Le village situé dans le prolongement nord-est de Vielsalm est traversé par le Ru de Barèchin (ou Neureu). Les habitants sont appelés Les Cawès, gentilé qui est aussi le nom de la salle des fêtes.
Cette balade est la plus classique qu’il et possible de faire à partir d’ici. Elle vous emmène dans le Chêneux, ce grand massif forestier qui s’étend au nord de Ville-du-Bois.
Elle part à la rencontre d’un rescapé des forêts de feuillus qui régnaient au 18è siècle : le Rond-Chêne, où une aire de repos vous attend après une montée bien soutenue.
Ensuite, le profil est nettement plus clément : il se dirige de nouveau vers la lisière méridionale du Chêneux avant d’atteindre les prés attenant à Ville-du-Bois. Ensuite les premières maisons du village s’ensuivent.
Au fond, on croise le Ruisseau de Barèchin qui délimite le quartier du Tneur Ru du reste du village. On y rencontre également à nouveau le Ravel de l’ancienne ligne 147A à son intersection vers Vielsalm à votre droite.
Plus qu’à remonter la rue et à reprendre à gauche afin d’atteindre le point de départ et boucler la boucle !
Le village est divisé en deux par le Ruisseau de Barèchin. Une des deux parties s’appelle le quartier de Tneûr Ru, ce qui signifie le Ruisseau Noir.
Autrefois, le village ne possédait ni église ni chapelle.
Ce n’est que vers la moitié du 18è siècle que les habitants, se jugeant un nombre assez critique avec plus de 300 habitants, et au vu de la qualité médiocre des chemins qui les reliaient à la paroisse de Salm, décidèrent d’y faire ériger une chapelle.
A cette époque, c’est à Ville-du-Bois que le nombre d’habitants de la paroisse était le plus élevé.
Cette croix de chemin en bois verni repose sur un socle en moellons de grès. Il s’agissait d’un passage obligé lors des rogations. Dans le calendrier liturgique, il s’agit des 3 jours précédent immédiatement le jeudi de l’Ascension.
Il s’agit donc des 37è, 38è et 39è jours après Pâques.
Croisement avec le Ravel de l’ancienne ligne 147A, un ancien passage des rogations pour les catholiques fêtant l’Ascension.
Ce toponyme provient du diminutif wallon falihoûle (de falîhe, apparenté au français falaise) et désigne une petite roche.
Ce lieu-dit est situé à la lisière méridionale du massif du Chêneux, sur les hauteurs du Neûreu, à environ 600 m au nord du ruisseau.
Un repère situé au sud du Chêneux, le massif forestier qui s’étend sur les hauteurs de Ville-du-Bois.
Ce chêne pédonculé est un vestige de la forêt du 18è siècle.
Elle disparut quasiment entièrement suite à l’utilisation abusive du bois.
Celui-ci a probablement été épargné parce qu’il constituait un point de repère sur l’ancienne voie qui menait à Stavelot.
C’est au 19è siècle que les autorités communales décidèrent de reboiser, mais cette fois avec des résineux, pour des raisons de rentabilité.
Un très ancien point de repère à ce carrefour forestier à 6 branches, sur les hauteurs septentrionales de Ville-du-Bois et au nord-est de Vielsalm.
Un lieu-dit qui évoque une haie de prunelliers, on dit en wallon : les neûres èspènes.
Toponymie : un pré qui contient des charmes.
L’intersection de la rue principale de Ville-du-Bois avec le Ravel de l’ancienne ligne 147A qui relie Vielsalm à Saint-Vith.
Ce village de vacances offre une architecture originale qui suit la pente de la colline. Il est idéalement situé au bord du lac, à l’abri des circulations.
Site de l’ancien château des comtes de Salm.
Ce snack est situé dans l’ancienne gare de Vielsalm.
Il est ouvert tous les jours de 6:00 à 14:00 sauf les week-ends.