Ce camp militaire, situé à une altitude moyenne de 630 m, occupe une vaste zone qui sert de plaine de manœuvres pour les militaires. On y effectue essentiellement des tirs d’entraînement de l’artillerie.
A certaines périodes de l’année, des festivités sont organisées au camp et des visites de celui-ci sont alors possibles.
Pour se rendre au site classé du "Hohe Mark" (vieux taillis de hêtres), il est indispensable de s’adresser préalablement au syndicat d’initiative d’Elsenborn.
Le camp a été utilisé par les Allemands comme camp d’internement et de travail pour les soldats russes durant la seconde guerre mondiale.
Un petit cimetière à Nidrum perpétue le souvenir de ces hommes morts ici.
Le camp est créé sous le régime prussien.
Sur ce mémorial trône un char Sherman de la 7è division armée américaine qui a été utilisé durant la bataille des Ardennes.
Blockhaus de défense du fort (1934-1937) de 3 étages, d’une superficie de 3,30 ha.
Visites sur réservation.
Il est le dernier à se rendre lors de l’offensive allemande de mai 1940.
Ce fortin fait partie d’une ligne de 309 petites fortifications établies entre 1933 et 1935 par le ministre de la Défense Nationale Albert Devèze, dont 174 en province de Luxembourg.
Ce fortin fait partie d’une ligne de 309 petites fortifications établies entre 1933 et 1935 par le ministre de la Défense Nationale Albert Devèze, dont 174 en province de Luxembourg.
Char allemand datant de l’offensive allemande des Ardennes, abandonné dans la nuit du 23 au 24 décembre par "l’obersturmbahnfuhrer" Joachim Pieper et ses troupes.
Cette église a été construite en 1837 sur les plans de l’architecte Kastenholz,
à l’emplacement d’une chapelle datant du 17è siècle.
Ce hêtre remplace un ancien arbre de plus de 200 ans, un arbre-repère pour la zone d’entraînement militaire aménagée en 1894 par l’empereur Guillaume II. 6 bornes de l’ancienne frontière Juliers-Luxembourg ont été plantées autour.