Il s’agit d’anciennes carrières de grès, dont les parois rocheuses en forme de tartines, comme à Comblain-au-Pont, dévoilent un grand intérêt géologique mais aussi du point de vue de la faune (couleuvres, lézards des murailles...).
Il s’agit de deux monolithes de calcaire hauts de 2 à 5 m dont l’un d’entre eux a véritablement la forme d’une cour. D’après la légende, une méchante sorcière immolait les enfants sur ce rocher, d’ou la sinistre dénomination.
Le plus important rocher de la vallée de l’Amblève. Une grande partie de sa base baigne dans la rivière.
Il atteint une hauteur de 65 m.
Il s’agit d’un massif vertical en calcaire.
Sa formation géologique particulière fait l’objet d’une controverse scientifique.
On a retrouvé au sommet des rochers les vestiges d’un village antérieur aux gaulois.
Ces roches à la forme explicite sont formées de calcaires tournaisiens et viséens.
Ferme d’élevage au n° 4 rue de la ferme il y a une ferme dont la production essentielle est le canard. Ce canard est livré en dégustation sous toutes ses formes tant en foie gras, qu’en pâté, rillett
Cette carrière était séparée du lieu de taille et d’extraction par un tunnel de 400 m. Elle a produit du petit granit de qualité supérieure entre 1830 et 1954.
Cette carrière de grès a été fermée en 1990. Elle possède pourtant encore un potentiel de 60 années d’exploitation.
Ce gisement paléokarstique est unique en Europe du nord-ouest.
Elle est témoin de la plus ancienne trace d’occupation humaine au Bénélux (-500 000 ans). Elle constitue un référentiel paléontologique, géologique et archéologique.
Cette chapelle est dédiée à Notre-Dame de Banneux, Vierge des Pauvres a été construite en 1950 à l’initiative des habitants et du curé. Elle n’est plus utilisée pour des services religieux depuis la fin des années 1980.
Cette chapelle dédiée au Cœur Immaculé de Marie fut érigée en 1908 à l’initiative de Max Lohest et sa femme Marie Lambert, propriétaires de l’ancien moulin de Martinrive.
Ce château date du 19è siècle.
La façade arrière donne sur la cour d’une ferme de la fin du 16è.
Elle est visible depuis le portail d’entrée situé Rue du Comte.
Cet ensemble est doté au niveau de la route de deux tourelles circulaires datant du 17è siècle, construites majoritairement en calcaire.
Ruines d’une forteresse médiévale du 10è.
Elle fut détruite à la fin du 16è.
Il a été occupé par les Quatre fils Aymon.
Il subsiste encore quelques murs, des escaliers et une partie du donjon.
Château du 18è à la tour bulbeuse disposé en "L", en briques et en pierres de taille.
Ce château a été construit en 1776 à l’emplacement de l’ancienne verrerie qui fabriquait les bouteilles pour les eaux de Chevron.
Cour formée par des habitations du 18è siècle en moellons de grès et remaniées.
Cette croix est dédiée au maquisard Alphonse Gilles, tué au combat le 9 septembre 1944.
Cette croix a été placée le 18 juin 1937 par des ouvriers de la Société Electricité Seraing et Extensions. Elle est illuminée durant les fêtes de Noel.
Cette croix commémorative a été érigée à l'endroit précis où Edmond Martin, maquisard, a trouvé la mort le 9 septembre 1944.
Cette croix a été érigée à la mémoire de Jean-Pierre Libermé, herdier (gardien de troupeaux) à Fraiture.
Selon l’écrivain Georges Laport, cette église existait déjà au 14è siècle.
Elle est pourtant citée la première fois en 1551 dans les chartes de l’Abbaye de Stavelot-Malmedy.
Cet édifice a été construit en moellons de calcaire et de grès. Le tour et la nef datent de la 1è moitié du 19è siècle, le transept et chœur quant à eux de la fin du 19è.
Cette église a été construite à la place d’une chapelle datant du 16è siècle.
La nouvelle église a été consacrée en 1841. Elle a été agrandie en 1926.
L’un des 31 fortins qui assuraient la défense de l’Amblève.
Cette grotte fossile a été découverte à la suite d’un tir de mines en 1980.
Ce gisement paléontologique et archéologique date d’environ 500000 ans. On y a répertorié plus de 30 000 fossiles comportant une cinquantaine d’espèces distinctes.
Cette gare est devenue un simple point d’arrêt sur la ligne 42 Rivage - Gouvy. Elle a été mise en service en 1885 par l’État belge.
Cette petite maison mitoyenne en moellons de grès et calcaire date du 18è siècle.
Ce monument est dédié à la mémoire de ces personnes tuées au combat lors la seconde guerre mondiale.
Ce monument est dédié aux morts de la seconde guerre mondiale.
Pierre de granit gravée au nom de Georges Laport, écrivain et conteur de la région venant chercher ici son inspiration. Homme de lettres né à Fraiture-Sprimont le 13 août 1898, historien de traditions
Cet ancien moulin à grains en pierre a été construit en 1454.
La meule est maintenue sous un vieux chêne.
Une table de pique-nique au centre du hameau.
Une table de pique-nique au cœur du hameau.
Cette plaque dédiée à Georges Laport est apposée sur le mur de l’école communale de Fraiture-Sprimont.
Un point de vue sur des villages des communes d’Aywaille et de Ferrières. Par temps clair, on peut même apercevoir les hauteurs de Herve et Micheroux.
Une très belle vue sur Aywaille, la vallée de l’Amblève et sur de nombreux villages des communes d’Aywaille et Sprimont.
Il s’agit de deux monolithes de calcaire hauts de 2 à 5 m dont l’un d’entre eux a véritablement la forme d’une cour. D’après la légende, une méchante sorcière immolait les enfants sur ce rocher, d’ou la sinistre dénomination.
Le plus important rocher de la vallée de l’Amblève. Une grande partie de sa base baigne dans la rivière.
Il atteint une hauteur de 65 m.
Cette stèle est dédiée aux 23 anciens élèves décédés durant la seconde guerre mondiale.
Au sud-est de Fraiture, sur les hauteurs surplombant l’Amblève, le village de Halleux et la Nationale 633, cette stèle est dédiée à Georges Laport, mort à Dachau en 1945.
Ancienne verrerie était établie au pied des ruines du château d’Amblève.