Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
Une table de pique-nique le long du Ravel proche du rocher surplombant l’Ourthe.
Une plaine de jeux le long de l’Ourthe.
Une plaine de jeux à l’écart de la circulation au nord du village.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Cette balade est l’occasion de découvrir un magnifique panorama sur la région d’Ourthe-Amblève, qui s’étend jusqu’au CHU du Sart Tilman.
Lors de l’itinéraire, une belle table d’orientation explicite les lieux visibles. En contrebas, une table de pique-nique vous attend pour vous ravitailler.
Ensuite, on remonte dans le Bois Mahousseux, un massif forestier assez calme qui augure un peu la profonde Ardenne puisqu’au-delà, vers le sud, on aboutit déjà dans la région de Ferrières.
Mais nous n’irons pas si loin : à hauteur de la Croix Saint-Christophe, on prend à nouveau le cap sud-est/nord-est pour rejoindre notre point de départ, près d’un mémorial américain : le Monument américain du Pouhon.
Au nord comme à l’est de Comblain-au-Pont, on peut admirer de superbes panoramas sur cette ville qui tire d’ailleurs son nom du mot "confluence", où effectivement l’Amblève se jette dans l’Ourthe.
C’est le versant oriental qui fait l’objet de cette balade pas trop longue (5 km) mais il faudra donc prendre un peu de hauteur -et c’est là la petite difficulté du trajet- pour profiter de la superbe vue qui s’offre au sommet du massif rocheux du Thier Pirard.
Au-dessus, on découvre le village d’Oneux, avant de redescendre par un sentier en zigzags le long de ces fameuses tartines surplombant l’Ourthe en rive droite.
" Je veux une pareille de Nutella ! "
En contrebas, on atteint la route principale qui mène à Aywaille avant de reprendre le Ravel pour rejoindre le point de départ, en traversant à nouveau le fameux pont de Comblain.
Drôle de toponyme, qui identifie en fait une partie du bois qui se situe au nord du hameau de Hoursinne.
On retrouve la racine "chera" dans bien d’autres toponymes de la région et notamment dans Cheratte. En wallon, on dit "tchèrå" et cela signifie une voie charretière.
Dans notre cas, il s’agit d’un massif boisé typiquement ardennais dans une région feutrée, entre Deux Rys et Hoursinne.
Un itinéraire pas bien long et raisonnablement déclive tournant autour de Deux Rys, dans la partie est du village, à la confluence des ruisseaux l’Ai-l’Oiseau et du Ruisseau del Heid.
Haut-lieu de la chiroptérologie.
Programmes d’initiation à la nature.
Etude approfondie et scientifique de l’animal en milieu naturel.
Une table de pique-nique près d’une petite rotonde au pied d’un beau point de vue sur Ferrrières.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Une table de pique-nique au centre du hameau.
Les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Amblève recèlent quelques villages très agréables à traverser : Aisne, Villers-Sainte-Gertrude, Izier, Ferrières, la Rouge Minière et Awan, le tout dans un bel équilibre de champs, de prés et de bois.
Mais bon, le relief est relativement accidenté, néanmoins sans raideurs excessives, et la longueur est là : 25 km, quand même ! Ce qui en fait une balade plus sportive. Le principe de gare à gare vous permet de garer la voiture, aller en train au point de départ et revenir vers l’auto après une bonne dégustation dans cette petite ville touristique très gastronomique qu’est Aywaille !
Ce barbecue sous abri, dans le cadre de beaux aménagements, se situe à l’écart du village sur la très conviviale Place du Ri de Loon.
Les gares et haltes de la ligne 43 Rivage - Marloie sont, juste après sa séparation de la ligne 42 (Rivage - Gouvy), assez rapprochées.
C’est l’occasion d’en profiter pour prévoir plein de petites balades de gare à gare assez sympas le long de l’Ourthe.
Naturellement, il ne faut pas avoir peur de grimper un peu car l’Ourthe est engoncée dans une vallée relativement profonde. Et au début, accrochez-vous, c’est raide, surtout la toute première partie jusqu’à Lawé, un hameau d’une tranquillité totale.
Mais comme toujours, cet effort permet de découvrir, en prenant un peu de hauteur, des paysages magnifiques car l’entourage de la rivière est souvent fait d’un mélange de villages, de prés et de forêts, voire de rochers majestueux.
Celle-ci ne manque donc pas à ces aspects, d’autant qu’elle a comme particularité qu’il s’agit du point de rencontre de l’Amblève avec l’Ourthe, ce qui donne une configuration orographique d’autant plus intéressante !
Après avoir gagné le charmant et rustique village d’Oneux, on aboutit après la traversée de prés très sereins, à un escarpement rocheux particulier appelé, les Tartines. De par leur forme, ces rochers portent plutôt bien leur nom mais à cause de leur proximité, on ne pourra pas le constater lors de cette balade. Il vaut mieux pour cela prendre du recul lors d’une autre balade côté Comblain-au-Pont. Le sentier serpente jusque dans la vallée.
Il ne reste plus qu’à se laisser descendre vers l’arrivée. En bas, on peut trouver quelques points de ravitaillement.
Après avoir traversé l’Amblève au Pont de Liotte, la gare de Rivage apparaît un peu plus loin.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.
Dans la toujours aussi sereine région de Ferrières mais cette fois au nord de la N66 qui relie Trois-Ponts à Hamoir, cette balade vous propose de faire le tour d’un beau massif forestier, dans lequel se cache un château datant du 18è siècle : le Bois de Bernardfagne.
L’itinéraire n’est pas que boisé puisqu’il se déroule en grande partie le long de l’orée de ce bois. Ceci laisse place à de nombreux moments à des paysages à la fois ouverts mais feutrés. Il passe également à travers de beaux hameaux et villages comme La Rouge Minière, point de départ près de la chapelle de la Vierge des Pauvres, puis Saint-Roch avec son école sertie au milieu de la forêt.
On déborde également un peu sur la commune d’Aywaille avec le hameau de La Levée, suivi du village d’Ernonheid.
On traverse alors la forêt pour partir à la découverte du Château de Grimonster, avant de rejoindre notre point de départ, après une boucle relativement vallonnée de 9 km.
Ces deux affluents de l’Amblève sont décidément des beautés naturelles remarquables ! Nous vous proposons de faire d’une pierre deux coups et de découvrir les deux vallées au sein d’un même itinéraire.
Le tracé est tout de même plutôt sportif que familial car il y a l’une ou l’autre grimpette clapante, notamment à Quarreux où il faut remonter sur les hauteurs.
Le programme est donc le suivant : remonter le Ninglinspo jusqu’à Vertbuisson, suivre la crête jusqu’à Ville-au-Bois, redescendre la Chefna jusqu’à Quarreux puis enfin rejoindre Sedoz par les hauteurs.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Cette balade permet de prendre un peu de hauteur pour admirer une très belle vue panoramique de la ville.
Elle redescend par le Bois de Chapli, traverse la route en provenance de Petithan. Elle passe ensuite en rive gauche de l’Ourthe puis la longe par le Jardin des Topiaires pour revenir vers le centre, après avoir traversé le Pont de Durbuy.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Ce barbecue ouvert à tous est situé au coeur du parc du Château de Biron. Il appartient au domaine communal.
Cette balade vous propose une promenade sur les hauteurs occidentales d’Aywaille.
Pour observer la ville d’en haut, depuis un beau panorama, rien de tel que se rendre à la Croix de Septroux, qui domine avantageusement la vallée de l’Amblève.
Cette balade débute dans le hameau de Chambralles, se dirige vers le hameau de Septroux.
Elle atteint ensuite la fameuse croix puis revient à Chambralles par la Route de Hoyemont, qu’elle effleure légèrement.
Une balade bien agréable au large du village de Harre, aménagée depuis peu, autour du Château et du Moulin de Harre dans le très beau Bois de Harre. Elle s’étend sur les hauteurs septentrionales du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau, un petit affluent de l’Aisne.
Cette ferme en moellons de grès et calcaire datant principalement du 18è siècle a été acquise par la Province de Liège et est à présent un centre récréatif.
Cet endroit a ceci de particulier de se situer au creux d’un vaste massif forestier aux abords de la Lienne.
Pour ceux qui apprécient d’aller parfois dans un endroit très rustique, à peine habité et presqu’isolé du temps, ce petit coin autour des villages de Trou de Bra, Grand Heid et Derrière les Thiers fera pas mal l’affaire.
On monte ici sur la colline des Cent Verges, au nord-est de la confluence entre le Mierdeux avec la Lienne.
On atteint au-dessus le hameau de Grand Heid puis on redescend vers ce ruisseau jusqu’à Derrière les Thiers, où il n’y a plus qu’à le suivre jusqu’au point de départ, au cours d’une petite boucle de 5 km.
Cette balade vous invite à faire le tour d’un domaine situé sur les hauteurs orientales de l’Ourthe, non loin de Barvaux, qui fait la part belle à la flore locale : environ 700 espèces de plantes et arbres différentes (la moitié de la flore belge !) vous y attendent dans un cadre majoritairement boisé, dont de majestueux hêtres.
La faune n’est pas en reste avec de nombreux insectes, mammifères, reptiles et batraciens.
On y organise également des expositions et des bioramas sur la biodiversité des Ardennes.
La commune de Manhay recèle quelques villages typiquement ardennais on ne peut plus pittoresques et de surcroît aménagés avec beaucoup de convivialité.
Harre, point de départ de cette balade et Deux-Rys en font partie, avec leur aire de barbecue situées dans des petits recoins idylliques et tranquilles du village.
Sans compter Fays, que cette balade ne fait qu’effleurer, et qui attire chaque année au mois de juin, des milliers de pèlerins venus prier sur les traces de l’ancien ermitage de Saint-Antoine.
Ceci en dit long sur l’atmosphère à vivre de ces lieux empreints de nature et d’histoire.
Une balançoire avec un toboggan et une balançoire, avec des bancs et une table de pique-nique.
Constitué grâce à la générosité des habitants de Xhoris, ce musée a été inauguré le 21 décembre 1975 dans la maison qui était autrefois la maison communale de Xhoris, avant la fusion des commune.
Cette tour offre un très beau panorama sur la ville. Elle est accessible en parallèle avec le petit train touristique de la ville.
L’érosion occasionnée par ces deux rivières, dans une région où le calcaire est très présent, appelée dans son ensemble la Calestienne, laisse parfois quelques belles découvertes, comme cette grotte située non loin de Bomal, point de ralliement de cette balade.
Après cette grotte proche de l’Aisne, confluent qui termine son parcours à Bomal dans l’Ourthe, on remonte vers le village d’Ozo, où un menhir parmi toute une ligne d’autres vestiges préhistoriques dans la région (essentiellement celle de Wéris), témoigne de la présence humaine au néolithique, lorsque les hommes commencèrent à devenir plus sédentaires.
Il est à présent temps de redescendre vers le point de départ, en direction de l’Ourthe, sans oublier la Chapelle Saint-Rahi sur le passage de cet itinéraire, qui se termine après 9 km.
Manège équestre et location de boxes.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Cette attraction consiste en un labyrinthe géant formé par des plants de maïs.
Le thème change chaque année et des animateurs-acteurs jalonnent le parcours en fonction de celui-ci.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
La plus petite ville du monde.
Ce titre, devenu slogan touristique, a été octroyé dans une charte des franchises par le Roi Jean de Bohème, comte de Luxembourg en 1331.
Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.
Une table de pique-nique situé près d’un petit pont sur la Lienne, en rive droite de la rivière.
La jonction entre ces deux vallées promet de magnifiques surprises !
A commencer par le bel aménagement entre Aywaille et Remouchamps, le long de l’Amblève via le Parc d’Aywaille.
Puis après le viaduc de Remouchamps arrive la belle campagne qui court-circuite le long méandre de l’Amblève du Val du Promontoire avec le Tilleul du pendu.
Ensuite, ô merveille : le Ninglinspo, que l’on remonte par le chemin principal jusqu’à la superbe charmille du Haut Marais.
Suit alors la campagne entre Vertbuisson et Winamplanche où l’on traverse la Réserve naturelle de Banoyard et le Thier d’Aihé -avec de beaux panoramas- avant de descendre vers l’Eau Rouge. Pas celle de Francorchamps mais bien celle de Winamplanche.
Le Chemin de la Vecqueterre nous ramène enfin à Spa et plus loin au Parc des 7 heures via le Chemin des Français, par derrière la ville pour éviter la grande Avenue reine Astrid.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Barbecue couvert.
Se situe à proximité de la pompe-abreuvoir et du tunnel sous voirie.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Une plaine de jeux dans le vaste parc arboré du domaine.
Grotte creusée par une rivière dépendante de l’Amblève : Le Rubicon.
On peut y effectuer un parcours pédestre de plus d’un kilomètre dans des salles imposantes dotées de concrétions magnifiques.
Comblain-au-Pont est décidément entourée de falaises très rocheuses. A l’est se développent les fameuses Tartines et au nord du patelin, ce sont les Roches Noires.
Pour les atteindre, il va falloir faire l’effort au départ pour grimper sur la colline qui surplombe l’Ourthe. Et pour ce faire, nous allons monter par cette fameuse tour qui domine Comblain-au-Pont : la Tour Saint-Martin.
C’est environ 1 km plus loin en gardant le cap nord que l’on rejoint le massif rocheux qui fait l’objet de cette balade.
Histoire de revenir par un autre côté, et de rester sur le thème des rochers, nousa llons redescendre dans la vallée par le pic Napoléon, un peu plus à l’est, avant d’atteindre l’Ourthe et le Pont de Scay.
Juste après avoir traversé l’Ourthe, pour revenir au point de départ, il suffit de longer la rive droite de l’Ourthe vers l’amont, qui nous ramène au centre après avoir à nouveau traversé l’Ourthe au niveau du Pont de Comblain-au-Pont.
Finalement une balade pas trop longue… mais riche en découvertes !