Grande classique de la spéléologie, l’une des plus fréquentées de Wallonie.
Elle se développe sur un total d’environ 1542 m.
Sa profondeur est de 35 m sur 4 étages superposés.
Le porche est haut de
Grande classique de la spéléologie, l’une des plus fréquentées de Wallonie.
Elle se développe sur un total d’environ 1542 m.
Sa profondeur est de 35 m sur 4 étages superposés.
Le porche est haut de 4 à 5 m et profond de 15 m.
Cette grotte a été découverte en juillet 1995 par J-L Putz et J-C Vittoz.
Une grotte proche de la Grotte Veronika et de la source de la Chawrèsse.
Cette grotte protégée se développe sur plus de 2 km, avec une grande salle et des galeries phréatiques. Elle comporte une dénivellation de près de 100 m.
Ce chantoir très étroit a une profondeur de 37 m.
Cette grotte est réservée aux spéléologues avertis.
Cette grotte qui se développe sur plus de 5 km a été découverte en 1969 par le Spéléo Club les Calcites.
Petit rocher vertical en calcaire.
La grotte était habitée durant la préhistoire.
Actuellement, le site fait l’objet de fouilles.
La légende raconte qu’une maison était habitée par les nûtons.
I
Une petite cavité en forme de T.
Une petite grotte au sein d’un massif rocheux de grès, comportant plusieurs blocs verticaux de 2 à 5 m de hauteur, le long du Ruisseau de Chèra.
Cette ancienne galerie de la mine de pierres à moulin est liée à l’histoire de Marie de Plainevaux datant du début du 20è siècle. A cause de son tempérament un peu décalé, elle s’isolait régulièrement dans des lieux secrets.
Cette abbaye cistercienne est située dans un château perché sur un rocher majestueux construit dans un parc remarquable qui domine de plus de 100 m la vallée de l’Ourthe.
Cette chapelle en moellons de grès et calcaire a été édifiée en 1851 à l’emplacement d’un bâtiment plus ancien datant de 1623.
Ce massif, lieu d’escalade, se compose de 5 parties.