Sa caractéristique principale est la taille de son porche d’entrée qui débouche sur une galerie. La Lhomme s’y engouffrait avant la construction du talus du chemin de fer en 1880 mais ses eaux peuvent toujours l’atteindre lors de crues.
Deux petites galeries d’un même réseau, verticale et horizontale, sans jonction entre elles.
Cette galerie très boueuse est constituée de deux réseaux parallèles reliés par des diaclases dans une zone d’éboulis.
Cette grotte située en rive gauche de la Lhomme est constituée d’un grand porche et de réseaux importants. Une digue empêche généralement les eaux de la Lesse d’y pénétrer lors de crues mais des infiltrations restent possible.
Cette large cavité s’enfonce dans la roche calcaire (belles stratifications).
Ancien exutoire de la Lomme, aujourd’hui perché une dizaine de mètres au dessus du lit.
Etonnante résurgence ramenant à l’air libre un cours souterrain.
Cette grotte est également appelée Grotte à Jules, Trou Willy ou Trou de l’Ambre.
Elle s’ouvre dans une falaise calcaire à 28 m au-dessus de la Lomme.
Cette cavité karstique fait partie du massif calcaire givétien du Dévonien moyen des grottes de Han. Il s’agit d’une ancienne perte de la Lesse. La spéléologie Jacqueline Desmons y est resté bloquée durant 48 h en 1959.
Cette grotte appelée aussi Trou de la Passerelle, à l’entrée étroite, se compose principalement de galeries plutôt larges et de cinq salles dont la plus grande, la Grande Salle mesure 20 m sur 10 m. Son développement total reconnu est d’environ