Cet ancien moulin, dont le drain est à présent asséché, était le siège de la fabrique de poudre de l’industriel liégeois Jean Curtius.
Ce bâtiment restauré englobe la cour historique d’un l’ancien couvent. Sa capacité est de plus de 200 lits.
Cette aire de barbecue dotée de 3 tables de pique-nique à l’ouest du Domaine du Château de Fayenbois.
Cette chapelle est adossée à une ferme datant du 14è siècle.
Cette église est caractérisée par son dôme vert et son caractère imposant.
Elle a été bâtie en 1936.
Il s’agit d’une ancienne collégiale de style ottoman édifiée, en grès houiller, entre la fin du 11ème et la fin du 12ème siècle.
Son intérieur est décoré en style baroque français.
La cuve, décor
Cette église de style néo-classique en briques à cinq travées est harpée de calcaire aux angles.
Ce fortin en béton armé léger était un poste permanent de la Position Fortifiée de Liège.
La chambre comportait un canon de 47 mm, une pièce de repos et un garage pour la chenillette Utility (une sorte de tracteur à canon).
Cette gare située près de la bifurcation entre la ligne 37 (Liège-Hergenrath) et la ligne 43 (Angleur-Marloie) a été mise en service le 1er juillet 1843.
Depuis le 28 juin 2013, elle est devenue un simple point d’arrêt.
Cette lande d’une vingtaine d’hectares se situe dans la réserve naturelle du Sart Tilman, faisant partie de l’Université de Liège.
Ce musée a été créé le 13 décembre 1998. Il retrace l’évolution des chemins de fer à travers le matériel du passé et du présent.
Une table de pique-nique à l’intersection du Ravel de la ligne 38 et le chemin de Piedroux.
Cette aire de pique-nique est située dans un parc sis entre le Ravel de la ligne 38 et le domaine boisé du Château de Fayenbois.
Un point de vue sur la vallée de l’Ourthe. On peut y voir clairement la sortie 40 Tilff Sart Tilman de l’autoroute E25.
Un point de vue sur Chênée et la confluence de l’Ourthe avec la Vesdre.
Cette réserve naturelle privée est agréée depuis le 16 octobre 1997.
Cette statue équestre de Charlemagne a été sculptée par Luc Jehotte et inaugurée en 1868. Le grand empereur tend le bras et les Liégeois lui font dire "Ploû-t-i?" (Pleut-il ?). Dans le piédestal, on peut voir la représentation de ses ancêtres.
Statue montrant un homme pensif : Charles Rogier, artisan de la Révolution de 1830, réconforté par une muse fort bien en chair et heureusement dédaignée par un lion tout pensif lui aussi.
Cette exploitation minière de 1 ha, abandonnée suite à la fermeture du charbonnage en 1932, est caractérisée par une grande diversité de milieux végétaux, dont une centaine d’espèces différentes.