Cette église en moellons d’arkose, de style néo-roman, construite en 1892 sur les plans de l’architecte Cupper, remplace une chapelle datant de 1766. Elle a été restaurée en 1958, sur les plans de l’architecte Toussaint.
La tour occidentale comporte un plan carré à 3 niveaux avec triplet au second (il s’agit d’un ensemble de trois baies ou de trois arcs). On peut y voir à gauche un baptistère (la chapelle où se trouvent les fonts baptismaux) et une tourelle d’escalier droit.
La nef centrale possède bas-côtés et est terminée par un chœur à 3 pans.
La messe se donne un samedi soir toutes les 3 semaines. Elle ouvre également les jours de fête.
Jean Gérard Delveaux et Quirin Lamborelle, habitants de Houffalize, obtiennent un accord avec les commis de la communauté pour construire une chapelle dans le village. Elle est construite dans la foulée.
L’évêché accorde au doyen de Stavelot l’autorisation de bénir la chapelle.
La chapelle est ouverte au culte, après avoir reçu l’autorisation du Conseil provincial de l’impératrice. Le curé Martiny de Salm bénit la chapelle.
La chapelle est consacrée par l’évêque auxiliaire de Liège, Monseigneur Charles Alexandre d’Arberg et Vallengin, en l’honneur des saints Donat et Blaise.
Une seconde cloche est commandée chez le fondeur Hemery Perrin de Hollerich, dans le Grand-Duché de Luxembourg.
Une cloche d’un poids de 172 kg est amenée de Prusse.
Le conseil de Fabrique constate que la chapelle est devenue trop exiguë pour le nombre d’habitants.
Le Conseil communal de Vielsalm reconnait que la chapelle est devenue trop petite.
Le Gouvernement provincial approuve le procès verbal d’adjudication des travaux.
La première pierre du nouvel édifice est posée sous la houlette de l’entrepreneur Joseph Gengoux.
On projette de construire une toute nouvelle église. La chapelle de 1860 est à nouveau devenue trop petite et présente des défauts majeurs qui s’aggravent.
Le conseil communal de Vielsalm approuve la construction d’une nouvelle église.
Les travaux sont mis en adjudication publique, sur les plans de l’architecte provincial Cupper.
L’édifice est achevé.
La peinture de l’église est achevée.
L’église est consacrée.
La nouvelle église est consacrée par Monseigneur Decrolière, évêque de Namur. Il s’agit de sa première consécration dans la province de Luxembourg.
La première messe est donnée à l’église.
L’adjudication du mobilier est attribuée à Désiré Rinck, habitant du village.
Le mobilier est détruit par les Allemands ayant logé dans l’église.
La voûte fendue sur toute sa longueur est remplacée.
L’éclairage électrique est placé dans l’église.
La grosse cloche est enlevée sur les ordres de l’autorité allemande.
La voûte de la nef est réparée et celle du chœur est refaite en briques.
Une troisième cloche d’un poids de 440 kg est bénie par le doyen Pierrard de Vielsalm.
La petite cloche du chœur est bénie lors de la messe de Pâques. Elle est dédiée à la Vierge Marie.
Les vitraux sont placés.
Le chauffage central est mis en route.
L’abbé Renert de Ville-du-Bois, fête ses 25 ans de prêtrise en présence de Monseigneur André-Marie Charue, l’évêque de Namur.
Le dernier curé attaché en permanence à l’église, l’abbé Renert, décède d’un infarctus.
Le conseil de Fabrique demande une rénovation complète de l’église.
Les cloches sont automatisées. Le villageois faisant fonction de sacristain chargé de sonner messes et angélus est relevé.
L’église est rénovée en profondeur.
Le centenaire de l’église est célébré en la présence de Monseigneur Léonard, évêque de Namur.
L’équipe de la paroisse est au complet.
Cet édifice néo-roman en moellons d’arkose et pierre de France date de 1880, à la place d’une chapelle de 1703. Elle est consacrée à Saint-Fiacre, le patron des jardiniers.
Ce sanctuaire existe depuis 1704.
En 1958, l’église a été reconstruite en moellons et calcaire, par l’architecte R. Toussaint.
Cet édifice assez imposant est en moellons d’arkose.
Il comporte 3 nefs de 5 travées.
Le toit en ardoises est surmonté d’un clocheton octogonal.
Cet édifice néo-roman en briques et calcaire a été construit en 1931 sur les plans de l’architecte A. De Deckere.
Cette petite chapelle en briques calcaires a été érigée en 1936 par Constant Gérardy, trésorier, organiste et chanteur de la paroisse. Elle a été rénovée en 2017.
Ce Christ en croix date du 19è siècle. Il est situé en bordure de rue, apposé sur une ferme en moellons d’arkose datant de 1800.
Ce monument aux victimes de la guerre se situe juste devant l’église. Il a été érigé en août 1921.