La Clairière de So Bêchefa

Vielsalm

Le village situé dans le prolongement nord-est de Vielsalm est traversé par le Ru de Barèchin (ou Neureu). Les habitants sont appelés Les Cawès, gentilé qui est aussi le nom de la salle des fêtes.

Ce monument aux victimes de la guerre se situe juste devant l’église. Il a été érigé en août 1921.

Le village a suivi l’exemple de Salmchâteau avec Petit-Thier, afin d’honorer les morts pour la patrie. Toutes les sociétés des villages voisins ont participé à la cérémonie ainsi qu’à la cérémonie officielle le lendemain à l’église.

Après la seconde guerre mondiale, Joseph Glaude et Jospeh Wathelet, morts aux combats, sont venus compléter la liste des noms gravés.

Cette église en moellons d’arkose, de style néo-roman, construite en 1892 sur les plans de l’architecte Cupper, remplace une chapelle datant de 1766. Elle a été restaurée en 1958, sur les plans de l’architecte Toussaint.

La tour occidentale comporte un plan carré à 3 niveaux avec triplet au second (il s’agit d’un ensemble de trois baies ou de trois arcs). On peut y voir à gauche un baptistère (la chapelle où se trouvent les fonts baptismaux) et une tourelle d’escalier droit.
La nef centrale possède bas-côtés et est terminée par un chœur à 3 pans.

La messe se donne un samedi soir toutes les 3 semaines. Elle ouvre également les jours de fête.

Ce Christ en croix date du 19è siècle. Il est situé en bordure de rue, apposé sur une ferme en moellons d’arkose datant de 1800.

Cette petite chapelle en briques calcaires a été érigée en 1936 par Constant Gérardy, trésorier, organiste et chanteur de la paroisse. Elle a été rénovée en 2017.

Derrière la grille, l’autel contient une statue de Saint-Donat qui tient en main une épée. A ses côtés, une statuette de Christ et de la Vierge Marie.

Ce village est situé sur les hauteurs de la confluence du Ruisseau de Hermanmont avec la Salm, dans le prolongement sud-est de Vielsalm et en contrebas du Grand Bois.

De nombreuses maisons, ainsi que l’église, ont été construits avec des matériaux locaux, dont beaucoup en schiste noir.
Les carrières toutes proches permettaient un accès aisé aux matériaux de construction.

Cet édifice néo-roman en briques et calcaire a été construit en 1931 sur les plans de l’architecte A. De Deckere.

Cette croix de 1820, en schiste ardoisier, est une invitation à la prière pour les trépassés.

Cet édifice néo-roman en moellons d’arkose et pierre de France date de 1880, à la place d’une chapelle de 1703. Elle est consacrée à Saint-Fiacre, le patron des jardiniers.

Burtonville est un hameau né dans la seconde partie du 16è. Il s’agissait d’un lieu de passage fort fréquenté jusqu’au milieu du 18è, à la croisée de chemins importants (Gouvy - Stavelot et Vielsalm - Saint-Vith)

Burton provient du nom d’un métier : le creuseur de beur (de galeries en wallon), notamment pour l’exploitation du schiste à l’époque.

Burtonville était un village très actif à l’époque, puisqu’on y trouvait une tannerie, un moulin à moudre les écorces de chêne et une fabrique de potasse. Cette activité a été à l’origine d’un déboisement prononcé du Grand Bois, qui était essentiellement composé de hêtres.

La lisière du Grand Bois à Burtonville, proche de l’entrée du jardin sauvage, un arboretum avec des indications sur les essences d’arbres.

Un ancien arboretum qui n’est malheureusement plus entretenu.

Ce chemin relie So Bêchefa au village de Burtonville.

Cette clairière aménagée dans un bois-parc de 130 hectares vous accueille parmi ses 3 barbecues, collectifs ou plus intimes et ses tables de pique-nique, du lever au coucher du soleil.

Ce lieu-dit, évoquant le contrehaut d’un lieu planté de hêtres, est le point de départ d’un parcours vita accessible aux chaises roulantes.

Ce parcours santé à travers ce bois-parc de 130 hectares remarquablement aménagé (panneaux infos, caillebottis...) permet même sur une portion du tracé des exercices pour des personnes en chaise roulante.

A l’origine un lieu planté de hêtres et où les épicéas et autres pins sylvestres dominent à présent.

L’orée du Grand Bois, avec son sentier menant au village de Burtonville.

Une petite croix de chemin forestier en bois.

L’intersection du sentier vers le Grand Bois, à l’extrémité sud-est du village de Burtonville.

A ce lieu-dit situé au sud-est de Burtonville se trouvent un monument de guerre et une table de pique-nique sous abri.

Cette intersection permet de relier Burtonville et Petit-Thier par un chemin forestier, plus ou moins parallèle à la route asphaltée.

L’orée du Grand Bois, du côté du Sart Hennard, le prolongement sud du village de Petit-Thier.

Ce hameau se situe dans le prolongement sud du village de Petit-Thier. Il s’agissait autrefois d’une voie très fréquentée sous l’ancien régime, qui menait à Stavelot et Malmedy.

La jonction entre la Rue du Centre, de Petit-Thier, et la Basserue, au niveau du cimetière du village à l’ouest de ladite jonction.

Un Christ sur croix de bois.

Cette chapelle fut construite en 1958.

Ce sanctuaire existe depuis 1704.
En 1958, l’église a été reconstruite en moellons et calcaire, par l’architecte R. Toussaint.

La tour carrée est juchée d’une tourelle d’escalier, d’une chapelle et d’un baptistère.

Ce village au nord-est de la commune de Vielsalm, lui-même ancienne commune jusqu’en 1977 et situé entre les Ruisseaux de Barèchin et de Hermanmont, est cité pour la première fois en 1575.

La salle des fêtes de Petit-Thier

Cette chapelle datant de 1954 est au croisement du Chemin de Ville-du-Bois et du Chemin de Grand-Halleux.

On peut retrouver cette forme du mot hêtre en wallon, au même titre que "fawe". Cela signifie une petite hêtraie. Ce lieu-dit se situe sur le Ravel de l’ancienne ligne 47A au niveau d’un chemin qui a été nettoyé pour rejoindre Petit-Thier.

Un peu plus au nord-est, toujours à proximité du Ravel mais plus proche de Petit-Thier, près du terrain de football, il existe également le lieu-dit Grande Hesse.

Croisement du Ravel de l’ancienne ligne 47A avec le chemin qui monte vers le Chêneux, massif forestier au nord de Ville-du-Bois.

Cette petite croix en bois au Christ doré est apposée sur un support cruciforme plus imposant, en pierre peinte en vert. Lui-même est posé sur un muret en grès schisteux.

La jonction du Ravel avec le terrain de l’école pour les conducteurs d’engins de chantier, côté est, non loin du parc à conteneurs.

Cette croix de chemin en bois verni repose sur un socle en moellons de grès. Il s’agissait d’un passage obligé lors des rogations. Dans le calendrier liturgique, il s’agit des 3 jours précédent immédiatement le jeudi de l’Ascension.

Il s’agit donc des 37è, 38è et 39è jours après Pâques.