Cette grotte appelée également le Trou des Nutons, était habitée par des hommes préhistoriques.
Deux petites galeries d’un même réseau, verticale et horizontale, sans jonction entre elles.
Cette galerie très boueuse est constituée de deux réseaux parallèles reliés par des diaclases dans une zone d’éboulis.
Sa caractéristique principale est la taille de son porche d’entrée qui débouche sur une galerie. La Lhomme s’y engouffrait avant la construction du talus du chemin de fer en 1880 mais ses eaux peuvent toujours l’atteindre lors de crues.
Cette grotte située en rive gauche de la Lhomme est constituée d’un grand porche et de réseaux importants. Une digue empêche généralement les eaux de la Lesse d’y pénétrer lors de crues mais des infiltrations restent possible.
Cette large cavité s’enfonce dans la roche calcaire (belles stratifications).
Ancien exutoire de la Lomme, aujourd’hui perché une dizaine de mètres au dessus du lit.
Etonnante résurgence ramenant à l’air libre un cours souterrain.
Cette grotte est également appelée Grotte à Jules, Trou Willy ou Trou de l’Ambre.
Elle s’ouvre dans une falaise calcaire à 28 m au-dessus de la Lomme.
Cette cavité karstique fait partie du massif calcaire givétien du Dévonien moyen des grottes de Han. Il s’agit d’une ancienne perte de la Lesse. La spéléologie Jacqueline Desmons y est resté bloquée durant 48 h en 1959.
Cette grotte appelée aussi Trou de la Passerelle, à l’entrée étroite, se compose principalement de galeries plutôt larges et de cinq salles dont la plus grande, la Grande Salle mesure 20 m sur 10 m. Son développement total reconnu est d’environ
Une chapelle en moellons de calcaire avec un toit à deux pans surmonté d’une croix blanche, dont la façade a été remaçonnée avec des blocs de bétons et renforcée.
Cette grande grotte mariale a été construite par les habitants du village en remerciement de sa protection. Un pèlerinage y a lieu chaque premier dimanche de spetmbre, lors de la Nativité de la Vierge. On y trouve bancs, fleurs et bougies.
Cette chapelle en pierre de calcaire a été bâtie en 1767. Elle a été inaugurée le 15 juin 1769.
Cette chapelle a été construite en 1777. On y trouve une cloche datant de 1502 issue de l’église romane attenante au château féodal.
Cette chapelle en bois a été construite par les membres de la Fraternité de Tibériade. Il s’agit d’une communauté religieuse catholique d’inspiration franciscaine dont la maison-mère est à Lavaux-Sainte-Anne.
Ce château-ferme a été construit vers 1645 par Bernard de Harroy, seigneur de Froidlieu, capitaine-prévôt de Revogne, un peu plus bas que l’emplacement de l’ancien château féodal, à l’emplacement de son ancienne basse-cour.
Cette église de style néo-roman à 3 nefs a été construite entre 1866 et 1868. Elle a été réaménagée en 1967 sur les plans de l’architecte Hainaut de Bruxelles.
L’une des 3 portes de l’ancienne ville fortifiée de Revogne datant de 1241. Elle était autrefois nettement plus haute et comportait une tour de défense aujourd’hui disparue.
Une petite niche en bois qui contient une statuette de la Vierge Marie protégée par une plaquette.