Cette grotte fossile a été découverte à la suite d’un tir de mines en 1980.
Ce gisement paléontologique et archéologique date d’environ 500000 ans. On y a répertorié plus de 30 000 fossiles comportant une cinquantaine d’espèces distinctes.
On y a découvert également la trace d’hommes préhistoriques grâce à des outils en silex retrouvés.
Cette remarquable grotte calcaire karstique comporte un abîme de 22 m de profondeur. Elle permet de découvrir d’une manière ludique le monde souterrain.
Elle a été explorée en 1900. Elle fut ouverte au public en 1929.
Cette petite grotte qui s’ouvre dans le calcaire givétien comptait avant nos explorations environ 100 m de développement.
Au niveau inférieur de la galerie d’entrée on note la présence d’une rivière
Ferme d’élevage au n° 4 rue de la ferme il y a une ferme dont la production essentielle est le canard. Ce canard est livré en dégustation sous toutes ses formes tant en foie gras, qu’en pâté, rillett
Borne-fontaine assez haute et un bec verseur dans bac abreuvoir.
Cette carrière de grès a été fermée en 1990. Elle possède pourtant encore un potentiel de 60 années d’exploitation.
Ce gisement paléokarstique est unique en Europe du nord-ouest.
Elle est témoin de la plus ancienne trace d’occupation humaine au Bénélux (-500 000 ans). Elle constitue un référentiel paléontologique, géologique et archéologique.
Cette chapelle est dédiée à Notre-Dame de Banneux, Vierge des Pauvres a été construite en 1950 à l’initiative des habitants et du curé. Elle n’est plus utilisée pour des services religieux depuis la fin des années 1980.
Cette chapelle dédiée au Cœur Immaculé de Marie fut érigée en 1908 à l’initiative de Max Lohest et sa femme Marie Lambert, propriétaires de l’ancien moulin de Martinrive.
Ce château de la fin du 17è siècle, proche de l’église du village, est également appelé la Maison du Fourneau.
Cette sobre gentilhommière comporte un seul étage et elle est peinte en blanc.
Elle est prolongée de deux ailes.
Cet ensemble est doté au niveau de la route de deux tourelles circulaires datant du 17è siècle, construites majoritairement en calcaire.
Cette ferme carrée en grès est constituée d’une partie haute en colombages. Elle a été reconvertie en gîtes ruraux.
Cette croix est dédiée au maquisard Alphonse Gilles, tué au combat le 9 septembre 1944.
Cette croix en fonte a été fabriquée par la fonderie Joseph Davin d’Andenne.
Derrière le Christ, on y trouve une amphore entourée d’un serpent dont la queue toucherait une fleur à cinq pétales s’ouvrant sur un demi-cercle.
Un Christ en croix caché sur un socle de calcaire millésimé 1911.
Cette croix a été érigée à la mémoire de Jean-Pierre Libermé, herdier (gardien de troupeaux) à Fraiture.
Cette écluse de plus de 20 m de longueur fut terminée en 1847.
Cette église été construite entre 1850 et 1852.
Selon l’écrivain Georges Laport, cette église existait déjà au 14è siècle.
Elle est pourtant citée la première fois en 1551 dans les chartes de l’Abbaye de Stavelot-Malmedy.
Cette ancienne chapelle en briques et en calcaire a été construite en 1775.
Elle fut agrandie en 1927.
Une horloge datée et signée du 18è est originaire de la maison des maîtres de forge. Le mobilier date du 18è siècle.
L’un des 31 fortins qui assuraient la défense de l’Amblève.
Ce bâtiment en pierre locale avec pierre bleue pour les soubassements est situé sur la ligne 42 juste en aval de la gare de Rivage. La gare mise en service en 1885 a été fermée aux voyageurs en 1924.
Cette gare de bifurcation se situe sur la ligne 43 reliant Liège à Marloie.
Elle fut mise en service le 20 janvier 1885.
Elle est à l’origine de la ligne 42 vers le Luxembourg.
Elle a été rénovée en 2001.
Cette petite maison mitoyenne en moellons de grès et calcaire date du 18è siècle.
Ce monument est dédié à la mémoire de ces personnes tuées au combat lors la seconde guerre mondiale.
Pierre de granit gravée au nom de Georges Laport, écrivain et conteur de la région venant chercher ici son inspiration. Homme de lettres né à Fraiture-Sprimont le 13 août 1898, historien de traditions
Cet ancien moulin à grains en pierre a été construit en 1454.
La meule est maintenue sous un vieux chêne.
La légende raconte que ce rocher vient boire dans l’Ourthe lors des nuits de pleine lune. Son origine est due au reflets projetés dans la rivière par le sommet du pic.
Une table de pique-nique au centre du hameau.
Une table de pique-nique au cœur du hameau.
Une plaine de jeux à l’écart de la circulation au nord du village.
Cette plaque dédiée à Georges Laport est apposée sur le mur de l’école communale de Fraiture-Sprimont.
Un point de vue sur des villages des communes d’Aywaille et de Ferrières. Par temps clair, on peut même apercevoir les hauteurs de Herve et Micheroux.
Beau point de vue sur le Pont de Sçay. A l’écart du chemin qui serpente de la vallée au sommet, sa plateforme pas très large est constituée par le dessus d’un rocher abrupt non gardé. Prudence donc !!
Une très belle vue sur Comblain-au-Pont et la vallée de l’Ourthe.
C’est ce pont a donné son suffixe à l’appellation du village.
Son origine remonte au 18è siècle. Il a été planifié par l’architecte Jean-François de Neufforge, né à Comblain en 1714 et décédé à Paris en 1791.
Dernier pont routier sur l’Amblève avant sa confluence avec l’Ourthe. Il en existe encore un, une centaine de mètres en aval mais il est ferroviaire.
Ce pont se situe juste en amont de la confluence de l’Ourthe avec l’Amblève.
Cette réserve ornithologique a une superficie de 140 ha.
Cette résurgence naturelle d’un cours d’eau souterrain draine les eaux d’un bassin de 14 km² entre Sprimont et Chanxhe.
Le plus important rocher de la vallée de l’Amblève. Une grande partie de sa base baigne dans la rivière.
Il atteint une hauteur de 65 m.
Il s’agit d’un massif vertical en calcaire.
Sa formation géologique particulière fait l’objet d’une controverse scientifique.
On a retrouvé au sommet des rochers les vestiges d’un village antérieur aux gaulois.
Une statue de la Vierge au pied de l’église abritée par une petite chapelle.
Au sud-est de Fraiture, sur les hauteurs surplombant l’Amblève, le village de Halleux et la Nationale 633, cette stèle est dédiée à Georges Laport, mort à Dachau en 1945.
Cette stèle incrustée discrètement dans le muret de protection du chemin de fer rappelle la mort de Louis Willem, riverain du lieu né le 13 janvier 1897 à Aywaille, tué par les Allemands le 8 septembre 1944.
Ces roches à la forme explicite sont formées de calcaires tournaisiens et viséens.
Il s’agit d’anciennes carrières de grès, dont les parois rocheuses en forme de tartines, comme à Comblain-au-Pont, dévoilent un grand intérêt géologique mais aussi du point de vue de la faune (couleuvres, lézards des murailles...).
Ce tilleul classé en 1941 est aussi appelé Vî Tiyou.
Il a une circonférence de 5,07 m à 1,5 m du sol, une hauteur de 20 m et est classé en 20è position en Belgique (devant l’arbre de Dalhem).