Cette église a été bâti en 1779.
A l’intérieur, on peut y découvrir un mobilier qui a été réalisé par le sculpteur Pierre Delogne pour l’ancienne église, en 1745. La chaire de vérité a été réalisée par son fils en 1791.
La statue en bois polychrome de la Vierge à l’Enfant située à gauche de l’hôtel date de 1795.
Celle à droite de l’autel, elle aussi en bois polychrome représente Sainte-Agathe, la patronne du village. Elle date quant à elle de 1796.
Le chemin de croix a été réalisé au fusain par l’artiste-pentre Jacques Van der Elst.
Le plafond travaillé sur le thème de l’Alleluia a été réalisé en 1967 et 1968 par Louis-Marie Londot.
Cette église de style néo-gothique a été construite en 1888 en remplacement d’une ancienne chapelle castrale. Son orgue remarquable a été réalisé par Georg Westenfelder, l’un des meilleurs fabricants de l’époque.
Cette église en moellons a été construite en 1768. La tour date de 1837. On fait déjà néanmoins mention d’une église à Vresse en 1235.
Cette église paroissiale de style classique en schiste, grès et pierre de France a été édifiée en 1761.
La Dame Blanche est un être fantastique que l’on rencontre dans des chemins obscurs et à l’écart des villages. On les trouve partout en Wallonie.
Une grande fresque du diable peinte sur un mur blanc.
Etres bienveillants, elles ont insufflé leurs talents dans l’esprit des artistes locaux, déporté de ceux qui sont décédés.
Cet ensemble est doté d’un lavoir, d’un abreuvoir et d’un puits. Le lavoir primitif date de la 1è moitié du 19è siècle auquel se sont ajoutés le puits et l’abreuvoir circulaire en 1877. Le lavoir actuel a été reconstruit à cet emplacement
Cet homme-loup a traité avec le diable. Dès lors, il se change en loup les soirs de pleine lune. Il peut faire le bien comme le mal. Par exemple permettre à quelqu’un en forêt de retrouver son chemin mais il peut aussi attaquer des paysans.
Cette espèce de lézard est décrit comme étant gros comme un veau. Il vit dans l’eau et lorsqu’on l’aperçoit, c’est paraît-il un signe de mauvaise augure.
Ce monument situé en plein cœur du village a été réalisé par Monsieur Ciselet de Gedinne. Il est dédié aux victimes des deux guerres.
Une table de pique-nique avec une vue imprenable sur le village de Laforêt.
Malgré leur apparence d’habitantes ordinaires opérant incognito, ces femmes ont pactisé avec le diable, afin qu’elles puissent jeter des sorts. Elles se réunissent lors de sabbats.
Cet animal fantastique, croisement d’un homme et d’un bouc, est de nature démoniaque. Il incarne le diable. Parfois, il le sert et il lui arrive de se faire avoir par ce dernier.