Cette ville touristique, d’environ 5000 habitants, située dans le Parc Naturel de l’Our, est encaissée dans vallée de la Clerve. Elle attire beaucoup grâce à son château-fort du 12è siècle et son Abbaye Saint-Maurice-et-Saint-Maur de 1910.
Hum. Oui. presque 40 km quand même. Mais quelle jonction ! On peut le faire façon sportive mais aussi tranquillement en 2 ou même 3 fois en profitant des hébergements sur l’itinéraire.
La première partie (les 12 premiers kilomètres) se situe dans le Val de la Woltz, entre Clervaux et Troisvierges.
La rando se poursuit sur la Vennbahn entre Troisvierges et presque jusqu’à Huldange.
Puis on passe la frontière près de Wathermal en direction de Ourthe et des Concessions avant de redescendre enfin vers la vallée de la Salm à Salmchâteau via Rogery.
Vielsalm n’est plus très loin !
Ce château féodal surplombant la ville date du 12è siècle. On y trouve le Musée de maquettes des châteaux forts du Luxembourg, le Musée de la bataille des Ardennes ainsi que la collection photographique de Edward Steichen : The Family of Man.
Cette ville implantée en bord de la Woltz était autrefois lié au culte des vierges Fides, Spes et Caritas, origine du toponyme. Le grand centre ferroviaire a laissé place aux commerces et à l’artisanat.
Cette église franciscaine a été bâtie en 1658. Parmi son mobilier de style baroque, elle contient l’une des plus grandes orgues du Luxembourg. Les statues de trois jeunes filles a donné son nom à la ville.
On y trouve également de nombreux tableaux de l’école de Rubens.
Ce village situé sur une crête à 510 m d’altitude n’est pas loin du point culminant du Grand-Duché : Kneiff, un peu plus au nord à 560 m d’altitude.
Ce village d’un peu plus de 400 habitants est le plus septentrional du Grand Duché. Le Burgplatz, situé un peu plus à l’est, est le deuxième point culminant du Luxembourg après Kneiff, à une altitude de 559 m.
Ce village situé à 500 m de la frontière luxembourgeoise, à 480 m d’altitude, est déjà cité au 9è siècle en tant que villa royale. On y célèbre chaque année la Fête de la Truite.
Ourta, en ancien wallon, signifie source ou fontaine. Ce village comporte un peu plus de 200 habitants. C’est, comme son nom l’indique, l’endroit près duquel l’Ourthe Orientale prend son origine, déjà formée par 4 ruisseaux avoisinants.
Il est jalonné de maisons typiquement ardennaises et les ruelles sont souvent bordées de murets.
Un ancien moulin à grains y est toujours visible à la sortie du village vers Deiffelt.
Durant la grande peste de 1636, le village fut presqu’entièrement décimé.
Au lieu-dit Im Morth, près de Deiffelt, on a retrouvé des vestiges de maisons tombées en ruine à la suite des ravages qu’elle avait causés.
Il devint une paroisse en 1807.
Cette propriété de chasse à courre a été construite en 1880 sur un domaine de plus de 80 ha, contenant un grand lac de ± 5 ha, traversé par plusieurs ruisseaux.
L’ensemble comporte un important domaine boisé de 313 hectares dont un château résidentiel, une maison de garde, une ferme de 100 hectares, une chapelle et de grands étangs (13 ha) alimentés par le Glain.
L’un d’entre eux est équipé d’un embarcadère couvert et d’une échelle à poissons visible de la route.
Dans un petit enclos fermé aux confins sud du village, cette chapelle commémorative fut construite en hommage aux victimes des deux guerres, sous de très vieux hêtres.
D’inspiration Art Déco, cette chapelle fut construite sur base des plans de l’Abbé Maréchal de Gouvy, à la suite d’un vœu formulé par l’Abbé Bande, curé de Rogery, durant la seconde guerre mondiale.
Le vœu fut prolongé par l’Abbé Wuidart, qui demanda au maçon F. Bastin de concrétiser cette construction.
C’est la ferronnerie de garde de la porte qui constitue le mémorial.
On y trouve à l’intérieur une statue de Notre-Dame, la Reine de la Paix signée Dupon.
Ce lieu était déjà habité en 350 avant Jésus-Christ, comme en attestent des fouilles qui y ont été menées, mettant à jour des os et des perles.
Plus récemment, on y a extrait de la pierre à aiguiser qui était renommée dans tout le pays.
Ces pierres, qui servaient à aiguiser les faux étaient nommées en wallon les « sikèyes ».
Le village date du nouveau château des Comtes de Salm construit sur une butte stratégique au 14è siècle : la Nova Salma, qui évoluera en Salmchâteau.
Cette gare, devenue en 2016 une simple halte, se trouve sur la ligne 42 qui relie Rivage à Gouvy, à la borne kilométrique 46.700 à 368 m d’altitude.
Elle fut mise en service en 1866 par la Compagnie des chemins de fer de l’Est, l’exploitant des lignes de la Société royale grand-ducale des chemins de fer Guillaume-Luxembourg.
Autrefois, il s’agissait d’une gare de bifurcation. En effet la ligne 47A s’en séparait en direction de Born.
Elle fut nationalisée par l’état belge en 1872.
Elle est desservie régulièrement par des trains qui relient Liers à Luxembourg et par des trains qui relient Bruxelles-Midi à Gouvy.
La gare a fermé en 2016 et a fait place à un petit snack appelé "Gare aux Petits Déjeuners" ouvert tous les jours de 6:00 à 14:00 sauf le week-end
Site de l’ancien château des comtes de Salm.
Cet édifice assez imposant est en moellons d’arkose.
Il comporte 3 nefs de 5 travées.
Le toit en ardoises est surmonté d’un clocheton octogonal.
Sur trois de ses faces, on peut y admirer des cadrans d’horloge en métal doré.
Ce village de vacances offre une architecture originale qui suit la pente de la colline. Il est idéalement situé au bord du lac, à l’abri des circulations.
Site de l’ancien château des comtes de Salm.
Ce snack est situé dans l’ancienne gare de Vielsalm.
Il est ouvert tous les jours de 6:00 à 14:00 sauf les week-ends.