Ce site classé de Grand Intérêt Biologique (SGIB) est situé à cheval sur la commune de Marche et de Nassogne.
Il s’agit d’un site Natura 2000.

Cette réserve naturelle d’une superficie de 2 ha 88, située en Calestienne, une vaste région calcaire qui s’étend depuis la Fagne-Famenne jusqu’aux confins orientaux de Durbuy.

Cette réserve naturelle a une superficie de 59.14 ha.
Le site est couvert par une végétation calcicole remarquable comprenant une hêtraie, des fourrés thermophiles ainsi que des pelouses sèches fragmentaires.

Il s’agit d’une réserve privée classée, site Natura 2000, de 37 hectares qui s’étend sur les communes de Nassogne et Marche. De grand intérêt biologique, on y voit la pie-grièche, le martin-pêcheur, la cigogne noire et le héron cendré.

Cette réserve naturelle de l’Etat est gérée par l’administration des Eaux et Forêts.
Sa superficie 37 ha contient une flore très diversifiée.

Ce site classé de grand intérêt biologique est un complexe de prairies alluviales s’étendant sur un peu plus de 23 hectares, à la confluence du Marsault avec la Lhomme. C’est le Marsault qui activait le moulin des forges.

Une aire de barbecue avec deux tables de pique-nique (16 places). A cet emplacement, il y avait un ancien lavoir public. Les bassins en pierre ont été récupérés pour être replacés au lieu-dit La Pépinette à Nassogne.

Cette imposante bâtisse en briques peintes en blanc, sur un soubassement en grès, de style néo-gothique, a été bâtie pour le baron Van der Straten. Elle se situe dans un parc.

Ce château de style gothique a été construit en 1613 par Gilles de Henricourt de Mozet, seigneur de Grune. Il contient des armoiries de la famille Mozet-Waha (sur le porche d’entrée).
Il devint par la suite propriété de la famille de Ramaix.

Cet édifice néo-classique mononef date de 1844. Un transept et un chœur ont été ajoutés en 1905 par l’architecte Cupper de Bastogne.
L’aménagement intérieur a été réalisé par L-M. Londot de Namur.

Au départ une chapelle, cet édifice en moellons de grès et en pierre bleue a été bâti en 1836 sur les plans des architectes Louis Berteau et Arthur de Deckere.

Ce monument situé contre le mur d’enceinte du cimetière de l’église commémore les morts des deux guerres mondiales séparés en deux plaques (35 et 41 noms). Les 5 fusillés du 24/12/1944 sont au centre du monument.