Marie Gobaille est une sorcière de haut rang car elle est capable de tours de sorcellerie absolument fantastiques.
Là voici cependant rattrapée par le tribunal de l’inquisition, mise au courant de ses exploits fabuleux.
Marie Gobaille est condamnée à être brûlée, lot de toutes les sorcières révélées durant ces temps obscurs.
Ne l’entendant pas de cette oreille, elle se transforme en cheval et comme une furie, elle commence à semer la terreur dans toute la région de l’ouest de Saint-Hubert : Smuid, Mirwart, Arville, aucun de ces petits villages pourtant d’ordinaire si paisibles, cloisonnés au beau milieu de l’immense forêt ardennaise n’échappe à sa colère.
Excédé, le mayeur d’Arville décide de mener une expédition punitive, afin de la capturer.
Il réunit donc les habitants des villages alentours. Ceux-ci s’arment de bâtons et prennent leurs loups apprivoisés au bout de leur laisse.
Traquée de toutes parts, flairée par les loups, elle finit par être repérée en plein cœur de la forêt.
Sans coup férir, l’un d’entre eux plus hardi parvient à lui trancher la tête à l’aide de sa faux.
Fiers de l’avoir mise hors d’état de nuire, les chasseurs de sorcières promènent sa tête au bout d’un pieu dans tout le village de Mirwart.
C’est depuis lors que les habitants de Mirwart sont appelés les « tièsses di t’chvâ », les têtes de chevaux tandis que les habitants de Smuid sont appelés les Loups !
Cette légende fantastique est rappelée chaque année à l’occasion du carnaval.
Lieu où la Lesse s’enfonce dans le sol par un siphon vertigineux, dans le massif calcaire de Boine.
Le résurgence se situe au niveau du trou de Han, de l’autre côté de la colline, plusieurs centaines
Ce rocher surplombe la confluence de l’Our avec la Lesse.
Une légende locale raconte que l’on y jetait les vieux chevaux dans le précipice.
Gîte et chef à domicile.
Cette zone de bivouac comporte 2 abris en bois avec table de pique-nique. Est présent également un barbecue fixe.
Cette chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours fut bâtie en forêt à l’ouest d’Arville, au lieu-dit Chèny du Mont, 4 km à l’ouest de St-Hubert.
Elle a été construite en 1833 et rebâtie en 1886.
Cette chapelle était une ancienne école en 1880. Elle est devenue une chapelle vers 1900. Elle est devenue propriété de la fabrique d’église en 1992 et a été rénovée en 1999.
Cette chapelle datant 1865 a été construite par la famille Debierre-Thomas.
Ce beau château privé est visible du chemin montant depuis Sainte-Adeline.
Ce château classé situé sur un promontoire rocheux de la vallée de la Lhomme est à l’origine une forteresse datant du début du 11è siècle, à la suite de rivalités entre les seigneurs de Bouillon et les seigneurs de Mirwart.
Ce chêne est le témoin du jumelage de Mirwart avec Le Bois d’Oingt, village de France en région Rhône-Alpes, dans l’arrondissement de Villefranche-sur-Saône.
Devant l’ancienne maison communale, une nouvelle grande croix en bois.
Une nouvelle croix en bois datant de 2021 remplace une croix plus ancienne, qui était constituée de simples rondins de bois.
Cette croix en bois verni a été érigée à la mémoire de Léon Jabobi, tué par une branche à cet endroit le 2 février 2002, à l’âge de 65 ans.
Cette ancienne croix d’occis en pierre de taille a été érigée en mémoire de Henri Sonet et Jean Molhan, qui ont été écrasés par un arbre le 22 juillet 1773.
Il se trouvait autrefois un arbre sur le chemin de Smuid à Mirwart que l’on appelait Marie, étant dédié à la Vierge. Au pied de celui-ci jaillissait une source servant à abreuver le bétail.
Cette église paroissiale de style néo-gothique à une nef a été bâtie sur les plans de l’architecte F. Cordonnier entre 1869 et 1870.
Un gîte composé de la Maison de Flore et l’Annexe.
Ce point d’arrêt est situé sur la ligne 162 Namur-Arlon entre Jemelle (25 km) et Libramont (une quinzaine de kilomètres).
Situé en contrebas du château, cet ancien moulin datant du début du 17è était la propriété du seigneur qui imposait une redevance aux villageois pour son utilisation. Il fait aujourd’hui partie du centre provincial d’hébergement et de loisirs.
Ce pavillon didactique est consacré à l’apiculture.
Cette table de pique-nique est située en retrait en plein bois, derrière une très ancienne croix d’occis datant de la fin du 18è siècle : la Croix Sonet et Molhan.
Une grande table de pique-nique allongée abritée par une structure en bois à l’architecture très moderne et originale.
Une table de pique-nique installée sur un ponton en bois qui s’avance sur l’étang.
Ce pique-nique au cœur de la forêt est situé à la confluence du Ruisseau de Gobaille et de la Lhomme.
Dans un petit recoin de la Rue des Ardennes qui relie Poix-Saint-Hubert à Smuid, il se situe à la confluence du Ruisseau de Poix et de la Lhomme, le long de la ligne de chemin de fer 162.
Une table de pique-nique au bord de l’étang.
Cette table de pique-nique est située en plein bois, juste à côté de la chapelle Notre-Dame de Bon Secours, dans un endroit très calme.
Une table de pique-nique située à un carrefour forestier, dans la vallée du Parfond Ri.
Une table de pique-nique proche de l’étang.
3 tables de pique-nique située près de la pisciculture provinciale de Mirwart, dans la réserve naturelle du Pré des Forges.
Les 35 étangs permettent de livrer pas moins de 10 tonnes de truites fario par an, en vue de réempoisonner les rivières. L’élevage exige des connaissances étendues afin de gérer l’ensemble du cycle de production, de la ponte à la vente.
Un point de vue vers le village d’Arville et la vallée du Ruisseau de la Rochette.
Une petite niche triangulaire accrochée à un arbre abritant une statuette stylisée de la Vierge.
Ce site classé de grand intérêt biologique est un complexe de prairies alluviales s’étendant sur un peu plus de 23 hectares, à la confluence du Marsault avec la Lhomme. C’est le Marsault qui activait le moulin des forges.
Cette statue dite du Semeur, posée en plein centre de la Place Communale, a été réalisée par un artiste du terroir. Il s’agit de la marque de fabrique de la bière locale "Le Semeur".