Cet édifice néo-roman en moellons d’arkose et pierre de France date de 1880, à la place d’une chapelle de 1703. Elle est consacrée à Saint-Fiacre, le patron des jardiniers.
Une chapelle est édifiée avec le concours des 15 habitants du villages, à l’initiative de Jean Cuvelier, un riche propriétaire local. Son frère Pierre devient chapelain.
Une nouvelle chapelle est inaugurée à la place de l’ancienne devenue vétuste. L’autel de la première chapelle est récupéré, oeuvre du sculpteur Thomas Schols de Saint-Vith.
Plus aucun prêtre n’est affecté à la chapelle.
Cette petite chapelle mononef en moellons a été édifiée dans le 2è tiers du 20è siècle. Sa toiture d’ardoises artificielles est chevauchée en façade par un clocheton à quatre pans.
Ce sanctuaire existe depuis 1704.
En 1958, l’église a été reconstruite en moellons et calcaire, par l’architecte R. Toussaint.
Cette église en moellons d’arkose, de style néo-roman, construite en 1892 sur les plans de l’architecte Cupper, remplace une chapelle datant de 1766. Elle a été restaurée en 1958, sur les plans de l’architecte Toussaint.
Cet édifice assez imposant est en moellons d’arkose.
Il comporte 3 nefs de 5 travées.
Le toit en ardoises est surmonté d’un clocheton octogonal.
Cet édifice néo-roman en briques et calcaire a été construit en 1931 sur les plans de l’architecte A. De Deckere.
Cette clairière aménagée dans un bois-parc de 130 hectares vous accueille parmi ses 3 barbecues, collectifs ou plus intimes et ses tables de pique-nique, du lever au coucher du soleil.
Cette chapelle néo-gothique en briques, recouverte entièrement d’ardoises blanches date de 1876. Elle fait l’objet d’un pèlerinage les lundi de Pentecôte et d’un salut à la Vierge Marie le 15 août.
Cette petite chapelle en briques calcaires a été érigée en 1936 par Constant Gérardy, trésorier, organiste et chanteur de la paroisse. Elle a été rénovée en 2017.
Un chêne planté à la mémoire de Stéphane Danloy, garde forestier décédé en décembre 2018.
Un petit chêne vénérable assez trapu.
Cette petite croix en bois au Christ doré est apposée sur un support cruciforme plus imposant, en pierre peinte en vert. Lui-même est posé sur un muret en grès schisteux.
Une petite croix de chemin forestier en bois.
Ce Christ en croix date du 19è siècle. Il est situé en bordure de rue, apposé sur une ferme en moellons d’arkose datant de 1800.
Cette petite croix de chemin en bois, restaurée en 2018 se situe en contrebas du Rond-Chêne, près de la lisière, au nord de Ville-du-Bois.
Cette croix de 1820, en schiste ardoisier, est une invitation à la prière pour les trépassés.
Cette croix abîmée, en schiste ardoisier, date du 17è ou du 18è siècle. Elle est à moitié enfouie sous un chêne tortueux.
Une croix en schiste ardoisier au pied d’un frêne, en mémoire de Henry Gallo, foudroyé à l’âge de 28 ans, le 15 mai 1848.
Cette croix de chemin en bois verni repose sur un socle en moellons de grès. Il s’agissait d’un passage obligé lors des rogations. Dans le calendrier liturgique, il s’agit des 3 jours précédent immédiatement le jeudi de l’Ascension.
Il s’agit d’une croix votive érigée par son épouse, à la mémoire de Jean-Joseph Rasquin (né en 1830), qui a disparu en exerçant son métier de colporteur de tissus.
Cette croix est dédiée au brigadier des Douanes Schmitz, retrouvé maculé de sang le 8 juillet 1843, avec son fusil de service à ses côtés.
Cette croix d’occis en schiste ardoisier courtaude arrondie au sommet est dressée entre trois épicéas et millésimée 1794.
Cette église en moellons d’arkose, de style néo-roman, construite en 1892 sur les plans de l’architecte Cupper, remplace une chapelle datant de 1766. Elle a été restaurée en 1958, sur les plans de l’architecte Toussaint.
Cet édifice néo-roman en briques et calcaire a été construit en 1931 sur les plans de l’architecte A. De Deckere.
Ferme en moëllons d’arkose qui enserre une cour intérieure datant de 1765 et classée depuis 1978.
Ce fortin fait partie d’une ligne de 309 petites fortifications établies entre 1933 et 1935 par le ministre de la Défense Nationale Albert Devèze, dont 174 en province de Luxembourg.
Un ancien arboretum qui n’est malheureusement plus entretenu.
Maison construite au XXème siècle pour accueillir le Préposé des Eaux et Forêts (DNF) dans la surveillance et la gestion du domaine sylvicole environnant.
Cette bâtisse appartient à la Région Wallonn
Ce monument aux victimes de la guerre se situe juste devant l’église. Il a été érigé en août 1921.
Ce monument consistant en un gros bloc d’arkose avec 2 plaques gravées a été inauguré le 24 avril 2005.
Ce projet a été élaboré par Raymond Philippart, le président de la section locale de l’ASPH et Raphaël Thunus, agent forestier de la DNF. Long de 1.2 km, le parcours permet aux personnes à mobilité réduite de profiter du contact avec la nature.
Ce parcours santé à travers ce bois-parc de 130 hectares remarquablement aménagé (panneaux infos, caillebottis...) permet même sur une portion du tracé des exercices pour des personnes en chaise roulante.
Une table de pique-nique abritée dans un lieu calme, juste derrière le monument aux morts.
Une table de pique-nique abritée sur le petit circuit familial accessible aux poussettes et fauteuils roulants depuis la clairière de So Bêchefa.
Ce ponceau en pierre est situé sur le Ruisseau de Serfa, au lieu dit Grandsart.
Deux murets de protections sis à gauche et à droite de cette voirie indique le pont.
Il s’agit d’une réserve naturelle privée, chose assez rare en Belgique, d’environ 4 ha, située à une altitude de 520 m. Elle a été créée par son propriétaire en 1987 et a été agrandie en 2013.
Dans un bouquet de hêtres, cette statue du Sacré-Cœur de Jésus date de 1930. Elle est protégée par une barrière en fer forgé et se situe le long de la N675 Vielsalm-Poteau.