Cette chapelle en schiste du début du 17è siècle se situait près d’un ermitage. Elle abritait la statue de Sainte-Marguerite et de Notre-Dame mais elles furent dérobées en 1973.
Sa construction est dûe au prévôt de Laroche Georges de Waha-Baillonville.
Elle contient un autel en maçonnerie dans lequel est inséré un portillon mouluré dans son encadrement, avec pentures datant du 17è siècle. On y trouve également une statue de Sainte-Marguerite en bois polychrome datant de la même époque.
Son clocheton est muni à son sommet d’une croix en fer forgé.
Une légende narre qu’elle est construite sur une source et que celle-ci alimentait la citerne d’eau du Château féodal de La Roche, citerne que s’y trouve toujours à l’heure actuelle.
Sainte-Marguerite est invoquée par les femmes enceintes pour que l’accouchement se passe au mieux.
On peut y lire ce texte, inscrit sur une pierre :
Souviens-toi
Seigneur,
Ne te souviens pas seulement
des hommes de bonne volonté
mais également
des hommes de mauvaise volonté.
Ne te souviens pas
de leurs multiples violences
mais des fruits que nous avons portés.
Souviens-toi du courage
qu’ils ont réveillé en nous
pour ta plus grande gloire
et le bonheur de l’humanité.
Cette prière a été trouvée dans un camp de la mort.
La chapelle est construite par le prévôt de Laroche Georges de Waha-Baillonville.
La chapelle est consacrée.
Accusé de complicité de vol, une sentence rendue par L’Evêque de Liège bannit l’ermite Robert Andry pour 2 ans.
La chapelle est restaurée par l’architecte P. Laurens.
Cette chapelle rustique en moellons de grès et toit d’ardoises se situe en bout de haie d’un jardin. Son intérieur est blanchi.
Cette chapelle en blocs de béton blanchis est encadrée de deux conifères.
Une chapelle en moellons de grès et calcaire.
Ce très large caveau date de la seconde moitié du 20è siècle. Malgré l’absence de lien familial, il est décoré d’un blason comprenant des éléments du blason de Roumont et des éléments plus proches du blason du notaire Mathias Halleux.
Sous des arbres remarquables, cette chapelle carrée en moellons de schiste a été construite en 1831 par Félix Maréchal-Gillet. Elle est surmontée d’un clocheton carré et d’une croix en fer forgé.
Une chapelle en schiste à une nef terminée par un chevet à 3 pans sans ouverture. La toiture est en ardoises avec un clocheton carré et une croix en fer forgé.
Cette chapelle ouverte carrée, en schiste et grès, est couverte d’un toit en ardoises. Elle est surmontée d’une croix en fer forgé.
Chapelle rebâtie au 19è et enclavée entre deux bâtisses. Elle jouxte le Musée de la Bataille des Ardennes.
Cette chapelle attenante à l’hospice Jamotte (fondé en 1840) a été construite en 1964 à la place d’une autre chapelle détruite durant la seconde guerre mondiale. Elle avait été elle-même rebâtie en 1832 sur base de l’originale de 1697.
Cette grotte était déjà citée en 1943.
Divers commerces sont réunis dans cette bâtisse datée de 1876-1877 et qui était à l’époque une école.
Nombreuses statues placées dans la façade et le pignon de cet immeuble en coin.
Cette rotonde en bois offre, depuis la Montagne du Deister, un point de vue extraordinaire sur La Roche (ville et château) et sur la Vallée de l’Ourthe depuis ce parc rocailleux s’échelonnant sur les hauteurs nord-est de la ville.
Cette chapelle ouverte carrée, en schiste et grès, est couverte d’un toit en ardoises. Elle est surmontée d’une croix en fer forgé.
Chapelle rebâtie au 19è et enclavée entre deux bâtisses. Elle jouxte le Musée de la Bataille des Ardennes.
Les ruines d’une forteresse imposante dont la structure médiévale est bien conservée, construite sur une arête rocheuse d’une boucle de l’Ourthe. L’une des tours (Tour des Sarrasins) daterait de l’époque romaine.
Cette église de style néo-gothique a été construite en 1900.
Elle fut endommagée en 1945 mais remise en état. Rare que pour être souligné : un fond musical accompagne en permanence.
Il s’agit de l’horloge de la ville qui date d’octobre 1560. Suite à un incendie en 1704, elle a été transportée vers le château où elle a fonctionné jusqu’à 1900. Elle a été retrouvée lors de fouilles en 1996 puis remise en état de mar
Un témoignage de la bataille des Ardennes qui, en décembre 1944, a détruit à 90 % la ville de La Roche.
Ce petit parc remarquablement aménagé avec des oeuvres artistiques originales en matériaux naturels mérite le détour.
Cette passerelle piétonne relie l’Avenue de Villez (N860 vers Houffalize) au Parc de Rompré.
Point de vue sur le village de Cielle, situé sur les hauteurs septentrionales de La Roche. Il est situé à une altitude de 290 m.