Ce moulin a été construit vers 1842 par Antoine-Alexandre Barvaux et Marie-Thérèse Baudoin.
Incendié en août 1914 par les armées allemandes, il fut reconstruit en 1916.
Depuis lors, le moulin fonctionne grâce à la force motrice produite par une turbine à axe vertical entièrement immergée.
La machinerie a été réalisée par les Ateliers Léon Michel Simonis de Jupille.
L’axe de la turbine est relié à une série d’engrenages qui, par l’intermédiaire de courroies de transmission, actionnent l’ensemble du mécanisme de meunerie.
Arrêté en 1958, le moulin est vendu par la famille Gyselincx à la SC « A la croisée des chemins » qui le revendra à Joseph Famerée actuel propriétaire en 1988.
Ce vaste ensemble (18è siècle) ferme deux côtés d’une placette en forte pente. Fortement modifié aux 19è et 20è siècles.
Selon la tradition locale, elle appartenait aux moines de l’abbaye de Florennes.
Ce bâtiment du 17è siècle a été réaménagé en style classique au 18è.
A l’époque, le curé de Soulme avait creusé de nouvelles caves en-dessous du bâtiment existant, provoquant un effondrement partiel de celui-ci.
Cette ancienne dépendance de l’abbaye de Saint-Hubert datant du 15è siècle et de style roman, résidence d’été des moines, accueille à présent des événements privés ou professionnels tels que des fêtes de mariage, des réceptions...
Edifice néo-roman construit vers 1913 et repeint vers 1967.
Georgine était la propriétaire d'une buvette en bois qui se trouvait jadis à cet endroit, rendez-vous des promeneurs, des chasseurs et des gardes forestiers.