Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
Le prince-évêque Henri de Gueldre fait ériger une forteresse pour tenir les Liégeois en respect.
La forteresse est prise par les Liégeois.
Guy de Cannes, mambour de la principauté, projette la reconstruction de la citadelle.
Le prince-évêque Maximilien-Henri de Bavière reçoit de l’empereur l’autorisation de construire une forteresse. Des ingénieurs allemands sont appelés pour la construction. Les remparts sont formés de terre avec 4 pointes : Notre-Dame, Saint-Lambert, Ferdin
La première citadelle en dur est construite.
La construction de la citadelle de forme pentagonale est terminée. Elle comporte des bastions à chaque angle et des demi-lunes. Les remparts côté campagne sont bordés de fossés des Anglais au Six-Cents-Degrés.
La citadelle est entièrement intégrée à l’in
Les Français prennent la citadelle.
Les Français démolissent la citadelle par crainte qu’elle ne tombe aux mains de leurs ennemis. Les bastions, les demi-lunes et une partie des anciens remparts sont minés.
Le prince-évêque Maximilien-Henri de Bavière fait reconstruire la citadelle.
La citadelle est démolie, conformément au traité de Versailles, qui garantit la neutralité liégeoise.
Les troupes françaises commandées par le maréchal de Boufflers bombardent Liège depuis la Chartreuse dans le cadre de la guerre de la Ligue d’Augsbourg (1686-1697).
Le général hollandais Menno van Coehoorn s’installe à Liège pour organiser sa défense. Il fait établir des tranchées successives protégées par des talus palissadés en rive gauche de Meuse. Un front de lignes s’étend de Tilleur à Saint-Gilles et un autre d
Vauban projette de remettre la citadelle en état et en charge l’ingénieur Jacques de la Combe, lors du début de la guerre de Succession d’Espagne.
L’ingénieur Filley décrit dans un rapport l’état de la citadelle comme lamentable. Vauban vient à Liège pour tenter de convaincre le prince-évêque de prendre en charge le coût énorme estimé des travaux.
La citadelle est assiégée par les alliés et la reprennent aux Français.
L’attaque se fait depuis le Haut-des-Tawes où van Coehoorn a installé son artillerie (à l’emplacement de l’actuel terril de Batterie).
La chapelle Sainte-Balbine, de la porte Sainte-Walburge et du bastion du Clergé disparaissent pour mener à bien la reconstruction.
La citadelle est déclassée en tant que forteresse, ainsi que le fort de la Chartreuse. Les progrès de l’artillerie ont nécessité la construction d’une ceinture de douze forts entourant Liège. Dès lors, la citadelle devient une simple caserne dépouillée de
Le 12è de Ligne s’installe à la citadelle.