Cette région calcaire et fertile, la Calestienne, a été marquée vers la fin du Néolithique, soit environ vers 3000 avant Jésus-Christ (lorsque la préhistoire touchait à sa fin), par une sédentarisation de l’homme.
Celui-ci a donc laissé des traces bien tangibles à travers champs, grâce aux dolmens et aux menhirs.
Les premiers ont une fonction nécrologique, pour y ensevelir des morts. Les seconds une fonction pratique, pour marquer des limites territoriales ou pour commémorer un événement.
Disposés selon un alignement géographique qui n’est pas dû au hasard, cette balade propose d’en faire le tour (en partie car la zone s’étend jusque Heyd voire jusqu’à Ozo), pour découvrir les vestiges massifs étonnants de cette ère lointaine, en partant de son centre névralgique : Wéris.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
Une plaine de jeux sur un îlot formé par deux bras de l’Ourthe. Sortie possible vers la Rue Simon par une passerelle.
Une balade bien agréable au large du village de Harre, aménagée depuis peu, autour du Château et du Moulin de Harre dans le très beau Bois de Harre. Elle s’étend sur les hauteurs septentrionales du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau, un petit affluent de l’Aisne.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Ce barbecue sous abri, dans le cadre de beaux aménagements, se situe à l’écart du village sur la très conviviale Place du Ri de Loon.
Cette tour offre un très beau panorama sur la ville. Elle est accessible en parallèle avec le petit train touristique de la ville.
Depuis ce lieu de ravitaillement en pleine nature, situé sur la petite route qui joint Burnontige à Ferrières, voici l’occasion de digérer son bon repas en faisant le tour d’un bosquet appelé "Le Bois de Lige aux Sarts".
Cette rando se déroule de part et d’autre de la vallée de l’Aisne, ce qui implique des reliefs assez importants mais dans le cadre enchanteur des hauteurs de Wéris puis celles d’Erezée, en passant par le fond de la vallée au niveau du joli hameau d’Eveux.
Une table de pique-nique attenante à la chapelle principale du hameau, dans un petit parc aménagé avec quelques bancs. Endroit calme.
Le Pont des Soupirs d’Erezée n’est certes pas aussi touristique que celui de Venise mais Erezée possède le sien, avec un charme bien différent mais aussi présent !
Il n’est peut-être pas aussi romantique que celui de Venise mais enjambant l’Estinale, un sous affluent de l’Aisne, il nous emmène dans un très beau coin typiquement ardennais, vers le village de Clerheid situé à l’orée d’une grande forêt : le Bois du Pays.
Autour de ce village, on peut découvrir de magnifiques paysages !
La balade reprend ensuite le cap d’Erezée. On descend dans la vallée de l’Estinale avant de gravir le dernier croupet qui mène à notre point de départ, perché sur les hauteurs du petit affluent de l’Aisne.
Une jolie trotte majoritairement forestière qui vous mène à une croix de carrefour forestier, suivi du passage dans la partie ouverte du parc forestier Chlorophylle.
Puis l’on revient vers le Bois de Tave avant de redescendre sur Amonines.
Une table de pique-nique près d’une petite rotonde au pied d’un beau point de vue sur Ferrrières.
La commune de Manhay recèle quelques villages typiquement ardennais on ne peut plus pittoresques et de surcroît aménagés avec beaucoup de convivialité.
Harre, point de départ de cette balade et Deux-Rys en font partie, avec leur aire de barbecue situées dans des petits recoins idylliques et tranquilles du village.
Sans compter Fays, que cette balade ne fait qu’effleurer, et qui attire chaque année au mois de juin, des milliers de pèlerins venus prier sur les traces de l’ancien ermitage de Saint-Antoine.
Ceci en dit long sur l’atmosphère à vivre de ces lieux empreints de nature et d’histoire.
Cette randonnée est vraiment typique de l’Ardenne profonde, même si le tracé se situe encore relativement au nord.
Mais tous les ingrédients sont réunis : de vastes forêts comme le Bois de Bernardfagne, le Bois du Pouhon (côté Ferrières), le Bois des Fagnes après Paradis puis les Bois de la Sûreté, de Plein Fays et de Mambaye (côté Spa).
Les ruisseaux et rivières aussi : la Lembrée à Ferrières, le Ruisseau du Pouhon à la Chapelle Sainte-Anne, la Lienne et l’Amblève à Targnon et le Wayai à Spa.
Et enfin, les villages et hameaux entourés de tous ces bois : Rouge-Minière, La Levée, Pouhon, Paradis, Lorcé, Targnon, Monthouet...
Comme vous l’aurez compris, il y en a pour tous les goûts au cours de cette rando mais il faudra être un brin sportif : outre la longueur (30 km), le dénivellé joue un peu les montagnes russes, surtout après l’Amblève qui a tout de même bien creusé !
Cette piscine tropicale couverte, dont l’eau avoisine les 30°, est agrémentée d’un sauna et d’un jacuzzi.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Dans la toujours aussi sereine région de Ferrières mais cette fois au nord de la N66 qui relie Trois-Ponts à Hamoir, cette balade vous propose de faire le tour d’un beau massif forestier, dans lequel se cache un château datant du 18è siècle : le Bois de Bernardfagne.
L’itinéraire n’est pas que boisé puisqu’il se déroule en grande partie le long de l’orée de ce bois. Ceci laisse place à de nombreux moments à des paysages à la fois ouverts mais feutrés. Il passe également à travers de beaux hameaux et villages comme La Rouge Minière, point de départ près de la chapelle de la Vierge des Pauvres, puis Saint-Roch avec son école sertie au milieu de la forêt.
On déborde également un peu sur la commune d’Aywaille avec le hameau de La Levée, suivi du village d’Ernonheid.
On traverse alors la forêt pour partir à la découverte du Château de Grimonster, avant de rejoindre notre point de départ, après une boucle relativement vallonnée de 9 km.
Promenade dans une ambiance rurale aux confins méridionaux de la commune d’Aywaille, elle débute à la chapelle Sainte-Anne, petit sanctuaire caché dans les bois au sud du massif du Mahousseux.
On gagne ensuite les essarts qui s’ouvrent en direction d’Ernonheid. Là, on y rencontre les hameaux de La Levée et de Faweux, avec son château-ferme où règne le calme de la campagne aqualienne.
Bref, une promenade bien reposante, qui s’articule autour du Ruisseau du Pouhon.
Cette balade vous invite à une incursion sur les hauteurs de l’Ourthe au sud de Hotton, que vous pourrez admirer d’une tour-belvédère avant d’atteindre le premier kilomètre.
Ensuite, immanquables, les grottes de Hotton valent la visite : des concrétions calcaires magnifiques vous y attendent !
Mais ce n’est pas tout. Un peu plus loin, vous pourrez découvrir la Réserve Naturelle de l’Alouette. Il s’agit d’une ancienne carrière qui a été exploitée entre 1899 et les années 1960. On y extrayait du grès et du calcaire, très présents dans toute la région de la Calestienne. Ces matériaux ont servi pour construire des maisons en moellons mais ont également servi de gravier pour construire des routes.
Il y subsiste des vestiges industriels.
L’itinéraire poursuit son cours par le bois pour réaboutir à Hotton par le sud-ouest et la N86 Hotton-Marche.
Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
Aire de pique-nique installée le long de la Route des Minières.
Une table de pique-nique sur la place arborée, juste près de l’église.
Pour un peu changer des boucles, cette promenade profite de la proximité des gares de Sy et de Hamoir sur la ligne ferroviaire 43 pour monter sur une belle petite crête de l’Ourthe, admirer un très beau panorama et redescendre dans cette petite ville touristique animée qu’est Hamoir, où il est bien agréable de s’y restaurer !
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Une table de pique-nique au carrefour principal du hameau.
Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.
Petit barbecue aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare de Saint-Roch (Xhoris).
Cette collection de plus de 250 buis taillés en forme d’animaux ou de personnages sur une superficie de 10 000 m².
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Une table de pique-nique au rond-point de la Rue Haute, près de la petite voiture du tram de l’ancienne ligne vicinale.
Plusieurs tables de pique-nique sous abri au niveau du bâtiment de la vitrine muséale du tramway touristique de l’Aisne. Il a été inauguré le 14 mai 2022.
Une table de pique-nique en pleine nature, jouxtant la croix.
Une plaine de jeux dans le vaste parc arboré du domaine.
Ce hameau en cul-de-sac caché à l’écart des grandes voies de communication est une excellente opportunité de vivre l’Ardenne dans ce qu’elle a de plus typique.
Les âmes sensibles à ce caractère y percevront cette magie dont les aspects visibles sont : une nature omniprésente, entourée de vastes forêts, des fermettes en moellons qui font remonter dans le temps au 19è siècle et ce dans un cadre paisible et à l’écart de la circulation.
Cette localité est divisée en deux petites entités contiguës : Grande Hoursinne et Petite Hoursinne dont la limite entre les deux est matérialisée par une petite chapelle.
Elle est entourée d’un massif forestier assez important en superficie qui s’étend jusqu’aux confins de la commune d’Erezée et même au-delà sur celle de Manhay. Voici une bonne occasion de le découvrir.
Assez giboyeux, les essences d’arbres y sont assez variées, on a parfois l’impression de se promener dans un parc.
Ensuite, on revient tout au fond de la petite route du côté de Petite Hoursinne et on descend jusqu’au Ruisseau de Hoursinne, un petit affluent de l’Aisne avant de remonter au point de départ.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Une table de pique-nique à l’entrée ouest du village, le long d’un chemin empierré.
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
Une table de pique-nique le long du Ravel.