Cette chapelle datant de 1954 est au croisement du Chemin de Ville-du-Bois et du Chemin de Grand-Halleux.
Une chapelle chaulée au toit d’ardoise, dépourvue de clocheton.
Cette chapelle néo-gothique en briques, recouverte entièrement d’ardoises blanches date de 1876. Elle fait l’objet d’un pèlerinage les lundi de Pentecôte et d’un salut à la Vierge Marie le 15 août.
Chapelle avec l’inscription "Chapelle Notre-Dame de Luxembourg, Consolatrice des Affligés".
Un grand Christ en croix jouxte cette chapelle.
Cette chapelle située dans la côte du Thier de Justice a été citée en 1943.
Très appréciée des croyants, elle contient de nombreux ex-voto en remerciement aux prières qui lui ont été adressées.
Cette chapelle fut construite en 1958.
Cette petite chapelle en briques calcaires a été érigée en 1936 par Constant Gérardy, trésorier, organiste et chanteur de la paroisse. Elle a été rénovée en 2017.
Cette chapelle en moellons d’arkose avec toit d’ardoises, surmontée d’un clocheton, est mentionnée dans un pouillé de 1589. De nombreux pèlerins la visitaient déjà en 1624. La moitié du volume est plein, le creux est occupé par une fontaine.
Une borne bien conservée à l’entrée de la sapinière, légèrement décalée par rapport à l’ancienne frontière Prusse-Belgique.
Cette ancienne borne-frontière assez camouflée dans une sapinière marécageuse, dense et non éclaircie se trouve à 650 m de la précédente.
Ces vastes implantations équestres s’étendant dans une clairière de 17 ha appartiennent à la Région wallonne.
Cette chapelle fut construite en 1958.
Cette petite chapelle en briques calcaires a été érigée en 1936 par Constant Gérardy, trésorier, organiste et chanteur de la paroisse. Elle a été rénovée en 2017.
Un petit chêne vénérable assez trapu.
Cette discrète petite croix se cache dans les buissons à l’extrémité nord-est du Chêneux.
Un Christ sur croix de bois verni, fiché sur une dalle en pierre de taille posée sur un mur en moellons de grès.
Cette petite croix en bois au Christ doré est apposée sur un support cruciforme plus imposant, en pierre peinte en vert. Lui-même est posé sur un muret en grès schisteux.
Ce Christ posé sur une croix en pierre se situe dans la côte en direction de Mont-le-Soie.
Cette croix en bois verni surmontée d’une toiture à deux pans, est située au sommet du Col de Mont-le-Soie, à 556 m d’altitude.
Un Christ sur croix de bois.
Ce Christ en croix date du 19è siècle. Il est situé en bordure de rue, apposé sur une ferme en moellons d’arkose datant de 1800.
Cette croix en fer forgé réparée, datant apparemment du 19è siècle, se situe au bord du chemin forestier qui quitte Petit Thier vers le Nord.
Un Christ sur croix de bois en bas de la côte du Chemin de Grand-Halleux, face à la Chapelle Notre-Dame de Banneux.
Cette petite croix de chemin en bois, restaurée en 2018 se situe en contrebas du Rond-Chêne, près de la lisière, au nord de Ville-du-Bois.
Cette croix en bois, peinte en jaune, a été érigée en souvenir de la mort d’un soldat français l’année de sa mort, en 1812. Elle est entretenue et renouvelée par la propriétaire de la parcelle boisée de sapins.
Un Christ sur croix en pierre, situé entre deux hêtres, à un carrefour dans la côte vers Mont-le-Soie.
A quelques mètres à gauche d’une autre croix, une croix d’occis en pierre de schiste.
Cette croix de chemin en bois verni repose sur un socle en moellons de grès. Il s’agissait d’un passage obligé lors des rogations. Dans le calendrier liturgique, il s’agit des 3 jours précédent immédiatement le jeudi de l’Ascension.
Cette petite croix de carrefour forestier du Chêneux est située à une altitude de 520 m.
Il s’agit d’une croix votive érigée par son épouse, à la mémoire de Jean-Joseph Rasquin (né en 1830), qui a disparu en exerçant son métier de colporteur de tissus.
Cette croix est dédiée au brigadier des Douanes Schmitz, retrouvé maculé de sang le 8 juillet 1843, avec son fusil de service à ses côtés.
Ce sanctuaire existe depuis 1704.
En 1958, l’église a été reconstruite en moellons et calcaire, par l’architecte R. Toussaint.
Cette église en moellons d’arkose, de style néo-roman, construite en 1892 sur les plans de l’architecte Cupper, remplace une chapelle datant de 1766. Elle a été restaurée en 1958, sur les plans de l’architecte Toussaint.
Ce fortin fait partie d’une ligne de 309 petites fortifications établies entre 1933 et 1935 par le ministre de la Défense Nationale Albert Devèze, dont 174 en province de Luxembourg.
Ce monument aux victimes de la guerre se situe juste devant l’église. Il a été érigé en août 1921.
Ce monument consistant en un gros bloc d’arkose avec 2 plaques gravées a été inauguré le 24 avril 2005.
Une table de pique-nique abritée dans un lieu calme, juste derrière le monument aux morts.
Cette petite aire de pique-nique abritée, en bordure d’une petite route, est à deux pas du centre équestre.
Situé sous le chêne multicentenaire, ce pique-nique sous toit offre un repos bien mérité à celui qui a gravi la colline du Chêneux.
Cette table de pique-nique est située dans un recoin paisible du bois, près d’une ancienne borne-frontière qui séparait autrefois la Belgique et la Prusse.
Ce chêne pédonculé est un vestige de la forêt du 18è siècle.
Elle disparut quasiment entièrement suite à l’utilisation abusive du bois.
La salle des fêtes de Petit-Thier
Ce monument datant de 1954 a été érigé pour terminer l’année mariale (où son culte est plus intense pour accroître la dévotion). Il est situé à la sortie du village vers Vielsalm. Il a été offert à la fabrique d’église en 1991.
Dans un bouquet de hêtres, cette statue du Sacré-Cœur de Jésus date de 1930. Elle est protégée par une barrière en fer forgé et se situe le long de la N675 Vielsalm-Poteau.