Une balade pas bien longue, dans la campagne ouverte au sud du village.
Elle vient flirter avec l’orée d’une vaste forêt qui s’étend depuis La Roche en passant par la Baraque de Fraiture.
Le profil forme une bosse : le début décrit une montée pas trop intense puis on termine par une tendance plutôt descendante.
Cette balade vous emmène depuis Lierneux, sur ce pli géologique rare situé au sud du village. C’était autrefois un site d’extraction de schiste, qui a laissé quelques traces.
Attention cependant, après avoir remonté le cours de la Lienne au fond de la vallée, on remonte ensuite sur la Montagne du Colanhan et la côte est très ardue ! C’est pourquoi nous avons classé cette balade dans les très difficiles.
Une fois là-haut, on atteint la grand croix du Colanhan où il est possible de se reposer sur un banc au pied de celle-ci.
Au retour, on visitera le village de Verleumont avant de revenir au point de départ par les hameaux de La Falize et de Lavaux.
" Montez sur le belvédère de la Falize, c’est beau vu de là-haut ! "
Beaux paysages en vue et mixte de forêts et de pâtures.
Cette piste d’une longueur de 46 km se trouve à une altitude de 650 mètre.
On y pratique le ski de fond.
Il est possible de louer du matériel, d’avoir un moniteur et de se restaurer.
Cette balade vous propose de faire le tour d’une colline proche de la Baraque de Fraiture et de la Grande Fange de Bihain. Cette colline culmine à 580 m d’altitude.
Autrefois, on y exploitait le manganèse ainsi que le coticule, une pierre schisteuse très abrasive et unique à cette région. Il subsiste encore bien des traces de cette exploitation.
" Oufti oui, elle est tranchante cette pierre ! "
Partant de Regné, un village charmant lorsque l’on y pénètre depuis la N89, la balade flirte avec deux autres villages salmiens : Hébronval et Bihain.
Un passage plus sauvage, après avoir effleuré le nord du village de Bihain, offre de beaux panoramas sur la zone fangeuse du Ruisseau de Saint-Martin, en provenance de la Grande Fange toute proche.
La tour de la Baraque de Fraiture est visible au loin vers le sommet.
La balade se déroule entièrement sur un revêtement en dur (pierres, asphalte).
Située à 654 m d’altitude, la Baraque de Fraiture, au même titre que la Baraque Michel, est entourée, bien que dans une nettement moindre mesure, de zones tourbeuses typiques de ce niveau d’altitude.
Cette ensemble fagnard est appelé le Plateau des Tailles et la Fagne de Samrée, que nous allons découvrir ici, en fait partie. C’est celle qui est située le plus à l’ouest du plateau.
Elle fait partie d’un site d’intérêt biologique remarquable. En effet, on y trouve des espèces végétales assez rares telles que l’andromède, la canneberge, l’airelle, la linaigrette vaginée, la bruyère quaternée et différentes espèces de sphaignes.
C’est également entre cette fange et la fange aux Mochettes, qui lui est directement attenante, que le Ruisseau de Belle Meuse prend sa source.
Il s’agit d’un sous-affluent de l’Ourthe Orientale qui passe en aval à l’est de Bérismenil, à Nadrin, à Petite Mormont. Il se jette dans le Ruisseau de Martin Moulin peu avant qu’il conflue dans l’Ourthe à hauteur de Rensiwez, à environ 5 km à l’ouest d’Houffalize.
Des tables de pique-nique en retrait de la N876 qui traverse le hameau d’Eveux
Des circuits asphaltés qui permettent de faire une boucle à l’écart de la circulation, sans déclivité majeure, ne sont pas vraiment légions.
Cette boucle-ci mérite d’être soulignée car elle correspond pas mal à ces critères.
Mise à part une inclinaison un peu plus prononcée dans la ruelle de Dessus le Mont qui entre dans le village d’Arbrefontaine -et c’est d’ailleurs la raison du sens choisi, de manière à ne pas suer avec une poussette ou une chaise roulante dans le sens de la montée-, le tout se déroule dans un beau paysage ouvert, à la lisière de la grande forêt d’Hodinfosse au nord, qui s’étend presque jusqu’à Trois-Ponts.
Les ruelles asphaltées sont des destinations locales donc on y croise assez rarement des véhicules motorisés.
A ceux pour qui un petit casse-croûte n’est pas de refus, un barbecue/pique-nique est accessible en s’éloignant à peine d’une bonne centaine de mètres de l’itinéraire !
Avec ses villages et hameaux en recul de la civilisation, entourée d’épais massifs boisés et vallonnés, chargée d’un passé riche en aventures humaines, l’Ardenne est aussi une terre propice aux légendes. C’est ce qui fait entre autres sa saveur exceptionnelle car quiconque possède un brin de sensibilité ressent inévitablement une profondeur inexplicable en certains lieux chargés de cet esprit empreint de mystères et d’histoire.
" Je veux trouver l’anneau d’or ! "
Cette balade va justement vous emmener dans l’une de ces grandes forêts à l’écart de tout, à la rencontre d’une pierre de légende. Vous verrez bien si celle-ci exauce vos vœux ! Au cours de l’itinéraire, vous rencontrerez aussi l’un de ces hameaux reculés typiques de ceux que nous avons évoqué plus haut : Derrière les Thiers, près de Trou de Bra, qui s’étend sur la colline du ruisseau du Mierdeux, en provenance des hauteurs occidentales de Coo et de l’Amblève, peu avant sa confluence avec la Lienne.
Cette découverte se fera à partir du village de Les Villettes, situé sur un contrefort de la rive droite de la Lienne, au cours d’une boucle assez vallonnée d’un peu plus de 8 km.
Une grande plaine de jeux en entrée libre, avec un toboggan-tuyau géant ainsi que de nombreux autres modules.
Un parc doté d’une belle plaine de jeux et d’une aire de pique-nique.
Fameux dénivelé, entre la Baraque de Fraiture qui culmine à plus de 650 m et Lierneux où la Lienne coule à environ 400 m d’altitude !
Entre les deux, sur pratiquement toute cette pente, s’étend un grand massif boisé. Il est traversé par plusieurs ruisseaux en provenance des villages hauts perchés proches de la Baraque : la Géhe, dont la source est proche de Fraiture, le Ruisseau de Coé ou le Ruisseau de Groumont, qui viennent tous deux de Regné. Ils confluent au cœur du bois et c’est ce dernier qui garde son appellation avant de se jeter dans la Lienne au sud-ouest de Hierlot.
C’est autour de ce ruisseau que se déroule cette balade. Le seul hic se situe au moment de le quitter pour remonter dans le Bois de Groumont : la pente est raide durant un bon kilomètre et c’est pourquoi elle est classée en rouge. Sinon le reste de la balade est plutôt calme mais mieux vaut être prévenu.
C’est pourtant sur ses hauteurs que l’on découvre un magnifique panorama, notamment en arrivant dans le hameau de Baneux, très calme grâce à sa terminaison en cul-de-sac mais aussi très typique grâce à ses nombreuses maisons en pierre de schiste, même les constructions plus récentes.
La suite se déroule dans des pâtures qui aboutissent au Moulin d’Ecdoval, un petit coin très charmant. On flirte ensuite avec la N822 qui relie Vielsalm à Manhay mais à peine après avoir suivi la route, on retourne sur un sentier qui nous ramène au point de départ, avec une dernière grimpette mais qui fait cette fois moins de 200 m, pas de quoi fouetter le chat !
Une table de pique-nique attenante à la chapelle principale du hameau, dans un petit parc aménagé avec quelques bancs. Endroit calme.
Une table de pique-nique au milieu du hameau de Hoursinne, à un carrefour de chemins.
Une balade hautement fagnarde, mais là où on ne s’y attend pas spécialement !
Des tourbières à perte de vue, remplies de sphaignes, il n’y en a pas qu’à la Baraque Michel : le Plateau des Tailles, autour de la Baraque de Fraiture, en possède pas mal elle aussi.
Mais cela a été rendu possible grâce à un grand projet de restauration des tourbières.
En effet, celles-ci avaient été envahies au 20è siècle de résineux, culture de toutes façons peu fructueuse au vu du terrain qui ne leur était pas très propice.
La tourbière dès lors partiellement asséchée en avait pris un coup, ainsi que la biodiversité qui lui était associée.
Dans le cadre du projet LIFE du Plateau des Tailles, ceux-ci ont été défrichés afin de restaurer la tourbière originelle.
L’intérêt est notamment de favoriser une grande biodiversité car ce type de terrain est très favorable à la prolifération d’une flore basse assez rare : la linaigrette, la drosera, l’andromède ou différents types de sphaignes. Ou plus commune comme la myrtille, la callune ou la bruyère quaternée.
Cela nous permet de côtoyer de très belles étendues fangeuses.
Seul bémol où il nous faut absolument vous prévenir et non des moindres : certaines zones très humides et spongieuses et pourtant balisées sont exemptes de caillebotis, notamment dans la Fagne du Pouhon.
Autrement dit, évitez à tout prix d’y aller avec vos baskets ! A cet endroit, il vaut mieux avoir des bottes ou tout du moins des chaussures de marche bien étanches sinon, les pieds mouillés sont assurés ! Le terrain y est par endroit très chaotique, surtout par temps un peu humide. Faites attention de ne pas vous y enfoncer jusqu’à la cheville, malgré les branchages qui permettent de "survoler" un peu les marécages.
Par temps très sec, vous avez aussi le risque de vous en voir interdire l’accès lorsque le fanion rouge est hissé. Donc voilà, nous préférons vous prévenir de ces quelques inconvénients mais en dehors de ceux-ci, le tracé est agréable, pas très vallonné et assez riche en paysages. Puis le village d’Odeigne, point de ralliement, aux sources de l’Aisne, est calme et très typique de la Haute Ardenne.
Au départ du charmant et rustique village d’Arbrefontaine, cette balade fait une incursion dans la vaste forêt qui s’étend au nord du village (jusqu’à Saint-Jacques).
Elle débute par un chemin de croix remarquable du 18è siècle avant de s’enfoncer dans la forêt jusqu’au Hêtre du Berger, dont il ne reste que le lieu-dit, l’arbre ayant été foudroyé en 1993.
On découvre ensuite sur les hauteurs le parc éolien forestier du Lambiester, avant de redescendre sur le village d’Odrimont.
De là, on part à la rencontre de cette réserve naturelle qui s’étend autour d’un petit affluent de la Lienne : le Ruisseau d’Arbrefontaine.
Ensuite, par une zone plus à découvert, on rejoint notre point de départ.
En retrait de la N89, 2 tables de pique-nique au début du sentier d’interprétation de Samrée, une balade d’une longueur de 4,7 km qui permet de découvrir la Fagne de Samrée.
Une table de pique-nique dans un recoin de la route menant à Regné.
Une table de pique-nique en plein cœur du village, devant la plaine de jeux qui est elle-même située sur une place (parking) près de l’église.
Cette balade part à la rencontre des campagnes septentrionales du village de Lierneux. Les paysages y sont assez ouverts et sont essentiellement constitués de pâtures.
On y rencontre également des petits villages typiquement ardennais tels Lansival, Hierlot, La Chapelle, Odrimont et La Vaux.
Au milieu de ce cercle coulent la Lienne et son affluent le Ruisseau de Groumont.
C’est le long de ces cours d’eau que s’étend la réserve naturelle où prairies humides, pâtures, bouts de forêts marécageuses, résineux et peupleraies composent ensemble un site d’un grand intérêt biologique.
Cette balade démarre d’un recoin intéressant du sommet de la Province de Luxembourg, la Baraque de Fraiture. Les abords de la piste de ski de l’ADEPS sont également une zone de loisir bien agréable avec une grande plaine de jeux et des tables de pique-nique. La vue est superbe de là-haut avec le village de Fraiture en avant-plan et le paysage qui s’étend jusqu’à la vallée de la Salm tout au loin.
S’étend également au nord de ce lieu une vaste forêt, pratiquement jusqu’à Lierneux. C’est à travers celle-ci que la balade se déroule, en se cantonnant plus ou moins sur la plateau des Tailles.
Un tour dans le vaste Bois du Pays, entre Erezée et Manhay, plus précisément entre Sâdzot et La Fosse, où l’on part à la rencontre de deux croix forestières dont une avec une aire de pique-nique : la Croix Sainte-Jehenne.
Cette aire de pique-nique est près du Col de Haussire, bien connu des cyclistes.
Une table de pique-nique située dans un petit coin juste près du jardin de l’école du village.
Une petite plaine de jeux sur une petite place aménagée en parking près de l’église.
Une table de pique-nique située à l’arrêt de Forge à l’Aplé sur la ligne vicinale du tramway touristique de l’Aisne.
Il s’agit d’une grande rotonde en bois qu’il est possible de louer sur réservation.
Une table de pique-nique sur la place arborée, juste près de l’église.
Une table de pique-nique est installée juste devant l’ancien édifice religieux reconverti en salle de village.
Cette balade tourne autour de la vallée de l’Aisne, dans une portion très nature et typiquement ardennaise.
Partant de l’ancienne gare vicinale de Dochamps, elle rejoint le village de Freyneux 2 km plus au nord-est avant de revenir par la forêt, le Bois de l’Alu, vers le village de Dochamps.
Drôle de toponyme, qui identifie en fait une partie du bois qui se situe au nord du hameau de Hoursinne.
On retrouve la racine "chera" dans bien d’autres toponymes de la région et notamment dans Cheratte. En wallon, on dit "tchèrå" et cela signifie une voie charretière.
Dans notre cas, il s’agit d’un massif boisé typiquement ardennais dans une région feutrée, entre Deux Rys et Hoursinne.
Un itinéraire pas bien long et raisonnablement déclive tournant autour de Deux Rys, dans la partie est du village, à la confluence des ruisseaux l’Ai-l’Oiseau et du Ruisseau del Heid.
Une table de pique-nique au carrefour principal du hameau.
Partant d’un petit village caché au cœur de l’Ardenne, sur un contrefort de la Lienne, cette balade part à la découverte d’un château enfoui dans les bois, à l’allure bien singulière.
La première partie se déroule dans les Bois de Hierlot, où il règne une ambiance moussue digne du carbonifère, dans un calme olympien. La seconde partie se déroule quant à elle dans les vertes campagnes du village. Les paysages variés et paisibles raviront les amateurs du caractère typique de l’Ardenne profonde.
Plus de 400 m d’altitude séparent la Baraque de Fraiture et La Roche. C’est dire si l’Ourthe est sérieusement engoncée dans sa vallée par rapport au plateau situé une quinzaine de kilomètres plus au nord-est.
C’est à mi-chemin entre ces deux lieux touristiques que l’on découvre Samrée déjà perché sur le plateau à 540 m d’altitude.
C’est de ce village que nous vous proposons une balade assez facile, pas trop longue, quasi exclusivement en descente (voir le graphique).
Depuis La Roche, Samrée est accessible en bus avec la ligne 55 ou la ligne 11b en à peine 10 minutes/un quart d’heure. Puis hop ! Il n’y a plus qu’à se laisser descendre jusqu’à la belle ville touristique pendant 2 petites heures, et ce à travers le Bois de La Roche qui forme un vaste massif forestier au nord-est de la ville.
On y arrive par le fabuleux parc du Deister où vous allez découvrir un panorama d’exception sur La Roche, digne des plus belles photos de vacances ! Attention cependant, les sentiers sont très rocailleux, assez pentus et peuvent s’avérer glissants, surtout par temps de pluie.
Les petits escaliers qui redescendent vers le centre-ville, près de l’église sont vraiment très charmants !
Le Mont des Ânes vous propose des escapades de un ou plusieurs jours à dos d’âne. Il privilégie la relation entre l’animal et la nature, en en profitant tout en douceur à travers de magnifiques chemins ardennais.
Le départ se situe au parking du Parc Chlorophylle, axé sur la découverte de la nature aux petits et qui regorge d’imagination pour leur apprendre à travers plein d’attractions tout un tas de choses à ce sujet !
On se dirige ensuite à travers bois vers Dochamps, un village entouré du vaste massif forestier qui sépare La Roche de la Baraque de Fraiture et qui s’étend depuis l’Ourthe jusqu’au sommet de la troisième plus haute crête de Belgique.
Aux confins du village, on atteint le Ruisseau de l’Alu le long duquel subsiste une ancienne ligne vicinale réhabilitée et entretenue pour y faire circuler le tramway touristique de l’Aisne, qui permet un joli parcours depuis le Pont d’Erezée jusqu’à Lamormenil.
Lamormenil, le terminus de ce parcours ferroviaire, que l’on rejoint un bon kilomètre plus haut après être passé devant l’Eurocamping.
Après ce village, l’itinéraire se poursuit en direction de l’Aisne, qui n’est encore qu’au début de son cheminement vers l’Ourthe. On y rencontre le Moulin de Lafosse, serti au fond de la vallée sauvage et authentique, qui fait partie d’un beau projet de réhabilitation depuis 2014.
On suit ensuite l’Aisne à travers bois jusqu’à sa confluence avec le Ruisseau de l’Alu à la Forge à l’Aplé, où autrefois existait une importante industrie métallurgique.
Enfin, on remonte la colline -assez raide attention- pour rejoindre le point de départ au parking du parc forestier.
La Place communale de Manhay.
On y trouve une plaine de jeux, un monument en hommage aux soldats américains qui ont stoppé et repoussé les soldats allemands, un drapeau américain, un canon allemand
Ce parc forestier récréatif a une superficie de 9 ha.
Il s’agit d’un parcours aventure en forêt pour les familles et les groupes.
30 zones de jeux jalonnent le parcours et est couronné par une vaste plaine de jeux.
Ce musée est consacré à la 83e Division d’Infanterie américaine qui a participé à la Bataille des Ardennes. Il a libéré Bihain lors de la seconde guerre mondiale.
Une plaine de jeux avec un grand module en bois et 2 toboggans.
Ce pique-nique blotti en bord de route (très calme) a été déplacé au cœur du hameau, près de l’ancien bac-fontaine.
Une table de pique-nique sous abri située juste à côté de la table d’orientation de Baneux, face à un paysage magnifique sur la vallée de la Lienne.
Cette table de pique-nique est située au cœur du hameau, sur une place arborée.
Cette balade ne propose pas un itinéraire en boucle mais permet un aller en bus en choisissant un point de départ se maintenant sur la N89 pour simplifier ce trajet (pas de correspondance).
Nous aurions préféré partir de la Baraque de Fraiture mais les tracés au sud de la N89 auraient impliqué de suivre la route, par manque de chemins pédestres, ce qui n’est pas très agréable.
Aussi partirons-nous de Regné qui, sans atteindre le point culminant local, permet de s’enfoncer directement à travers champs.
Ce hameau en cul-de-sac caché à l’écart des grandes voies de communication est une excellente opportunité de vivre l’Ardenne dans ce qu’elle a de plus typique.
Les âmes sensibles à ce caractère y percevront cette magie dont les aspects visibles sont : une nature omniprésente, entourée de vastes forêts, des fermettes en moellons qui font remonter dans le temps au 19è siècle et ce dans un cadre paisible et à l’écart de la circulation.
Cette localité est divisée en deux petites entités contiguës : Grande Hoursinne et Petite Hoursinne dont la limite entre les deux est matérialisée par une petite chapelle.
Elle est entourée d’un massif forestier assez important en superficie qui s’étend jusqu’aux confins de la commune d’Erezée et même au-delà sur celle de Manhay. Voici une bonne occasion de le découvrir.
Assez giboyeux, les essences d’arbres y sont assez variées, on a parfois l’impression de se promener dans un parc.
Ensuite, on revient tout au fond de la petite route du côté de Petite Hoursinne et on descend jusqu’au Ruisseau de Hoursinne, un petit affluent de l’Aisne avant de remonter au point de départ.
Egalement appelé le musée des vestiges de l’offensive des Ardennes. Il est le fruit d’une quête passionnée entamée en 1984 et présente des milliers de vestiges de la bataille des Ardennes retrouvés dans la région.
Une petite promenade a réaliser autour de la piste de ski. On termine sur quelques caillebotis, avec comme récompense à la clef une belle grande plaine de jeux et pourquoi pas un pique-nique !
Cette rando se déroule de part et d’autre de la vallée de l’Aisne, ce qui implique des reliefs assez importants mais dans le cadre enchanteur des hauteurs de Wéris puis celles d’Erezée, en passant par le fond de la vallée au niveau du joli hameau d’Eveux.
Cette randonnée fait le pont entre la Lienne et la Salm par les collines séparant Vielsalm de Lierneux.
Après la traversée de larges pâtures aux vastes panoramas, on passe devant la carrière du Thier dol Prêu où l’on extrayait le fameux coticule.
L’itinéraire devient dès lors de plus en plus boisé. Il pénètre ensuite sur la colline entièrement boisée du Thier du Mont au sud-ouest de Vielsalm, avant de redescendre dans la ville par la gare et le Lac des Doyards.