Elle s’est reconvertie en centre nature grâce à un professeur gantois, le Docteur Van Oye, passionné de nature, qui loua le bâtiment à la SNCB.
Dans les années 1960, il s’est développé pour devenir le Centre de Buzenol, un service éducatif de l’Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique, sous la houlette d’Edmond Fouss, promoteur du patrimoine gaumais et fondateur du Musée Gaumais de Virton.
Ce projet a même pris de l’ampleur grâce à l’ancien bourgmestre d’Ethe Elie Deworme dans les années qui suivirent. On construisit un nouvel édifice entre l’ancienne gare et la Ferme de Bâr pour permettre l’hébergement de classes vertes.
Actuellement, ce centre est incorporé dans la structure pédagogique de l’Ecole Normale de Virton.
Ancien fourneau du 17è.
En 1633, Henry le Comte est propriétaire du fourneau et de la forge de Buzenol-Montauban.
Hôtel de Ville en calcaire bajocien édifié en 1859.
Il est orné d’un perron comportant une double volée de marches et d’une balustrade.
Un monument aux morts des deux guerres est adossé à ce perron.
Kiosque à musique de plan octogonal à 8 petites colonnes, bâti sur un socle en pierre, inauguré le 11 septembre 1885.
Il est classé comme monument et site depuis 1997.
Bâtiment carré (fin 19è) ouvert sur un côté surmonté d’un toit à 4 pans.
2 abreuvoirs extérieurs se situent sur le côté du bâtiment.
Cette imposante maison de maître entourée d’une cour comportant de haut murs percés d’une porte cochère. Un pigeonnier la surplombe.
Un jardin planté d’arbres avec des écriteaux qui les identifient, près de la Chapelle du Bonlieu.
Ce bâtiment datant de 1839 a été réhabilité afin d’accueillir des expositions sur deux niveaux.
Ce centre a été créé en 1984. Au départ nomade selon une volonté politique, il est passé par Jamoigne avant de s’implanter à Buzenol. Il propose la création d’œuvres monumentales et environnementales temporaires.
Selon la tradition populaire, un des comtes de Chiny, Louis Il, victime d’un accident de chasse ou d’une maladie soudaine fut soigné et guéri au presbytère de Rouvroy.
Une petite croix en bois posée sur un socle en béton, proche de la Chapelle du Bonlieu.
Cette croix est située au croisement de la N87 Virton - Etalle et de la N879 Marbehan - Tintigny - Ethe - Ruette.
Cette source située à 2 km au sud de Buzenol, en rive gauche du Gros Ruisseau, a des propriétés pétrifiantes, dues au calcaire présent en grandes quantités. Le site s’étend sur environ 0.7 ha.
Les vestiges de ce donjon massif et carré. Celui-ci a vraisemblablement été abandonné au 5è siècle. La légende l’attribue aux Quatre Fils Aymon.
Ferme datant de 1846.
Elle a été reconvertie grâce à un collectif qui promeut à la fois la culture et l’agriculture, grâce à sa position privilégiée en pleine nature.
Un théâtre d’une centaine de pl
Cette forge s’est développée le long du Gros Ruisseau entre 1507 et 1858 à partir d’un haut-fourneau. Elle connaîtra son apogée au 18è siècle.
Révélée par le carbone 14, le premier rempart de cette forteresse date du néolithique, soit environ 4000 ans avant Jésus-Christ. Il s’agit des plus anciennes traces humaines retrouvées en Province de Luxembourg.
Ce musée à l’architecture moderne semi-enterré, dessiné par le belgo-polonais Constantin Brodzki et son associé scénographe Corneille Hannoset, influencé par l’archéologue Louis Lacoste, abrite des découvertes archéologiques.
Une table de pique-nique couverte, en face de l’ancienne gare de Buzenol.
Une table de pique-nique abritée, en plein bois, à une centaine de mètres de la Chapelle du Bonlieu.
Ce carrefour a été renommé en l’honneur de Joseph Jordant, garde forestier.
Il était membre de l’armée secrète. Fait prisonnier durant la guerre, il est décédé le 28 décembre à Buchenwald.
Cette réserve naturelle a été créée à l’initiative d’une dizaine de propriétaires forestiers en 1995, sous la forme d’une ASBL : Vallée de Laclaireau.
La légende attribue cette forteresse aux Quatre Fils Aymon, du duc Aymon. Celle-ci se passe au Moyen-Âge, au 12è siècle. Ils sont Renauld, Allard, Guichard et Richard et se sont opposés à Charlemagne.
Ce site archéologique domine le Gros Ruisseau de 70 m. les fouilles ont révélé un complexe archéologique d’un grand intérêt.
Dans de grandes baies vitrées sont exposés des fragments sculptés de stèles funéraires gallo-romaines.
Ce surplomb rocheux en grès siliceux est empli de petites grottes, creusées par l’érosion naturelle au jurassique.
La galerie principale a une longueur de 15 m.