Cette grande demeure en briques et calcaire sur soubassement de moellons construite en 1756 a été entièrement reconstruite en 1920, après avoir été détruite au début de la 1è guerre mondiale.
Cette croix avec une petite aire de repos est située au sommet du calvaire Notre-Dame de Lorette.
Les escaliers qui y mènent datent du 17è.
Une chapelle ouverte en moellons. Elle comporte une porte ogivale et une toiture en ardoise. On peut y trouver un Christ en croix à l’intérieur.
Cette chapelle en brique est fermée par une grille en fer forgé. Le toit est en ardoise et porte une croix à son sommet.
Cette grosse bâtisse située sur la Grand Place, date du 18è. Il est habité par la famille Smette.
Dans le jardin, on peut y admirer un séquoïa.
L’ancien château-fort d’Argenteau trônait à cet endroit depuis l’an 1000. On l’appelait l’Ile dans les nuages, celui-ci était construit sur un rocher fortifié.
Il avait pour but d’arrêter l’invasion
Cette construction imposante en moellons de calcaire a été bâtie en 1912 dans l’esprit traditionnel mosan du 17è siècle, pour la famille Francotte. On peut y voir une conciergerie à l’entrée du parc, du même style que le château.
Cet imposant édifice quadrangulaire en moellons de grès a été réparé de multiples fois. L’accès en a été restauré du côté sud. Côté nord, il s’agit de bâtiments d’habitation ouverts sur une cour intérieure.
L’on raconte que c’est grâce à la fille de Charlemagne, la princesse Berthe, que l’église a pu être édifiée en 779.
Un raid normand la ravagea déjà en 881.
Cette bâtisse date vraisemblablement de 1745.
Certains l’attribuent à Jean-Mathias Dodémont, maire de Richelle.
Croix d’occis dédiée à la mémoire d’Alphonse Leclercq, décédé en 1930.
Cet édifice de style néo-classique, en brique et en calcaire, a été bâti en 1777.
La tour carrée massive est percée d’une porte cintrée.
Cette église est composée d’une tour occidentale, harpée de calcaire aux angles, datée de 1714. La nef à 3 travées a été reconstruite entre 1829 et 1830 sur des plans attribués à J.N. Chevron de Liège.
Cette église possède des orgues classées en 1991, datant du milieu du 19è.
Elles sont l’œuvre des frères Molinghen, factuers d’orgue de Mortier.
Il s’agit d’une ancienne ferme en briques et en calcaire sur un soubassement en moellons millésimée 1746.
Cette ferme construite aux environs de 1724 possède logis en double corps. Elle a été transformée en hôtel et gîtes.
Cette ferme en moellons de grès à deux étages et demi et 3 travées date de 1736. La grange et l’étable sont également en moellons de grès.
Cette ferme en briques et calcaire sur un soubassement de moellons de grès date des 17 et 18è siècles. La clé avec les initiales AJD est millésimée 1794. La porte à linteau (support horizontal de maçonnerie) est quant à elle millésimée 1664.
Cette imposante demeure en calcaire isolée au nord-ouest du village et aux pieds d’un rocher, a été construite au milieu du 16è siècle. Elle aurait été bâtie vers 1555 par Jacques de Gulpen à partir d’un donjon médiéval.
Gare située sur l’ancienne ligne vicinale Liège - Barchon - Fourons-le-Comte.
Statue de la Vierge dans une grotte de pierre entourée de lierre, sis au pied de l'entrée de l'église.
Des éléments calcaires d’un portail baroque millésimé 1665 ont été replacés à gauche de cette construction datant des années 1920.
Cette maison pittoresque en colombages et briques à la façade blanchie, élevée sur un haut bahut de moellons, date du 17è siècle.
Cette maison en moellons de grès possède une porte en calcaire millésimée 1612. Elle a été transformée en profondeur aux 19è et 20è siècles avec des modifications en briques.
Monument dédié aux combattants de la première guerre mondiale.
Ce monument a été érigé en mémoire au général Albert Thys, homme d’affaires belge, associé proche de Léopold II lors de la colonisation de l’État indépendant du Congo.
Ce moulin a été construit vers 1800 pour moudre le grain. La roue à aujourd’hui disparu.
Collectés à la Vîle Cinse, il s’agit d’objets qui témoignent de l’activité des artisans romains (couteaux, maillets, bijoux...) retrouvés sur des sites gallo-romains à Berneau.
Ce musée présente la vie et l’œuvre du Général Albert Thys (1849-1915), pionnier du chemin de fer au Congo. On y trouve également des collections sur l’histoire de Dalhem.
Cette petite table de pique-nique en pierre au-dessus de quelques marches d’escalier est située dans un recoin du cœur historique de la ville.
Cette piscine date de 1972. Elle a subi une importante rénovation au cours de 2011-2012.
Cette plaque a été apposée en remerciement aux Américains pour la libération du village en septembre 1944. Elle a été dédicacée par les vétérans des divisions d’infanterie le 19 septembre 1994.
Ce bâtiment en briques et en calcaire, accroché au versant en contrebas de l’église, date de 1781. Le soubassement est en moellons de grès. Elle se situe au fond d’un petit jardin.
Haute statue du Sacré Cœur sur un piédestal.
Ce tunnel construit en 1904 est le plus long de ce type en Belgique avec 135 m. Il reliait Liège aux Fourons et avait au départ une vocation économique. Il eut ensuite une vocation touristique mais fut le théâtre d’un grave accident en 1991.
Cet imposant viaduc qui domine le village a été construit en 1916.
Il a une longueur 231 m. Il est toujours actuellement emprunté par des trains de marchandises qui transitent sur la ligne 24 entre Visé et Montzen.
Cette ancienne porte de la ville fortifiée date de 1520.