Une croix de carrefour en pierre.
Sur ces 3 croix en bois, dont la croix centrale surélevée représente celle de Jésus, ne figure aucun personnage. Elles symbolisent le calvaire.
Ce Christ en bois polychrome protégé dans une niche date de 1847.
Cette discrète petite croix se cache dans les buissons à l’extrémité nord-est du Chêneux.
Une croix en bois entourée d’un enclos avec une clôture en bois, à l’entrée sud du village.
Une petite croix en rondins de bois, avec un Christ doré.
Ce Christ posé sur une croix en pierre se situe dans la côte en direction de Mont-le-Soie.
Cette croix en bois verni surmontée d’une toiture à deux pans, est située au sommet du Col de Mont-le-Soie, à 556 m d’altitude.
Cette croix d’intercession à trois niveaux, apposée au pan d’une maison, comprend le Christ, Notre-Dame de Luxembourg et de Saint-Laurent.
Une croix de carrefour en bois massif portant un Christ.
Cette croix en fer forgé réparée, datant apparemment du 19è siècle, se situe au bord du chemin forestier qui quitte Petit Thier vers le Nord.
Les hottlîs, les porteurs de hotte, un grand panier qu’on porte sur le dos, posaient leurs charges à cet endroit.
Une petite croix en bois entre deux arbres en sortie sud du village, face à un panorama sur la vallée de la Salm.
Une croix de chemin en bois sertie sur un muret en grès et entourée de deux statues dont une de la Vierge Marie.
Une croix de carrefour en bois portant un Christ doré.
Un Christ sur croix en pierre, situé entre deux hêtres, à un carrefour dans la côte vers Mont-le-Soie.
Un christ en croix posé sur une plus grosse croix en pierres, à l’entrée de la cour d’une maison.
Cette croix, composée de galets, existait déjà en 1818.
Dénommée aussi "Potale Notre-Dame".
A quelques mètres à gauche d’une autre croix, une croix d’occis en pierre de schiste.
Cette robuste croix en bois située à une carrefour de chemins à 6 branches était déjà citée en 1684.
Cette croix en calcaire, de style néo-gothique, d’une hauteur de 2.50 m est dotée d’un relief de Saint-Hubert. Le socle a été creusé d’une niche. Elle a été érigée à la mémoire de François Quoilin, mort par accident le 28 août 1899.
Cette croix en schiste de 1820, de 4 m de hauteur, érigée par Jean-François Willem de Tigeonville (1778 - 1837) et son épouse Marie-Catherine Olkès (1785 - 1841), veuve Hourand en premières noces, remplace une croix plus ancienne.
Stèle sur pignon de maison
Une statue de la Vierge protégée par une petite construction en briques chaulées, couverte et grillagée.