Ce château de 1913 appartient à M. Bokiau René, industriel, résidant à Bruxelles. Il serti dans un domaine boisé de 600 hectares. On l’appelle également Château des Fagnes.
Ce château offre un espace de retraite ou de séminaires dans un cadre idyllique, dans l’Esprit de Don Bosco.
Il se compose de pavillons de 44 et 38 places, de chambres d’hôte, d’un gîte de 40 places. Son parc est à présent ouvert au public.
Cet imposant complexe de bâtiments a été érigé sur les restes d’une fortification de Guillaume de Froidcour, sur une terrasse dominant la vallée de l’Amblève.
Donjon et tourelles de guets.
A la jonction de Ville-du-Bois et de Vielsalm, cet ensemble de bâtiments crépis et blanchis, en majeure partie du 19è, à l’usage de la chasse à courre et de la famille Grat d’Affignies depuis 1854.
Une gentilhommière du 19è siècle en briques et calcaire.
Le château du 17è est issu d’une construction médiévale avec tour habitable et s’est développé en un château baroque.
Le vaste quadrilatère est formé par les bâtiments autour de la cour pavée.
Il appartient à la famille von Frühbuss.
Ce château a été reconverti en gîte d’étape (Kaleo).
Ce château a été construit par Alexandre de Contreras. Il est aussi appelé Château Gendebien.
Il s’agit d’une construction dont les quatre ailes en moellons entourent une large cour intérieure.
La façade principale se situe à l’est et servait essentiellement d’habitation. Du côté nord, un imposant pavillon d’entrée daté de 1754.
Centre récératif familial.
Chapelle classée édifiée en 1752. Elle se trouve dans un petit coin feutré à l’ombre de grands arbres.
Cette chapelle est également dédiée à Saint-Hubert.
Un chêne vénérable dans la forêt entre Beaumont et Logbiermé.
Jean Collin, bûcheron de son métier, était un habitant de Mohipré, qui a vécu à cet endroit. La légende raconte que suite à la mort de son père, n’ayant pas prié pour le repos de son âme, il connut une vie empreinte de malheurs.
A l’étang du Rechterbach, une zone publique de baignade autorisée.
Il est fait mention d’un pont à cet endroit dès 670. Le pont actuel est en pierres massif était autrefois recouvert d’ardoises mais ces dernières ont été ôtées et réutilisées. Sa date de construction est méconnue.