Cette ancienne commune s’étend depuis Grupont qui le jouxte, au sud-ouest de la rive gauche de la Lhomme.
Début de combats d’envergure, entre troupes britanniques et allemandes lors de la Bataille des Ardennes.
Bure est rattaché à Tellin, dans le cadre de la fusion des communes. Il dépend donc dès lors de l’administration de l’arrondissement de Dinant.
Un projet éolien consistant dans le placement de 8 éoliennes d’une hauteur de 150 m sur la colline est combattu par les habitants des villages avoisinants. Ils obtiennent finalement gain de cause.
Cette petite chapelle en moellons de calcaire au coin d’une ruelle, contient une grande statue de la Vierge Marie, protégée par une grille.
Cette chapelle a été construite en 1849 par la famille Anciaux. La Salette est un village proche de Grenoble où la Vierge serait apparue à deux bergers.
La chapelle est construite par la famille Anciaux.
Mademoiselle Marie-Joseph Anciaux lègue à la fabrique d’église, sa quote-part de la chapelle ainsi que le terrain qui l’entour, avec un enclos situé à la Haie.
Mademoiselle Antoinette Anciaux, la sœur de Marie-Joseph, décède à son tour et lègue elle aussi sa quote-part à la fabrique d’église.
Cet oratoire dédié à la Vierge date du 18è siècle.
Le chemin qui y mène est jalonné de tilleuls et d’édicules évoquant les 7 douleurs de la Vierge.
Cette école secondaire a été fondée en 1900 par des Pères Assomptionnistes. Les Burois l’appellent "Le Château".
L’établissement d’enseignement secondaire est fondé par les Pères Assomptionnistes.
Suite à la première guerre mondiale, le collège ferme ses portes, faute de moyens.
Le collège ouvre de nouveau ses portes. Les élèves et les pères assomptionnistes doivent mendier le dimanche dans les villages voisins pour leur permettre de manger. L’établissement s’appelle "L’alumnat de Bure".
Le collège s’appelle "L’Institut Marie-Médiatrice". Le père Liguori visite des familles belges de bienfaiteurs pour demander de l’aide financière pour la communauté. Ses confrères l’appelaient d’ailleurs le père mendiant.
Cette croix est située au début du calvaire de la Gloriette qui mène à la Chapelle Notre-Dame d’Haurt.
Ce monument a été élevé à la mémoire des paras belges SAS morts le 31 décembre en mission de reconnaissance et de protection des flancs de la 6th Airborne.
Cette église de style classique en moellons de grès et calcaire a été classée en tant que monument historique en 1948.
Le chemin de croix en dinanderie a été réalisé par Jijé alias Joseph Gillain, le célèbre dessinateur de bandes dessinées.
La mononef de 3 travées est terminée par un chœur plat à 3 pans.
Son chemin de croix est en laiton repoussé. Il a été réalisé par le dessinateur en 1938. Il mène à la chapelle Notre-Dame d’Haurt.
A l’intérieur, de nombreux éléments datent du 18è siècle : le maître-autel et autels latéraux, les stalles avec miséricordes sculptées, la chaire et le confessionnal.
Les fonts baptismaux sont quant à eux nettement plus anciens, dont un date du 12è siècle.
Les statues de Sainte-Barbe et de Saint-Lambert datent du 17è siècle. Quant au Christ classé, il est du 16è siècle.
Le Domaine de Bure est donné par l’Evêque de Liège, Waltcaud, à l’abbaye de Saint-Hubert.
Il est fait mention d’une paroisse appartenant à l’évêché de Liège à Bure.
L’église est reconstruite par Célestion de Jonghe, abbé de Saint-Hubert.
Cette petite place pavée fleurie date de 1990. Elle comporte une stèle en hommage au Président fondateur de "Bure, village fleuri" Luc Lamote (1958 - 2002).
Ce jardin est situé en bordure de la Réserve naturelle de Lorinchamps créé par Jacques GOFFIN (24/4/1934 - 15/6/2002) en collaboration avec le Centre Régional d’Initiation à l’Environnement (CRIE) du Fourneau Saint-Michel.
Stèle dédiée aux victimes civiles et militaires durant la bataille de Bure en janvier 1945.
Cette table de pique-nique est située juste à côté de la chapelle, au sommet du chemin de croix.
Cette table de pique-nique se situé sur le chemin de croix qui mène à la chapelle d’Haurt, au niveau des terrains de football.
Un point de vue vers Bure, situé à 350 m d’altitude.
Cette réserve naturelle d’une superficie de 2 ha 88, située en Calestienne, une vaste région calcaire qui s’étend depuis la Fagne-Famenne jusqu’aux confins orientaux de Durbuy.
Réserve naturelle d’une superficie de 2 ha 88, située en Calestienne, partie calcaire qui constitue le sud de la Fagne-Famenne.
La région est riche en phénomènes karstiques (grottes, dollines, résurgences...) grâce à la perméabilité de la roche calcaire qui peut être dissoute lentement par l’eau.