Au cœur de la vallée du Wayai, un affluent de la Hoëgne et entouré de bois de toutes parts, Spa est une petite ville très dynamique et touristique d’un peu plus de 10000 habitants.
Spa évoque directement une petite ville thermale, pétillante (!) et bourgeoise, sertie dans un bel et vaste écrin forestier. La perle des Ardennes comme on l’appelle parfois, à juste titre.
Déjà Pline l’Ancien, du temps des romains, avait vanté les vertus de ses eaux ferrugineuses. Mais le développement primitif de la ville a débuté par une autre industrie dès 1335 : celle du fer. Le ban de Spa, comprenant l’entité de Spa et l’entité de Creppe, regorgeait de ce minerais qui fut exploité durant une bonne partie des Temps modernes. Les forges y étaient nombreuses au 16è siècle. On retrouve encore parmi les lieux-dits des appellations qui évoquent ce riche passé minier : Marteau, Bois des Minières, l’Eau Rouge (Winamplanche).
L’exploitation commerciale des eaux prit son essor au 16è siècle en commençant par l’embouteillage et l’exportation vers la France en 1583, puis en 1700 vers l’Amérique.
Les curistes, appelés également les bobelins y affluèrent.
Spa acquit dès lors une renommée internationale et vit venir à elle l’élite de l’époque. Parmi les grands noms figure le Tsar Pierre-le-Grand qui donna son nom au fameux pouhon. Il y séjourna en 1717.
La Redoute, l’un des premiers casinos au monde y fut ouvert dès 1762, à l’initiative des co-bourgmestres Gérard de Leau et Lambert Xhrouet.
L’empereur du Saint-Empire romain germanique Joseph II la visita en 1781, la surnommant : le Café de l’Europe.
On peut encore y compter la reine Margot, Christine de Suède et des artistes tels que Victor Hugo, Jean-François Marmontel, Casanova ou Alexandre Dumas Père.
Un épisode douloureux a néanmoins marqué l’an 1807 où les 2/3 de la ville furent détruits par un incendie.
Devenue très mondaine, les premiers bains furent ouverts en 1827.
Le seconde reine des belges, Marie-Henriette y mourut en 1902. Une source porte par ailleurs encore son nom.
Le Kaiser Guillaume II y installa son état major durant la première guerre mondiale et abdiqua en 1918.
Fort de son développement thermal, Spa Monopole fut fondé en 1921, en même temps que le célèbre circuit de Spa-Francorchamps.
L’art n’est pas en reste avec en 1959, la création du Festival du Théâtre et en 1964, le Festival de la Chanson Française (jusqu’en 1983). Sans oublier le dernier bébé datant de 1994 : les Francofolies !
Le thermalisme est toujours d’actualité, avec récemment la construction des Thermes de Spa, sur la Colline d’Annette et Lubin, accessible par un funiculaire depuis le magnifique Parc de 7 heures.
Ce petit abri muni d’un banc de repos est situé près du Pouhon Pia, une source d’eau ferrugineuse le long du Ruisseau du Pendu.
Ce chêne, placé juste derrière le Monument aux morts de Spa, a été planté le 22 novembre 1919. Il symbolise les aspirations et l'état d'esprit de la population à la fin de la première guerre mondiale.
Cette imposante cascade artificielle, surmontée d’une balustrade ornée de dauphins et d’angelots, fut construite en 1862.
On y adjoint une liste des personnages importants qui fréquentèrent Spa, de part et d’autre de la fontaine centrale, en 1896.
L’ouverture du casino remonte à 1908.
Il fut bâti sur les fondations d’une maison de jeux plus ancienne appelée La Redoute, qui elle, remonte à 1762 et considérée comme l’une des premières au monde.
Actuellement géré par le Centre culturel de Spa, il en abrite également le théâtre appelé le "Petit Théâtre Jacques Huisman", hommage au fondateur du Festival de Théâtre de Spa.
Une maison de jeux appelée La Redoute est bâtie à cet emplacement. Elle est considérée comme l’une des premières au monde. Il s’y déroule de nombreuses festivités. C’est un centre culturel et touristique majeur de la ville.
Le casino est ouvert.
Il est détruit par un incendie.
Le casino est reconstruit.
Ce château de style anglo-normand datant de 1912 a été conçu par l’architecte Charles Castermans et par l’entrepreneur Viatour au sommet du terrain abrupt d’une dizaine d’hectares surplombant le Lac de Warfaaz.
Ce château de style néo-classique a été construit sur les plans de l’architecte Charles Étienne Soubre (1846 – 1915).
Ce château qui date de 1908 est actuellement occupé par le CERAN (un centre de formations linguistiques).
Ce château fut construit pour le Bruxellois Julien Félix Smets vers 1869. Il fut acquis en 1871 par Ernest Gambart, un riche négociant d’art anglais d’origine courtraisienne.
Cimetière remarquable classé.
Il contient les tombes de nombreux curistes morts à Spa. Il est disposé en terrasses par le truchement d’allées de caveaux hors-sols de très belle qualité.
Cet édifice de style roman-rhénan (école de Cologne) fut inauguré le 2 octobre 1886.
Les 3 nefs sont précédées de deux tours carrées surmontées de flèches octogonales.
Une lanterne à huit pans, coiffée d’une flèche, couronnent la croisée du transept.
Le chœur et les chapelles latérales se terminent par une abside semi-circulaire.
4 tourelles circulaires ornent les angles formés par le transept et les deux nefs latérales.
2 tympans surmontent le portail central sont ornés de hauts-reliefs représentant respectivement le Christ et la Vierge entourés d’anges. Ceux des portes latérales s’inspirent des récits de St-Remacle et de St-Hubert.
L’aménagement intérieur est dû au successeur d’Eugène Carpentier, l’architecte C. Sonneville originaire lui aussi de Beloeil.
La statue en bois de Saint-Remacle date du 16è.
Composition, esthétique sonore et principes de construction, s’inspirent de l’oeuvre de G. Silbermann. Cette réalisation artistique de haut niveau est assurée par la Manufacture d’Orgues Thomas à Francorchamps.
Un premier édifice religieux est bâti à cet endroit.
Spa est érigée en paroisse, en même temps que celle de Jalhay.
Un nouvel édifice remplace le premier.
L’Eglise actuelle est élevée sur l’emplacement des édifices antérieurs.
L’église est inaugurée et consacrée par Monseigneur Doutreloux, Evêque de Liège.
L’église reçoit de nouvelles orgues.
Ce bâtiment historique fut conçu par l’architecte Léon Suys en 1868.
Ce dernier fut également l’architecte de la Bourse de Bruxelles.
Il est resté fonctionnel jusqu’en 2004.
Il a été remplacé par les nouvelles Thermes de Spa, situées sur la Colline d’Annette et Lubin.
Un projet de restauration en hôtel de luxe est actuellement en voie de concrétisation.
La croyance populaire voulait que cette fontaine ait des propriétés thérapeutiques oculaires.
Ce funiculaire fut inauguré en 2004.
Il mène du Parc de 7 Heures aux nouveaux Thermes de Spa.
Ce vaste bâtiment se prolonge dans une bonne partie du Parc de 7 Heures, sur une longueur de 130 m.
Elle comporte un promenoir couvert dont la toiture repose sur plus de 100 petites colonnes en fonte
A chaque extrémité figurent deux pavillons aux toits bombés en zinc.
L’un des pavillons est dédié aux Petits Jeux, notamment, un petit terrain de pétanque.
Il a été classé par arrêté royal du 13 janvier 1977. Il fait partie du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.
Il fut bâti à la même époque que le recouvrement du Wayai dans le Parc de 7 Heures, en 1878.
Il s’y déroule tous les dimanches une brocante de 8:00 à 13:00, fréquentée par plus de 2000 visiteurs.
Spa est devenu un simple point d’arrêt sur la ligne 44.
L’ancien bâtiment date de 1863.
Gare terminus de la ligne 44 qui relie Pepinster à Spa-Géronstère.
Ce bâtiment de style Régence a été construit entre 1762 et 1768 par l’architecte Barthélemy Digneffe.
Au 18ème siècle, il devint le Grand Hôtel. Il accueillait les notables curistes venus prendre les eaux.
En 1822, il devint la propriété de John Cockerill qui le transforme en manufacture de cardes et broches.
Sa vocation d’hôtel de ville date de 1941.
Actuellement, il abrite toujours les service administratifs de la Commune de Spa.
Atelier de fabrication d’ouvrages en Bois de Spa.
Ce mini-golf est situé au pied de la colline d’Annette et Lubin, dans le Parc des 7 Heures.
Ce monument est l'œuvre de l'architecte Flagothier et du sculpteur Thys.
Il a été inauguré en 1921.
Ce monument a été offert par le Major C.E. Radcliffe, nommé Bourgeois de Spa en 1925.
Monument offert par la Duchesse d’Orléans en remerciement aux bienfaits des eaux.
Ce monument fut élevé en 1932 à la mémoire du Maréchal Foch, habitué à fréquenter la ville de Spa après la première guerre mondiale, notamment en 1919 lors des commissions d'Armistice ou en 1920, lors
Ce monument fut élevé en 1932 à la mémoire du Maréchal Foch, habitué à fréquenter la ville de Spa après la première guerre mondiale, notamment en 1919 lors des commissions d'Armistice ou en 1920, lors de la Conférence de Spa.
Il est l'œuvre du sculpteur de Zoete et fut inauguré en présence de sa femme.
Cette stèle apposée sur une pierre est à la mémoire d’Eugène Gridelet, chauffeur mécanicien et résistant, fusillé par les soldats allemands à la Citadelle de Liège le 19 décembre 1943.
Ce monument a été érigé en l’honneur du compositieur venu chercher l’inspiration à Spa entre 1829 et 1860. Il est né en 1791 et décédé en 1864.
Ce monument fut érigé en 1900 par la société Spa-Attractions. Il s’agit d’un hommage aux créateurs des promenades de la ville de Spa.
25 petites salles évoquent l’évolution des techniques de blanchissage du linge de l’Antiquité, en passant par la grande buée du Moyen-Age (qui durait une semaine), à nos jours.
On y trouve des anciennes machines à laver en état de marche, la reconstitution d’un lavoir, les méthodes de repassage, l’histoire du savon, des animations pour les enfants.
Ce musée consacré au cheval et à tout ce qui l’entoure a été fondé par un passionné d’équitation : Monsieur Henri-Jaspar. Il eut l’idée de le créer dans les écuries que la reine avait fait construire à l’arrière de sa demeure.
Il a été inauguré en 1987.
Il est ouvert uniquement le 2è week-end du mois.
Le prix du ticket individuel s’élève à 5 € pour les adultes, 4 € pour les seniors et 13 à 26 ans, 1 € pour les 7 à 12 ans, gratuit pour les enfants de 0 à 6 ans.
Le musée est gratuit chaque 1er dimanche du mois.
On peut y découvrir une impressionnante collection de selles, de mors, d’étriers, mais aussi des colliers d’épaules, utilisés pour le labeur des chevaux dans les champs, les bois et les mines.
Une iconographie présente les chevaux de trait ardennais au travail.
Une autre salle présente des attelages, un traîneau et une pompe antique à incendie hippomobile.
L’aspect militaire n’est pas oublié non plus avec des uniformes et des cavaliers, des fanions ou encore des insignes.
La reconstitution d’un atelier avec foyer, hotte, soufflet, enclume, fers, tenailles et marteaux rappelle l’important travail du maréchal-ferrant.
Le mondes des courses et des hippodromes est évoqué par une balance à jockey.
Les transports par la malle-poste et par les taxis attelés de Spa, sont également racontés.
Le Musée du Cheval présente un important intérêt éducatif, on peut non seulement y recevoir une leçon sur l’histoire de l’énergie, des transports, des loisirs mais aussi y réfléchir sur la question morale du respect dû à l’animal.
Ce musée présente les "Jolités de Spa", une collection permanente des bois de Spa et les eaux minérales de Spa.
Les musées seront ouverts tous les jours de 13 h à 17 h, excepté les 1er et 2 janvier et les 24, 25, 26 décembre 2023.
Le prix du ticket individuel s’élève à 5 € pour les adultes, 4 € pour les seniors et 13 à 26 ans, 1 € pour les 7 à 12 ans, gratuit pour les enfants de 0 à 6 ans.
Le musée est gratuit chaque 1er dimanche du mois.
Ce parc public de promenade a été aménagé en 1758. Auparavent, on l’appelait déjà la Prairie de 7 heures ou Promenade de 7 heures.
Cette appellation est due au fait que les curistes de Spa (ou bobelins) venaient s’y promener en fin de journée pour digérer leur eau consommée abondement !
Ce parc abrita autrefois un château (construit au 19è siècle) qui appartenait au comte Albéric du Chastel de la Horwarderie et à la baronne de Vinck de Wesel. On y adjoint même un zoo en 1951. Puis le domaine fut vendu à la commune.
Il possède un superbe plan d’eau qui fut creusé au 12è siècle qui compte une île centrale en son milieu.
Le château tombé en ruine a dû être rasé en 1990. Toutefois, le parc fut débroussaillé et restauré en 1993. Une équipe dirigée par Patrick Leveau y replanta la bagatelle de 2300 plants de charme, construisit une cascade d’eau de 70 m, restaura les passerelles en fer forgé, les kiosques et les grilles, sema une pelouse sur plus de un hectare et aménagea une aire de jeux pour les enfants, afin de reconstituer le parc romantique à l’atmosphère du début du 20è siècle.
Les écoles d’horticulture de Liège et de La Reid y ont planté non moins de 480000 fleurs.
Dans la Heid Fanard, au nord de la ville, ce parcours bien aménagé et dans un très beau cadre boisé, long de 4 km, propose 20 exercices sportifs variés.
Un abri situé sur les hauteurs de l’Avenue Reine Astrid.
Ce monument-fontaine date de la fin du 19è. Il est le symbole des libertés des villes et villages de la Principauté de Liège.
Ce symbole existait déjà auparavant dans la Rue du Marché mais fut démoli dans les années 1870 pour faire place au Pouhon Pierre-le-Grand.
Une table de pique-nique en retrait de la Route de Balmoral, dans les bois de Spa.
Cette table de pique-nique se situe au sommet du cimetière de Spa. Point de départ possible de nombreuses balades, un parking est accessible à environ 150 m.
Pratique de la luge, du ski de fond et du ski alpin.
Cette source est située à quelques mètres de la source de la Sauvenière. Les propriétés de ses eaux sont légèrement différentes de celles de cette dernière.
Le baron Paul Jean de Groesbeek, archidiacre du Condroz fait construire une petite structure pour protéger la source qui prend son nom.
À cause d’un tremblement de terre, la source de la Sauvenière est presque tarie au profit de la source Groesbeek mais elle est récupérée après quelques travaux.
Le monument est restauré à l’initiative du marquis Alix-Louis Maréchal de Croix. Cette restauration est réalisée par l’artiste peintre allemand Mauritius-Heinrich Löder.
L’office du Tourisme de Spa remplace le chapiteau qui s’est effondré.
Le monument est restauré et de nouvelles moulures sont sculptées par M. Lejuste de Spa.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est située à 410 m d’altitude.
Au cours du 7è siècle, cette source est déjà connue et la légende veut qu’elle ait été découverte par Saint Remacle. La présumée empreinte de la sandale du saint figure toujours dans une pierre près de la source. Selon la croyance, des propriétés concernant la fertilité sont attribuées à la source en buvant l’eau et en plaçant le pied dans l’empreinte de la sandale.
Le baron de Groesbeek construit une petite structure pour protéger la deuxième source à cet endroit, la source Groesbeek.
À cause d’un tremblement de terre, la source de la Sauvenière est presque tarie au profit de la source Groesbeek mais elle est récupérée après quelques travaux.
La fontaine est reprise sur la liste du patrimoine immobilier classé de Spa.
Ce pouhon situé à 444 m, dont l’eau ferrugineuse a un goût acide avec une odeur de souffre. Il est cité pour la première fois en 1559.
Son nom aurait comme origine celui d’une personne ou d’une famille, Jacques del Court.
Ce vaste édifice au toit en forme de coupole abrite la plus célèbre des sources de la ville. Cette source a été visitée par le Tsar Pierre-le-Grand en 1717.
Le Tsar était particulièrement satisfait des bienfaits apportés par l’eau de cette source. C’est en hommage à sa visite que le nom de l’empereur est donné au pouhon en 1820.
Un pouhon (nom d’origine wallonne), désigne les eaux de sources naturellement ferrugineuses et gazeuses.
Le Pouhon est orné du "Livre d’or", une fresque gigantesque reprenant les célèbres hôtes qui firent la réputation des eaux de Spa. D’Offenbach à Léopold II, en passant par Benjamin Constant, les grands noms de l’Histoire sont tous venus boire à cette source salvatrice.
Le Tsar Pierre-le-Grand visite Spa. Celui-ci est particulièrement satisfait des bienfaits apportés par l’eau de cette source.
Le nom de l’empereur est donné au pouhon en hommage à sa visite.
Ce pouhon, élevé à la fin du 19è, est composé de métal et de verre.
La pyramide en verre a été ajoutée en 1988 par l’architecte spadois Marcel Geenen.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est mentionnée pour la première fois sous le nom de "Barisair" en 1438. Des bassins furent très tôt adjoints à la source.
La source est complètement abandonnée.
La source est réhabilitée et dotée d’un pavillon qui sert d’auberge.
Un petit affluent du Wayai d’une longueur d’un peu plus d’un kilomètre, qui prend sa source dans le Bois de Chincul (massif du Staneux) et qui se jette dans celui-ci un peu en aval de Marteau.
Il s’agit de 8 parcours d’accrobranche pour les familles. Egalement un free Jump de 15 m de haut, VTT, trottinettes électriques, marche nordique, course d’orientation, chasse au trésor, laser tag nouvelle génération, atelier de survie...
Détente aquatique complète au sommet de la Colline d’Annette et Lubin qui surplombe la ville de Spa.
C’est au sommet de la Colline d’Annette et Lubin qui surplombe la ville de Spa que se trouvent les Thermes de Spa.
Inaugurées en 1868, les Thermes de Spa s’imposent très vite dans le cœur de tous les adeptes de cure thermale qui peuvent profiter de la pureté et les propriétés curatives des sources ferrugineuses de Spa.
Régulièrement rénovées et renouvelées au fil du temps, les Thermes de Spa sont aujourd’hui un complexe des plus modernes et à même de vous offrir le calme et la sérénité que vous souhaitez.
Bassins intérieurs et extérieurs se déploient ainsi sur 800 mètres carrés avec des bains bouillonnants, des cloches d’eau, une piscine intérieure, des jeux d’eau hydromassants, des geysers, des sièges à bulles, des canapés bouillonnants ou encore des canons d’eau.
Vue panormaique sur le parc des Thermes.
Espace Forme et Relaxation avec saunas panoramiques, hammams, centre de lumière Wood.
Le centre de bien-être et beauté propose toute une série de soins et de cures que vous pourrez réserver moyennant supplément.
Ce bâtiment prestigieux de style classique abrite 2 musées communaux : le Musée spadois du Cheval et le Musée de la Ville d’Eaux.
Il est composé de 3 corps de logis en briques peintes.
Elle fut nommée "Villa royale" parce qu’elle appartint à la reine Marie-Henriette, épouse de Léopold II. Elle était une cavalière émérite et y possédaient ses propres écuries.
Elle est dotée d’un magnifique jardin anglais (particulièrement en été, grâce aux soins des jardiniers communaux) qui s’étend derrière la villa.
Il comporte une cour d’honneur, une chapelle et des écuries.
Construction de cette bâtisse. Elle servit d’abord d’hôtel : l’Hôtel du Midi.
Elle est acquise par le couple royal en septembre et elle accueille le séjour prolongé de la reine jusqu’en 1902, date de sa disparition.
La Villa devient un hôpital de l’armée allemande. Ensuite elle sert de home pour les coloniaux en séjour en Belgique.
Elle sert de cantonnement des troupes de la 1ère Armée américaine.
Elle est achetée par la commune de Spa.
Inauguration du Musée de la Ville d’Eau.
Le Musée du Cheval est inauguré.
Cette bâtisse remarquable aux tons rosés s’inspire directement du plan symétrique des "Maisons de Plaisance" du 18è siècle. Il s’agit d’une ancienne maison de jeux et d’assemblées.
Ce lieu de divertissement construit en différentes phases à partir de 1769 pour concurrencer la Redoute, il est l’œuvre de l’architecte liégeois Jacques-Barthélemy Renoz, du stucateur Antoine-Pierre Franck et du peintre Henri Deprez. Cet élégant édifice constitue un des fleurons de l’architecture civile néoclassique de l’ancienne principauté de Liège, et est un des derniers témoins de l’âge d’or de Spa encore debout, ainsi qu’une des plus anciennes salles de jeux européennes.
Source : wauxhall.be
La bâtisse est construite, oeuvre conjointe de l’architecte RENOOZ, du sculpteur et stucateur FRANCK et du peintre DEPREZ. Maison d’assemblée et de jeux, lieu de rendez-vous mondain des aristocrates et des têtes couronnées européennes.
Les jeux de hasard sont abolis. Le Waux-Hall se transforme en hôpital militaire.
Le Waux-Hall est rétabli quelques temps dans sa fonction première. Il sert ensuite successivement de lieu d’exposition et de bibliothèque.
Ecole primaire et orphelinat.
Le Musée de la Ville s’y installe jusque 1965.
La restauration du bâtmient débute par le renouvellement complet de la couverture.
Les travaux de consolidation et de restauration des plafonds peints et stucs débutent.
Hôtel, feu de bois avec vue sur le Lac de Warfaaz et la colline de Balmoral.
Hôtel, feu de bois avec vue sur le Lac de Warfaaz et la colline de Balmoral.
Parc de vacances à l’orée d’une forêt de 1300 ha.
Hôtel dans une villa de 1903.
Il se compose de chambres spacieuses, d’un salon avec feu ouvert, d’un parc arboré, d’une piscine.
Le petit-déjeuner est compris dans le prix de la chambre.
Hôtel situé au bord du Lac de Warfaaz.
Le bâtiment, construit en même temps que le nouveau centre thermal sur la colline d’Annette et Lubin en 2004, remplace un bâtiment plus ancien dénommé "Les Heures Claires", qui datait de 1950.
Cette maison remarquable a été construite en 1905.