Cette ferme tricellulaire (corps de logis, grange, étable) en grès calcaire et chaulée, est liée à l’ancien château féodal. Elle se caractérise par son toit en pente légère recouvert de tuiles "canal" à la romaine.
Les cladasses (pierres plates) recouvrent le pignon et on y trouve des reconstitutions d’intérieur tels qu’on pouvait les voir au 18è siècle.
Ce bâtiment datant de 1839 a été réhabilité afin d’accueillir des expositions sur deux niveaux.
Ce centre a été créé en 1984. Au départ nomade selon une volonté politique, il est passé par Jamoigne avant de s’implanter à Buzenol. Il propose la création d’œuvres monumentales et environnementales temporaires.
Ce musée a été établi par Edmond Fouss en 1939, après la restauration du Couvent des Récollets, construit en 1659.
Il évoque les divers aspects des activités humaines des générations passées.
Ce musée à l’architecture moderne semi-enterré, dessiné par le belgo-polonais Constantin Brodzki et son associé scénographe Corneille Hannoset, influencé par l’archéologue Louis Lacoste, abrite des découvertes archéologiques.
Ce musée a été reconstruit en 1935. Il présente des meubles et objets de l’ancienne pharmacie de l’Abbaye d’Orval : mortiers, pots de Delphes, alambics, balances, etc. On y trouve également un jardin de plantes médicinales.
Ruines de l’abbaye médiévale (depuis le 12ème siècle).
Dans les sous-sols du 18ème siècle : une section temporaire (renouvelée tous les ans)et une section permanente.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Cet ancien château fort féodal en trapèze, avec 3 autres tours circulaires, parti d’une simple tour de défense, s’est développé à partir de 1255, à l’initiative de Raoul de Latour, fils cadet du seigneur de Latour, du comté de Chiny.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Cette église, construite en 1860, a permis aux paroissiens d’éviter de se rendre à la messe à Rouvroy, le lieu étant souvent inondé.
Cette église romane date du 10è siècle. Ses principales caractéristiques sont sa tour sans clocher orientée vers le village et un cimetière avec point de vue sur la campagne gaumaise.
Habitée autrefois par la famille de Franque, on raconte que cette maison aurait dû accueillir le roi de France Louis XVI lors de sa fuite après la Révolution française, mais avant, celui-ci fut arrêté le 20 juin 1791 à Varennes-en-Argonne.
Une table de pique-nique proche de l’intersection de la Rue du Château-Fort et du chemin vicinal vers Couvreux, à l’abri de la circulation, dans le chemin en question.
Large point de vue sur la crête frontalière belgo-française.