Cette petite exploitation en briques et en calcaire sur un soubassement en moellons de grès date de 1707.
Répartis autour du cloître au sud de l’église, ils furent ravagés par les troupes calvinistes en 1574 et relevés au début du 17è siècle. Puis pillés à nouveau en 1684 par les Français.
Cet imposant bâtiment en briques et en calcaire, sur un soubassement en moellons de calcaire date de 1686. Il comprend une tour-porche à l’entrée.
Cette ferme en briques sur un soubassement en moellons date de 1707, millésimée par une pierre au-dessus de la porte. Elle était déjà citée au 12è siècle. Seul le corps du logis comporte des fenêtres.
Cette ferme carrée date des 17è et 18è siècles. Diverses ailes en briques ont été remaniées, dont certaines sur soubassement en moellons.
Cette imposante ferme en moellons de grès date de 1725. Elle comporte des étables sous un fenil à côté d’un vaste logis.
Vaste ferme en quadrilatère du 18è.
Cette ferme datant du 18è siècle a conservé un logis et une grange en colombage.
Cette belle exploitation clôturée du 17è siècle, en moellons de grès, a été rebâtie en briques en 1760 sous l’abbé Jacques Lovegné (1759-1778).
Jadis, elle fut un bien de l’abbaye du Val-Dieu.
Cette basse-cour a été installée dans les trois ailes opposées à la cour d’honneur. Elles datent du 17è siècle.
Le logis de cette ferme en quadrilatère, en moellons de grès truffés de calcaire, date de la fin du 17è siècle ou du début du 18è.
Cette ferme dont la façade nord est en moellons de grès et dont certains éléments sont encadrés de calcaire date de 1649.
Cette ancienne ferme en long, constituée d’un imposant ensemble de bâtiments datant des 17è et 18è siècles, a été restaurée récemment.
Cette ferme en briques et calcaire datant du 18è siècle possède un portail millésimé 1772.
Cette ferme du 18è siècle aux bâtiments dispersés dans une grande cour carrée est en briques et en calcaire. Le pignon mélange briques et colombages.
Cette ferme en briques et en calcaire sur un soubassement de grès date du 18è siècle. Elle s’élève sur 2 niveaux et comporte 2 travées. La grange possède un portail en briques de calcaire.
Avant la fusion des communes, ce bâtiment était le siège de l'administration communale.
Il est devenu à présent le siège du Centre Public d'Aide Sociale.
Maison datant de 1669
Cette maison au cœur du village date de 1721.
Le moulin appartient à une grosse ferme, construit en 1636 pour moudre le grain.
Moulin à grains sur la Berwine construit en 1819.
Ce moulin est en partie une ferme qui a été mentionnée au 17è siècle.
Il y a actuellement dans cette bâtisse une chambre d’hôtes (Ferme du Ru d’Asse).
Ce moulin est dit "Tise le Moulin". Il a été cédé à l’abbaye par Renard de Bombaye en 1354.
Il est toujours en activité.
Le long du bief d’alimentation, le bâtiment actuel a été réédifié en moellons
Moulin construit avant 180 et restauré dans les années 1990. Il est aussi dénommé Moulin Dumoulin. Il prennait l'eau de la Berwinne toute proche.
Cette maison en briques et en calcaire sur un soubassement cimenté date de la seconde moitié du 18è siècle. Elle s’élève sur 2 niveaux avec 5 travées et elle est précédée d’un petit jardin clôturé par une grille.
Cette habitation en double corps, avec un petit jardin, a été construite vers 1775. La maçonnerie en briques est en moellons de grès.
Ce presbytère est daté de 1778. Large et haut, il est construit en briques et en calcaire sous un toit d’ardoises.
Les façades intérieures de ce quartier situé à l’ouest du cloître et au nord du jardin intérieur datent de la fin du 17è siècle,
Egalement appelé Logis des hôtes ou encore "le château", ce bâtiment fut construit en 1739 sous l’abbatiat de Jean Dubois (1711-1749) dont les armes ornent la façade Sud.
Cette abbaye datant du 13è siècle se situe au milieu d’un parc de 6 ha et comporte de nombreuses annexes.
Il s’agit d’un pôle touristique très prisé au coeur du Pays de Herve.
Cette forêt de 65 hectares s’élève sur la colline surplombant la Voer sur un sol très argileux. Elle était déjà présente sur la carte Ferraris en 1775. La flore y est assez spécifique et la faune abondante. Sentiers balisés accessibles.
Cette aire de barbecue comportant une table de pique-nique se situe dans un bosquet derrière les jardins de l’abbaye du Val-Dieu, côté est.
Répartis autour du cloître au sud de l’église, ils furent ravagés par les troupes calvinistes en 1574 et relevés au début du 17è siècle. Puis pillés à nouveau en 1684 par les Français.
Calvaire en moellons avec statue de la Vierge et l’Enfant.
Cette petite chapelle en briques rouges contient une piéta posée sur un socle en briques de même facture que la chapelle.
Chapelle en brique fermée d’une grille. Toiture deux pans en schiste ardoisier avec croix surplombant la construction.
Chapelle en brique ouverte. Fond de la chapelle blanchi et Christ en croix.
Les origines de cette imposante demeure seigneuriale remontent au 13è siècle.
Ce château a été construit vers 1920 par Emile Deshayes (1875-1946).
Il servit à héberger des blessés alliés à la fin de la guerre 1940-1945.
Christ en croix sur un socle de pierre.
Christ en croix sur socle de moellon avec inscription IHS.
Un Christ en croix sur une cabine électrique.
Ce haut Christ en croix de bois est appuyé sur la façade de la maison, reposant sur un socle de moellons. Toiture à deux pans couvert d’ardoises.
Une croix en fer forgé très travaillé, peinte en blanc et noir et fichée sur un muret à l’entrée du Chemin du Diable.
Cette petite croix en bois peinte en blanc est posée sur un socle en briques et en béton.
Une petite croix blanche en fer forgé.
Une petite croix en bois en bord de route, à l'entrée de la ferme.
Cette petite croix en bois est surmontée d’un auvent peint en bleu à l’intérieur.
Cette croix est une prière aux trépassés qui date de 1892.
Cette croix en pierre de taille est une invitation de prière aux trépassés qui date de 1920.
Cette croix est une prière aux trépassés qui date de 1949.
Ces trois croix évoquent la mort de trois bergers qui se sont entretués pour une bergère.
La dalle explicative de leur présence a été apposée par F. Bastin en 1997.
Une petite croix en fer forgé peinte en blanc.
Cette église en briques et en calcaire dotée de 3 nefs de 4 travées terminées par un chœur à 3 pans a été construite entre 1789 et 1791 sur les plans de I’architecte J.F. Wincqz de Bruxelles.
Cette église fut érigée en 1879.
L’intérieur est richement décoré, objet de fierté des habitants.
Les autels latéraux datent du 16è siècle, tandis que les confessionnaux, bancs et mobilier de la sacristie datent du 18è.
Cette église en moellons de calcaire, harpée aux angles et entourée d’un cimetière clôturé, est déjà mentionnée au 13è siècle. Elle est composée d’une tour médiévale prolongée au 18è siècle, d’une
nef de 4 travées et d’un chœur
Cette imposante ferme en moellons de grès date de 1725. Elle comporte des étables sous un fenil à côté d’un vaste logis.
Cette ferme datant du 18è siècle a conservé un logis et une grange en colombage.
Cette belle exploitation clôturée du 17è siècle, en moellons de grès, a été rebâtie en briques en 1760 sous l’abbé Jacques Lovegné (1759-1778).
Jadis, elle fut un bien de l’abbaye du Val-Dieu.
Cette basse-cour a été installée dans les trois ailes opposées à la cour d’honneur. Elles datent du 17è siècle.
Le logis de cette ferme en quadrilatère, en moellons de grès truffés de calcaire, date de la fin du 17è siècle ou du début du 18è.
Cette ferme du 18è siècle aux bâtiments dispersés dans une grande cour carrée est en briques et en calcaire. Le pignon mélange briques et colombages.
Cette ferme en briques et en calcaire sur un soubassement de grès date du 18è siècle. Elle s’élève sur 2 niveaux et comporte 2 travées. La grange possède un portail en briques de calcaire.
Ce ruisseau prend sa source dans le bois de la Canelle au Nord-Est de Saint-Jean-Sart pour rejoindre la Berwinne au nord de Hawières.
La fontaine du Lammerschot est le berceau du village. Des paysans se sont installés à ses côtés en 1216, comme en atteste l’inscription sur une pierre apposée sur la fontaine.
Ce fortin, datant de la seconde guerre mondiale faisait partie de la première ligne de résistance de la position fortifiée de Liège.
De nombreux fortins en béton et en acier ont été construits entr
Ce monument est dédié aux combattants morts durant la guerre 1914-1918.
Il a été remis à la commune en décembre 1920 par le "Comité du Monument". Une lampe du souvenir a été placée devant à la même époque.
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Le moulin appartient à une grosse ferme, construit en 1636 pour moudre le grain.
Ce moulin est dit "Tise le Moulin". Il a été cédé à l’abbaye par Renard de Bombaye en 1354.
Il est toujours en activité.
Le long du bief d’alimentation, le bâtiment actuel a été réédifié en moellons
Le meunier, à l’aide du ruisseau de la Bel, redonne vie à son moulin en activant sa roue à auges. Tout prend vie, comme une charmante invitation à la découverte de son musée et des rouages de bois abrités derrière les murs de moellons.
Cette plaque située dans la basilique fut posée en mémoire des pères révérends et des moines fusillés le 9 octobre 1943 à Utrecht par la Gestapo.
Magnifique point de vue sur la plaine hervienne.
Depuis ce point vue à l’horizon de droite à gauche : Battice et son usine peinte en blanc, la plaine hervienne, le terril de Micheroux.
Haute pompe en fonte du 19è blanchie et possédant un bec de sortie.
Autel en moëllons de pierre du pays construit en 1952.
Il est dédié à la Vierge des Pauvres de Banneux.
Cette habitation en double corps, avec un petit jardin, a été construite vers 1775. La maçonnerie en briques est en moellons de grès.
Ce presbytère est daté de 1778. Large et haut, il est construit en briques et en calcaire sous un toit d’ardoises.
Les façades intérieures de ce quartier situé à l’ouest du cloître et au nord du jardin intérieur datent de la fin du 17è siècle,
Egalement appelé Logis des hôtes ou encore "le château", ce bâtiment fut construit en 1739 sous l’abbatiat de Jean Dubois (1711-1749) dont les armes ornent la façade Sud.
Site de Grand Intérêt Biologique de 36.80 ha.
Cette table d’orientation remarquable a été sculptée dans une pierre bleue d’1.50 m de diamètre.
Le relief a été simulé grâce à des données de l’Institut Géographique National.
La circonférence du tronc de l'arbre, mesurée à une hauteur de 1,50 m, est 5,89 m.
Huit tilleuls remarquables de Hollande (Tilia platyphyllos) bordant la place.