Ce monument a été érigé en l’honneur des Chasseurs Ardennais, pour commémorer la bataille de 10 mai 1940 qui s’est déroulée autour de Rochelinval.
Un hommage aux soldats belges qui ont combattu durant l’offensive des Ardennes.
Ce monument sculpté par Jules Jourdain est dédié aux victimes des deux guerres.
Ce monument est dédié aux libérateurs d’Ennal, le 424è régiment de la 106è division d’infanterie. Il libéra Ennal durant la nuit du 15/1/1945 à la suite d’un assaut. Les allemands étaient embusqués dans les maisons avec armes automatiques.
Le jour de la foire, les Princes-abbés de Stavelot avaient le privilège de libérer un criminel.
Cette ancienne maison communale a été inaugurée le 4 septembre 1955. Devant cette bâtisse se trouve une pompe abreuvoir du 19è siècle.
Ce petit arboretum est implanté à l’extrémité ouest de la Forêt du R’master, au départ d’un parcours didactique.
Ce barbecue du Syndicat d’Initiative de Trois-Ponts comporte 100 places couvertes et 2 grilles.
Uniquement sur réservation au Syndicat d’initiative de Trois-Ponts.
Il est interdit de loger sur le site.
Une chapelle chaulée au toit d’ardoise, dépourvue de clocheton.
Vierge dans une chapelle ouverte construite en moellons
Ce château a été reconverti en gîte d’étape (Kaleo).
Ce Christ en bois polychrome protégé dans une niche date de 1847.
Une petite croix en rondins de bois, avec un Christ doré.
Cette croix d’intercession à trois niveaux, apposée au pan d’une maison, comprend le Christ, Notre-Dame de Luxembourg et de Saint-Laurent.
Une croix de carrefour en pierre.
Une croix de carrefour en bois massif portant un Christ.
Les hottlîs, les porteurs de hotte, un grand panier qu’on porte sur le dos, posaient leurs charges à cet endroit.
Une petite croix en bois entre deux arbres en sortie sud du village, face à un panorama sur la vallée de la Salm.
Une croix de chemin en bois sertie sur un muret en grès et entourée de deux statues dont une de la Vierge Marie.
Une croix de carrefour en bois portant un Christ doré.
Un christ en croix posé sur une plus grosse croix en pierres, à l’entrée de la cour d’une maison.
Cette croix, composée de galets, existait déjà en 1818.
Dénommée aussi "Potale Notre-Dame".
Cette robuste croix en bois située à une carrefour de chemins à 6 branches était déjà citée en 1684.
Cette croix en schiste de 1820, de 4 m de hauteur, érigée par Jean-François Willem de Tigeonville (1778 - 1837) et son épouse Marie-Catherine Olkès (1785 - 1841), veuve Hourand en premières noces, remplace une croix plus ancienne.
Cette église paroissiale en moellons d’arkose, à 3 nefs et de style roman, a été construite en 1863, sur un sanctuaire plus ancien datant du 15è siècle.
L’église primitive date de l’époque de la construction de l’Abbaye de Stavelot, vraisemblablement au même emplacement que l’actuel bâtiment.
Ce fortin fait partie d’une ligne de 309 petites fortifications établies entre 1933 et 1935 par le ministre de la Défense Nationale Albert Devèze, dont 174 en province de Luxembourg.
Un hommage aux soldats belges qui ont combattu durant l’offensive des Ardennes.
Ce monument sculpté par Jules Jourdain est dédié aux victimes des deux guerres.
Ce monument est dédié aux libérateurs d’Ennal, le 424è régiment de la 106è division d’infanterie. Il libéra Ennal durant la nuit du 15/1/1945 à la suite d’un assaut. Les allemands étaient embusqués dans les maisons avec armes automatiques.
Ce musée se situe dans l’ancienne école des garçons du village. Il présente la vie rurale de la région et son patrimoine, de l’école d’autrefois à la seconde guerre mondiale, en passant par des aspects géologiques.
Une table de pique-nique en plein bois, non loin de la lisière sud du village d’Aisomont.
Cette aire de pique-nique couverte avec plusieurs tables peut accueillir un grand groupe, dans un endroit très calme à l’orée de la forêt.
Ce point de vue est en direction de la Vallée de la Salm et vers Trois-Ponts.
Beau point de vue sur le versant de la rive droite de la Salm en direction d’Aisomont.
Stèle sur pignon de maison
Une statue de la Vierge protégée par une petite construction en briques chaulées, couverte et grillagée.
Ce vaste amas de roches en grès est lié à une légende : celle qui raconte que le diable, furieux de la construction du monastère de Stavelot par Saint-Remacle, portait sur son dos ce rocher pour le détruire.
Dans cette forêt aux essences végétales variées, 20 panneaux didactiques jalonnent le parcours balisé d’une croix verte.
Une potale de la Vierge.