Le toponyme de cette ville d’environ 15000 habitants, située en rive droite de la Meuse, provient du celtique Divonanto qui signifie "la vallée sacrée".
Une grande randonnée qui traverse pratiquement tout la Famenne mais qu’il est toutefois possible d’effectuer en une ou plusieurs fois selon votre niveau sportif.
Passant par Celles et Chevetogne, il existe plusieurs possibilités de logements ou de ravitaillement sur l’itinéraire.
Des fouilles attestent que l’occupation de la Vallée de la Meuse à cet endroit date déjà du paléolithique, période de la préhistoire où les hommes étaient des chasseurs-cueilleurs.
D’autres traces datent du mésolithique (sédentarisation) et du néolithique (début de l’agriculture).
Cet édifice de style gothique en calcaire de Dinant datant du 13è siècle remplace un édifice de style roman qui s’est écroulé en 1227 suite à un éboulement d’un énorme pan de rocher. Il est typique des modèles importés de Bourgogne.
Le bâtiment est long de 50 m et large de 30. Sa hauteur est de 22 m. Son clocher bulbeux domine la Meuse de plus de 100 m.
Des colonnes cylindriques constituent les grandes arcades de la nef.
Le chœur adossé au rocher est plus petit.
Cette entrée de la ville date du 17è siècle. On l’appelle également la Porte Sibert ou Salmier (ancien bourgmestre). Un chronogramme gravé sur une plaque de marbre noir est millésimé 1637.
Sur le chronogramme, on peut y lire la phrase en latin : « La paix et le salut seront donnés à ceux qui servent la neutralité ».
Pendant la première guerre mondiale, les Allemands ont fait retailler la pierre et redorer les lettres.
Ce hameau est situé à 1 km de la rive droite du Ravin de Sorinne, un affluent de la Meuse.
L’église de cette ancienne commune située à 4 km de la rive droite de la Lesse est un sanctuaire marial.
Ce calvaire de style baroque entre 3 parties, socle, fût et corps, sculpté dans la pierre bleue, date du 17è siècle. Les 2 plaques de bronze située au sommet ont été ajoutées au début du 20è. Il a été restauré en 1909.
L’une des deux plaques de bronze représente le calvaire. La seconde représente un pèlerin agenouillé devant Notre-Dame de Foy. Une petite niche est sertie dans la croix qui le chapeaute.
Ce sanctuaire marial date du 17è siècle. L’église de style baroqie mosan date de 1623. Elle est classée au patrimoine immobilier classé de la Région wallonne et est reconnue par la Commission royale des monuments et des sites depuis 1898.
Ce village se niche dans une boucle du Ruisseau de Conjoux, un sous-affluent de l’Ywoigne, au nord de la sortie Custinne de la E411.
Cette abbaye appelée aussi Monastère de l’Union a été fondée à Amay par Dom Lambert Beauduin. La communauté s’est installée à Chevetogne en 1939. Le monastère a été élevé au rang d’abbaye en 1990.
Le monastère comporte 2 églises : l’église de rite romain dédié au Christ Sauveur, sur les plans des architectes Eric Itschert et Roland Van Eyck et l’église de rite byzantin dédiée à l’Exaltation de la Sainte-Croix.
Ce village de la Famenne se situe sur la rive droite du Vachaux, un affluent de la Lesse. Il est composé de plusieurs fermes en briques datant du 19è siècle.
Abbaye cistercienne fondée au 13è dédiée à Notre-Dame comportant un portail d’entrée (16è), un jardin avec 5 terrasses, une ferme du 17è construite sur les fondations du 13è, une grange, un moulin à e
Abbaye cistercienne fondée au 13è dédiée à Notre-Dame comportant un portail d’entrée (16è), un jardin avec 5 terrasses, une ferme du 17è construite sur les fondations du 13è, une grange, un moulin à eau.
Le mur d’enceinte est du 18è.
Une bière produite par les moines est d’une grande renommée.
1200 L’abbaye est fondée.
1797 L’abbaye est vendue comme bien national sous l’occupation française
1887 L’abbaye est rachetée par les religieux et elle est reconstruite en grande partie.
Cette réserve naturelle a une superficie de 59.14 ha.
Le site est couvert par une végétation calcicole remarquable comprenant une hêtraie, des fourrés thermophiles ainsi que des pelouses sèches fragmentaires.
Ces dernières sont fort riches d’un point de vue floristique (orchidées, notamment), mais elles s’embroussaillent rapidement depuis que le pâturage est abandonné.
La réserve comprend en outre l’ancienne carrière Saint-Remy, où l’on a extrait pendant des siècles le fameux ’marbre’ rouge de Rochefort. En plus de son intérêt géologique et historique, cette carrière inondée est précieuse pour la flore et la faune. Elle abrite notamment une riche population d’amphibiens et de lézard des murailles ainsi que des plantes peu communes telle que la lastrée du calcaire.
Le village est déjà cité en 862 sous le nom de Humnin ou in Humlino.
Selon Maurits Gysseling, il s'agirait d'un nom germanique signifiant houblionnière par contre Carnoy pense plutôt au dérivé germ
Le village est déjà cité en 862 sous le nom de Humnin ou in Humlino.
Selon Maurits Gysseling, il s'agirait d'un nom germanique signifiant houblionnière par contre Carnoy pense plutôt au dérivé germanique Humberth.
Il est entouré du Plateau du Gerny, une plaine fertile dont la toponymie proviendrait de "grenier de la Famenne".
Le village comporte plusieurs fermes datant du 18è et du 19è.
La Ferme des Moines est encore antérieure. Elle date du 17è.
Non loin du village se trouve une station radio-astronomique.
Il s'agit d'un radiotéléscope de l'Observatoire royal de Belgique constitué de 48 paraboles espacées de 20 m qui observe le soleil.
Il a été créé en 1954 par Raymond Coutrez. Grâce à celui-ci, on put observer l'éruption solaire du 9 avril 1956.
On peut y voir également un ancien radar sur rails datant de la seconde guerre mondiale.
Ce château a été construit en 1756 par Charles-Antoine de Rossius, seigneur d’Humain. C’est le siège d’une des quatre pairies (droit pour les nobles) du comté de La Roche.
L’administration communale se situe dans le château du parc Van der Straten depuis 1977. Il avait été acquis par la commune en 1966.
Depuis un oratoire en bois qui existait au 9è siècle, cette église de style gothique de l’école mosane, principalement construite en 1540 a connu moultes péripéties au cours de son histoire, pour finir par une restauration en profondeur en 1935.
La tour occidentale en pierre de taille comporte un portail de style classique, avec une grande porte en bois ornée de peintures. Elle est encadrée de hauts pilastres d’ordre toscan.