunier de Wasseiges et qui datent de 1888.
Les peintures de Saint-Ambroise et de Saint-Augustin date de la fin du 17è siècle.
On peut y voir également des sculptures dont une Vierge à l’Enfant de D. Hauch pour P. de Bierset, moine de Saint-Laurent à Liège, en bois polychrome datant de 1530-1535.
Le Christ mort en bois est de l’école de Jean Del Cour et date du début du 18è siècle.
Saint-Paul de Tarse et Saint Pierre, les bas-reliefs et plâtres datent du milieu du 18è.
L’un des Christ en croix date de la fin du 16è, l’autre de la fin du 17è, tout comme celle de Saint-Pancrace et de Saint-Roch.
L’on raconte que c’est grâce à la fille de Charlemagne, la princesse Berthe, que l’église a pu être édifiée en 779.
Un raid normand la ravagea déjà en 881.
Cette église remplace un bâtiment plus ancien datant de 1780, qui avait été voulu par le chapitre de Notre-Dame d’Aix-la-Chapelle.
Sarolay, un quartier d’Argenteau, est devenu une paroisse en 1805.
Cet édifice de style néo-classique, en brique et en calcaire, a été bâti en 1777.
La tour carrée massive est percée d’une porte cintrée.
Cette église à 3 nefs reconstruites en briques sur un soubassement en moellons en 1753 est déjà citée au 12è siècle. Le chœur gothique en moellons de grès et de calcaire date du 16è siècle et est épaulé de contreforts.
Avant l'an mille existait déjà une construction primitive en bois et en torchis avec soubassement en pierre.
Cette construction avait été bâtie à l'emplacement d'une villa romaine.
C'est au 11è sièc
Cette église, construite en 1834, remplace un bâtiment plus ancien.
Elle fut restaurée en 1864 sous l'initiative du curé N.J. Grenier.
Cette église en moellons de calcaire, harpée aux angles et entourée d’un cimetière clôturé, est déjà mentionnée au 13è siècle. Elle est composée d’une tour médiévale prolongée au 18è siècle, d’une
nef de 4 travées et d’un chœur
Une chapelle ouverte en moellons. Elle comporte une porte ogivale et une toiture en ardoise. On peut y trouver un Christ en croix à l’intérieur.
Cette chapelle en brique est fermée par une grille en fer forgé. Le toit est en ardoise et porte une croix à son sommet.
Cet imposant édifice quadrangulaire en moellons de grès a été réparé de multiples fois. L’accès en a été restauré du côté sud. Côté nord, il s’agit de bâtiments d’habitation ouverts sur une cour intérieure.
Cette ferme en moellons de grès à deux étages et demi et 3 travées date de 1736. La grange et l’étable sont également en moellons de grès.
Gare située sur l’ancienne ligne vicinale Liège - Barchon - Fourons-le-Comte.
Des éléments calcaires d’un portail baroque millésimé 1665 ont été replacés à gauche de cette construction datant des années 1920.
Cette maison pittoresque en colombages et briques à la façade blanchie, élevée sur un haut bahut de moellons, date du 17è siècle.
Ce monument a été érigé en mémoire au général Albert Thys, homme d’affaires belge, associé proche de Léopold II lors de la colonisation de l’État indépendant du Congo.
Ce moulin a été construit vers 1800 pour moudre le grain. La roue à aujourd’hui disparu.
Ce musée présente la vie et l’œuvre du Général Albert Thys (1849-1915), pionnier du chemin de fer au Congo. On y trouve également des collections sur l’histoire de Dalhem.
Cette petite table de pique-nique en pierre au-dessus de quelques marches d’escalier est située dans un recoin du cœur historique de la ville.
Cette plaque a été apposée en remerciement aux Américains pour la libération du village en septembre 1944. Elle a été dédicacée par les vétérans des divisions d’infanterie le 19 septembre 1994.
Ce bâtiment en briques et en calcaire, accroché au versant en contrebas de l’église, date de 1781. Le soubassement est en moellons de grès. Elle se situe au fond d’un petit jardin.
Ce tunnel construit en 1904 est le plus long de ce type en Belgique avec 135 m. Il reliait Liège aux Fourons et avait au départ une vocation économique. Il eut ensuite une vocation touristique mais fut le théâtre d’un grave accident en 1991.
Cette ancienne porte de la ville fortifiée date de 1520.