Cette commune de 13 976 ha et d’environ 8 000 habitants culmine à 652 m d’altitude à la Baraque de Fraiture. La ville touristique est située dans la vallée de la Salm, au nord de la Province de Luxembourg.
Ce trek reliant ces deux cités touristiques gravit tout d’abord la vallée de la Salm pour grimper dans le Chêneux.
Une fois arrivé à Mont-le-Soie, le Centre européen du Cheval, la courbe s’aplanit durant un bon bout de temps pour arriver serein à Logbiermé, environ à mi-chemin.
A partir de la Croix de la Belle Femme, l’itinéraire penche de plus en plus pour arriver dans la vallée de l’Amblève dans la belle ville de Stavelot.
Vielsalm et Salmchâteau sont des toponymes formés par la rivière qui les traverse. Mais ils auraient pu s’appeler "Vielglain" ou "Glainchâteau" car autrefois, le véritable nom originel de cette rivière était le Glain. Ce changement d’appelation serait dû à une erreur d’un cartographe de l’époque, lorsque les Comtes de Salm prirent une forte influence dans la région au détriment du Domaine de Glain. Les habitants nichés plus en aval du cours d’eau prirent dès lors cette habitude de l’appeler ainsi.
Le point culminant de la province de Luxembourg se trouve aux confins occidentaux du territoire de Vielsalm à la Baraque de Fraiture, à 652 m d’altitude.
La ville a connu une importante exploitation de l’ardoise, et d’une pierre à aiguiser locale, le coticule, et ce depuis le 16è siècle. Ce dernier, une sorte de schiste, extrait à Vielsalm était d’une finesse exceptionnelle et utilisé pour ses propriétés abrasives, grâce à des cristaux de 5 à 20 microns de diamètre.
Mais les carrières d’extraction sont à présent pratiquement épuisées.
Chaque année, le 21 juillet, a lieu à Vielsalm la Fête des Myrtilles. On peut y déguster de nombreux produits du terroir issus du délicieux fruit des bois (tartes, liqueurs…).
Un défilé carnavalesque avec les macrales (sorcières) y a lieu, ainsi qu’un feu d’artifice sur le Lac des Doyards.
Un très ancien point de repère à ce carrefour forestier à 6 branches, sur les hauteurs septentrionales de Ville-du-Bois et au nord-est de Vielsalm.
Ce chêne pédonculé est un vestige de la forêt du 18è siècle.
Elle disparut quasiment entièrement suite à l’utilisation abusive du bois.
Celui-ci a probablement été épargné parce qu’il constituait un point de repère sur l’ancienne voie qui menait à Stavelot.
C’est au 19è siècle que les autorités communales décidèrent de reboiser, mais cette fois avec des résineux, pour des raisons de rentabilité.
Ce hameau s’apparente à une clairière isolée située en plein milieu d’un vaste massif forestier aux confins orientaux de la commune de Vielsalm. Il est principalement occupé par le Centre européen du Cheval.
Depuis la vallée où coule le Ruisseau de Petit-Thier, un affluent de la Salm, il est atteint depuis une côte bien connue des cyclistes : la Côte de Mont-le-Soie.
Au-dessus de cette côte, on atteint une altitude de 555 m.
Il est située le long d’une ancienne voie romaine.
Ces vastes implantations équestres s’étendant dans une clairière de 17 ha appartiennent à la Région wallonne.
Son conseil d’administration regroupe des représentants de la Province du Luxembourg, de la commune de Vielsalm et de l’Université de Liège.
Ce village en cul-de-sac est situé à la lisière occidentale du massif du Bois de Reuland. Il se situait sur une voie très fréquentée fin du 19è siècle : le Chemin du Luxembourg, jusqu’à l’apparition des voies de communication de la vallée.
Un rallye pédestre de 8 km environ y est organisé chaque année depuis 2004. Il est organisé par les Demi-Saisis.
Cette abbaye a été reconvertie en 3 musées : Le Musée de la principauté de Stavelot-Malmedy, le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps et le Musée Guillaume Apollinaire.
Cette abbaye, acquise par la Région wallonne en 1995, a été entièrement rénovée.
Le monastère primitif fut fondé en 651 par Saint-Remacle, un moine bénédictin originaire de Solignac dans le Limousin, en plein cœur de la France, 3 ans à peine après celui de Malmedy.