Ce château-fort de plaine, au départ une maison forte, date du début du 13è siècle.
Déjà du temps des romains existait une villa fortifiée toute proche. Plus tard, les templiers y ont établi une commanderie.
Le château est organisé autour de la cour intérieur. Il est entouré de douves qui sont alimentées par la Hedrée.
Le donjon repose sur un plan de 15 m sur 11 m et s’élève sur 5 niveaux, atteignant sous la toiture une hauteur de 23 m.
Les deux premiers étages étaient habités. Dans les deux étages plus hauts étaient stockés des vivres et des munitions. A partir du 17è siècle, il n’a plus servi que de débarras.
Une maison forte est construite à cet emplacement stratégique : la confluence de la Hedrée avec la Wamme.
La seigneurie de Jemeppe est citée pour la première fois. Elle appartient aux seigneurs Dochain.
Le seigneur Jean d’Ochain et ses descendants remplacent la maison forte par un puissant donjon entouré d’une double rangée de douves alimentées par la Hedrée.
Le donjon perd son rôle défensif. Les propriétaires successifs le transforment progressivement en château d’habitation.
Le propriétaire du château cède le château à Henri de Waha.
Le château est profondément restauré et un toit est ajouté au donjon.
Le château devient la propriété de la famille des Chevaliers de Sauvage Vercour.
Le château est restaurée en profondeur.
Ce château de style gothique a été construit en 1613 par Gilles de Henricourt de Mozet, seigneur de Grune. Il contient des armoiries de la famille Mozet-Waha (sur le porche d’entrée).
Il devint par la suite propriété de la famille de Ramaix.
Ce château a été construit en 1756 par Charles-Antoine de Rossius, seigneur d’Humain. C’est le siège d’une des quatre pairies (droit pour les nobles) du comté de La Roche.
Ce château de style néo-classique a été classé en 2002. Il est composé de brique peinte et de pierre bleue.
Il fut construit au 16è siècle puis agrandi entre 1842 et 1844 par l’architecte Méringer pour la famille de M. Lambert Louis le Jeune.
Cet immeuble de couleur jaunâtre datant de 1911 est l’archétype de l’architecture de mise entre la moitié du 19è à la moitié du 20è siècle.
Un pierre gravée aux lettres dorée indique :
"HARGIMONT 1830 - 1930 ARBRE DU CENTENAIRE DE L’INDEPENDANCE".
Cet édifice de style roman et gothique en moellons de calcaire date du 11è siècle et comporte une nef à deux travées. On y voit toujours l’arc de la porte primitive. Le clocheton carré supporte une flèche octogonale.
Cette chapelle a fait l’objet d’un pèlerinage annuel dédié à Saint-Donat jusque dans les années 1970.
Protection lui est demandée contre les orages.
Cette église construite en 1879 comporte 3 nefs. L’aménagement a été complété en 1888. Endommagée lors de la seconde guerre mondiale, elle a été restaurée sur les plans de l’architecte Victor Sarlet.
Cette église d’aspect moderne a été reconstruite en 1954 sur les plans de Victor Sarlet, après avoir subi des bombardements lors de la seconde guerre mondiale.
Cette gare de la ligne 162 Namur-Sterpenich a été mise en service en 1865 par la Grande compagnie du Luxembourg. C’est une gare de bifurcation avec la ligne 43.
Ce site classé de Grand Intérêt Biologique (SGIB) est situé à cheval sur la commune de Marche et de Nassogne.
Il s’agit d’un site Natura 2000.
Il s’agit d’une réserve privée classée, site Natura 2000, de 37 hectares qui s’étend sur les communes de Nassogne et Marche. De grand intérêt biologique, on y voit la pie-grièche, le martin-pêcheur, la cigogne noire et le héron cendré.