Ce fortin, datant de la seconde guerre mondiale faisait partie de la première ligne de résistance de la position fortifiée de Liège.
De nombreux fortins en béton et en acier ont été construits entr
Ce fortin, datant de la seconde guerre mondiale faisait partie de la première ligne de résistance de la position fortifiée de Liège.
De nombreux fortins en béton et en acier ont été construits entre 1934 et 1935.
L'épaisseur moyenne des murs était de 1.30 m, ce qui lui permettait de résister à des tirs de canon de 150 mm et à un obusier de 220 mm.
A l'intérieur, une mitrailleuse était placée dans la chambre de tir.
Elle pouvait atteindre des cibles situées à 700 m et sa cadence de tir pouvait aller jusqu'à 600 par minute !
Certains fortins surmontés d'une cloche étaient utilisés comme postes d'observation. Par des fils téléphoniques enterrés, ils étaient en contact avec le fort principal.
Ils étaient généralement occupés par 4 ou 5 soldats.
Certaines cloches d'observation ont été détruites par des armes redoutables au pouvoir très perforant : la charge creuse. On peut encore parfois voir le trou laissé par celle-ci sur certains fortins.
Ce fortin situé derrière et dans le prolongement de la chapelle Sainte-Lucie, dont une partie a été reconstruite en moellons de grès avec une porte cintrée entourée de briques, faisait partie de la 1è Position Fortifiée de Liège.
Cette plaque située dans la basilique fut posée en mémoire des pères révérends et des moines fusillés le 9 octobre 1943 à Utrecht par la Gestapo.